Phèdre Monstrueux

Phèdre écris en 1677 est la dernière tragédie de Racine inspirée de l'Antiquité. Thésée est l'époux de Phèdre et le père d'Hyppolyte, absent au royaume. La scène trois est la première scène ou Phèdre apparaît. Elle veut mourir et sous les questions d'Oenone, sa confidente, elle finit par avouer la source de son mal : l'amour qu'elle porte à Hyppolite. Tirade son sous forme de récit passionné où elle reconstitue les étapes de sa passion, c'est-à-dire la naissance de cet amour monstrueux et les tentatives

de Phèdre, tragédie que Racine rédige à la fin du XVIIe siècle, dépasse le cadre traditionnel de la scène 1 de l’acte I : en effet, le dialogue entre Théramène et Hippolyte qui ouvre la pièce crée un effet d’attente. Rien ne permet encore d’expliquer l’étrange comportement de Phèdre, et la haine qu’elle semble vouer à son beau-fils. Ce n’est donc qu’à la scène 3, au cours de laquelle Phèdre avoue à Œnone, sa nourrice, l’amour qu’elle éprouve pour Hippolyte, que prend fin l’exposition. Phèdre apparaît

PHEDRE ( I , 3 ) de Racine : tirade de Phèdre uniquement (vers 269 à 316), INTRODUCTION : Situation de l'extrait: La pièce se passe à Trézène, dans le Péloponnèse. Le roi d'Athènes, Thésée,fils d'Egée, a disparu depuis plusieurs mois et passe pour mort ; Hyppolyte, fils de sa première femme, a été exilé à Trézène, à la demande de Phèdre, seconde femme du roi. Apparemment cette dernière,fille de la malheureuse Pasiphaé qui se consuma d'amour pour un taureau dont elle eut un enfant monstrueux

Phèdre, la fille de Minos et de Pasiphae. La « rayonnante », la « brillante ». Ascendance lourde s’il en est, à laquelle Phèdre ne manque pas de se référer, mais en insistant plutôt sur le caractère monstrueux et contre nature de la mère, que sur celui, volage, du père (davantage pris en charge, mais sans être pour autant assumé par Hippolyte avec Théramène). La première référence à son ascendance, au début de la pièce, est aussi la plus lointaine : le soleil, père de Pasiphae (42-), mais auquel

Phèdre , Acte 5, scène 5 A 1) Justification de ce récit Règle des unités. Bienséance. Justification de ce qui ne peut être montré. Transmutation du mal en poème. Nourrir l’intérêt du spectateur ; horreur et pitié. Participer utilement au dénouement. 2) Dramaturgie mise à mal Et particulièrement unité de temps ; entre la sortie d’Hippolyte et l’arrivée de Théramène, beaucoup de choses se passent. Or en 77 vers seulement. Rupture de l’unité de temps

 PHEDRE-RACINE (1° lecture analytique) -Montrer comment la révélation de l'aveu de Phèdre à Oeunone fait apparaître une violence tragique. Racine est un auteur du 17° siecle qui est célèbre pour avoir écrit des tragédies dont Phèdre qui la présente amoureuse de son beau fils. Cette scène est la première où apparaît Phèdre. C'est une scène d'aveu où elle avoue à Oeunone son amour coupable. L'extrait est un long monologue de Phèdre au cour du quel nous vairons comment sa révélation fait appéraitre

soeur des ennemis de son père, Thésée. Phèdre, fille de Minos et de Pasiphaé, la belle-mère d'Hippolyte (car Thésée s'est remarié), apparaît, accompagnée de sa nourrice et confidente, Oenone. - Elle est lasse et triste. - Après quelques vers sans conséquence elle (Phèdre) lui avoue (avoue à Oenone) qu'elle aime Hippolyte, son beau-fils, le fils de son mari, Thésée. Un page passe et annonce la mort du fils d'Égée, Thésée, le père d'Hippolyte, le mari de Phèdre et l'ennemi des frères d'Aricie. Acte

voire fatidique, car Phèdre, rongée par son amour qu'elle ne peut maîtriser, formule ici son aveu face à Hippolyte. Celui-ci vient de quitter sa chère Aricie, qui a finalement accepté et son amour et la royauté d'Athènes. Nous nous trouvons véritablement au tournant de la pièce tragique, car, en même temps que cet aveu horrifie Hippolyte, le propre fils de Phèdre vient d'être reconnu roi par les Athéniens et la rumeur se répand que Thésée n'est pas mort. Au début, Phèdre veut s'adresser à Hippolyte

telle que la conçoit Racine est qu'elle tend à posséder d'abord celui qui l'éprouve; elle est la négation de la liberté, la réfutation vivante de l'orgueil." L'étymologie du mot "passion" désigne celui qui subit. En nous basant sur notre lecture de Phèdre, nous pourrons voir que ceci est partiellement vrai. Mais le personnage passionné n'apporte-t-il pas lui aussi la douleur aux autres? Dans sa préface, Racine écrira notamment : "Les passions n'y sont présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre

Lecture : Phèdre de Racine I] Racine Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un poète tragique français considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l’un des deux plus grands dramaturges classiques français. II] Résumé de l’œuvre. • Acte I – Hippolyte annonce à son confident, Théramène, son intention de quitter la ville de Trézène pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi de Thésée. Phèdre, épouse