Phèdre De Racine Résumé Par Scene

----------------------- TRISTAN & ISEULT : LE MYTHE DE L’OCCIDENT CHRÉTIEN Dr Françoise Saint-Onge Docteur en études germaniques Eduard-Pfeiffer-Str.10 D – 70192 Stuttgart RÉSUMÉ: Il s’agit ici, comme le titre l’indique, du mythe de Tristan et d’Iseult*. Deux ouvrages surtout ont inspiré ces lignes : L’amour et l’Occident de Denis de Rougemont, qui traite des origines culturelles et historiques du mythe dans ses rapports avec l’ « hérésie » cathare et l’amour courtois au XIIè siècle

prose, la comédie, la farce, bons pour Molière") et genres nobles (la poésie, la tragédie : Racine, Corneille, Voltaire, cités ou évoqués à travers les personnages de leurs pièces : Phèdre, Jocaste, Mérope). De cette longue énumération d'exemples, il ressort bien que la langue est divisée selon un schéma hiérarchique, à l'image de la société. Hugo ne démontre pas de façon abstraite, il met en scène une sorte de "comédie des mots", il raconte de façon burlesque la querelle entre classiques

et les fables. - Les œuvres importantes sont nombreuses et relèvent de différents genres: * Molière : La comédie (Tartuffe, Dom Juan, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, le Malade imaginaire, le Médecin malgré lui) ; * Racine : La tragédie (Andromaque, Phèdre, Britannicus) ; * La Fontaine : La fable (« la Cigale et la Fourmi », « le Corbeau et le Renard », « Le Chêne et le Roseau »). -Les Lumières : Roman, Essais, Théâtre - Mouvement philosophique, culturel et scientifique

propagande. Les règles du théâtre classique. La règle des trois unités : * Unité d’action : Action ayant un début, un milieu et une fin, sur laquelle d’autres actions peuvent se rajouter pour développer l’intrigue depuis la première scène à la scène de dénouement de l’histoire. * Unité de temps : Tous les événements, actions représentés doivent se dérouler sur une période maximum de vingt-quatre heures. * Unité de lieu : Un seul lieu doit être utilisé comme par exemple une ville

auteurs et artistes « classiques » ne se nomment pas ainsi. Le terme n’apparait qu’a posteriori, au XIXe siècle. Cependant, leur doctrine est bien réelle, contenue dans un certain nombre de textes fondateurs et d’œuvres emblématiques. On peut les résumer ainsi : -le culte des Anciens : Les auteurs antiques sont considérés comme des modèles. Ainsi, c’est dans l’imitation des anciens que les classiques mesurent le talent d’un auteur. La Fontaine (1621-1695) le revendique : « mon imitation n’est point

l'enfermement, l'absence d'issue. Le cliché (M) : métaphore passée dans le langage courant.  Le cliché est également à l'origine des types littéraires, principalement dans la constitution des personnages types ou des stéréotypes. On peut ainsi résumer en montrant que le cliché se fonde sur des analogies culturelles, partagées par tous, à l'instar d'archétypes (= modèle idéal). La comparaison (F) : rapprochement entre deux termes (le comparé et le comparant) à partir d'un élément commun grâce à

moralité », écrit dans sa préface La Fontaine. Le récit imagé permet ainsi de saisir une règle morale abstraite. • Les fables existent depuis l'Antiquité. La Fontaine a puisé dans cette tradition ancienne, adaptant les fables d'Ésope et s'inspirant de Phèdre, d’Arranus et de Pilpay notamment, ainsi que des contes orientaux. Il innove, pourtant, en les écrivant en vers. Allier le plaisant à l'instructif est un souci constant dans ses fables. 2. La structure des Fables Les Fables sont divisées en douze

Le dire et le dit dans La Surprise de l’amour de Marivaux Jean-François Castille Université de Caen Basse-Normandie EA 4256 LASLAR jeanfrancois.castille@dbmail.com Résumé : Dans le sillage des études consacrées au fonctionnement du langage dans le théâtre de Marivaux, cette contribution se propose d’examiner quelques eff ets du désengagement énonciatif dans quelques répliques de La Surprise de l’amour . Abstract : Some studies were already devoted to the

beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme profond apparaît au contraire dans l’oeuvre de La Rochefoucauld et de Racine : l’homme est esclave de son amour propre et de ses passions. Les passions sont mauvaises en elles-mêmes et la raison (la volonté) est impuissante à les maîtriser. L’analyse pessimiste est présente aussi dans l’oeuvre de Pascal (l’influence de jansénisme)

érudite des humanistes, lyrisme officiel des malherbiens. La poésie se nourrit de cette solitude sans masque, de cette liberté sans frein : elle exprime comme naturellement ce que le poète éprouve de plus singulier. 2. Le mot « argument » signifie ici résumé ou thème comme on dit l’argument d’un ballet ou d’un poème ou, par analogie et plus récemment, l’idée première d’un scénario cinématographique. Strophe 1 : mes baisers, mes caresses prouvent mon amour. Strophe 2 : je suis en telle adoration que je