Phèdre La Violence

Intro : Phèdre  marque le début du succès pour Racine. Il devient avec cette pièce en 1677 le grand tragédien du classicisme. Inspiré par les tragédies du Grec Euripide Hippolyte porteur de couronne (-428), et du latin Sénèque Phèdre (entre 49 et 62), la pièce de Racine se situe à Trézène dans le Péloponnèse, à l’époque de la guerre de Troie. Basée sur une histoire légendaire, elle met en scène l’amour interdit de Phèdre, femme du roi d’Athènes Thésée, pour son

Phèdre, tragédie classique en 5 actes et en vers, est montrée par Jean Racine (1639-1699) pour la première fois en janvier 1677 ; la pièce est alors intitulée Phèdre et Hippolyte, ce qui n'est modifié que dix ans plus tard. Comme dans toute réécriture d'un mythe, les sources du dramaturge sont nombreuses. On y trouve notamment des références au poète grec Euripide et au philosophe romain Sénèque. Comme l'écrivait Gide dans son Journal, cette pièce réside dans le conflit qui tourmente Phèdre, "théâtre

INTRODUCTION Phèdre est une pièce dont le personnage central est évidemment la femme animée d’une passion interdite avec laquelle elle mène un combat mortel. La pièce débute par une scène d’exposition, c’est ensuite le personnage d’Hyppolyte, objet d’amour qu’ignore encore le spectateur, qui apparait sous un jour incertain. C’est enfin la passion amoureuse elle-même, sujet tragique essentiel 17e siècle qui reçoit une définition contradictoire et entretient des relations complexes avec le langage

Phèdre (Acte 1, Scène 3) De «Mon mal vient de loin… » À «un reste de chaleur près à s’exhaler ». Présentation de l’auteur : Jeau Racine(1639-1699) Jean Racine est un poète dramatique français du XVII siècle, né à La Ferté Milon (Picardie) en 1639. Orphelin dès l’âge de 3 ans, il est recueilli par les religieuses de Port Royal, Il étudie la philosophie au Collège d’Harcourt. Après avoir échoué dans sa carrière ecclésiastique, il choisit de se consacrer entièrement au théâtre. Il fait jouer

PHÈDRE LA JALOUSIE I/ AMBIVALENCE DES SENTIMENTS DE PHÈDRE A/ LE DESIR DE COMPRÉHENSION ET LE RETOUR SUR LE PASSÉ *Hyberbole « tout ce que j’ai souffert » : phèdre se livre à une instrospection *question de rhétorique « où ma raison va t-elle s’égarer ? » mouvement de réflexivité, elle éprouve un st d’étrangeté à elle même, autoanalyse. *paradoxe « des crimes inconnus en enfer » éprouve un sentiment de honte et de culpabilité.  *hyperbole « spectacle horrible » elle ne supporte pas l’image

Dans cet extrait de la tragédie « Phèdre » de Racine, le personnage principal dévoile son amour à son beau-fils, Hippolyte malgré toute sa honte et sa souffrance. De quelle manière ce sentiment se manifeste-t-il ? Tout d’abord, le champ lexical de la haine et de la violence (l.47 : « monstre », l.56 : « ta haine », l.49 : « ce monstre affreux »), omniprésent dans le récit et la ponctuation forte (l.48 : «  Hippolyte ! ») nous montre à quelle point Phèdre souffre de son amour incestueux.

une excuse lorsqu'ils en sont incapables. Pour le corpus «  La Grenouille Qui Veut Se Faire Aussi Grosse Que Le Boeuf »on voit plusieurs points communs: - Dans la fable d'Esope, C'est un renard qui veut être grand comme un dragon, dans la fable de Phèdre et de La Fontaine, C'est une grenouille qui veut être aussi grosse qu'un bœuf. Dans ces trois fables Le « petit » essaye d'être aussi grand que le « fort » alors qu'il en est pas capable et meurt de lui même. - La morale des trois fables se situent

Préparation du commentaire de texte de l'acte II scène 5 de Phèdre par Jean Racine . V1 : Contradiction avec le sens global du texte+ accumulation ou métaphore avec « languis,brûle » v2 : Insistance sur le fait d'aimer Thésée par le bief de la personnification de « enfers » + sensation de chaleur  v3 : Métaphore entre les différentes conquêtes de Thésée et des objets , rabaissant la femme v4 : v5 : Accumulation d'adjectifs permettant de qualifier Thésée ( guerrier ) v6 : Suite de l'accumulation

Lecture analytique Phèdre, Acte 2, scène 5 Dans cette scène, Phèdre fait l’aveu de son amour à Hyppolyte. Cet aveu est contre nature puisqu’il s’adresse à son beau -fils, le propre fils du mari de Phèdre, Thésée dont on ne connaît pas le sort. Selon Aristote, un événement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet événement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet événement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à la fois coupable

Commentaire composé : L’aveu de Phèdre Racine, Phèdre (1677), Acte II scène V Phèdre, connue pour être l’une des oeuvres les plus importantes de Racine, a marqué le début de son succès en 1677, pour en faire un des plus grand tragédiens du classicisme. Cette pièce, inspirée par la tragédie grecque d’Euripide, Hippolyte porteur de couronne (Ve siècle avant J.-C.) et la tragédie latine de Sénèque, Phèdre (Ier siècle avant J.-C.), représente l’amour prohibé de Phèdre, femme de Thésée, pour son beau-fils