Phèdre Sénèque

Exposé oral : Phèdre de Jean Racine, 1677 -L’auteur : Jean Racine est né le 22 décembre 1639, à la Ferté-Milon, dans l’Aisne. Ses deux parents sont morts très tôt, c’est pourquoi il fut élevé par sa grand-mère. Ils déménagèrent à Port-Royal, et c’est là qu’il reçût une éducation intellectuelle très solide. Il put également nouer certaines relations qui furent très utiles plus tard dans sa carrière. Sa première pièce, L’Amasie, fut perdue et ne rencontra pas un grand succès. C'est grâce à Molière

Phèdre (Racine) Acte I Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée. Acte II Hippolyte propose à Aricie de lui rendre le trône d'Attique, laissé vacant par la mort

Tout d’abord, la passion impossible de Phèdre est causée par sa lourde hérédité. En effet, haïssant le Soleil, grand-père de Phèdre, Vénus, la déesse de l’amour, poursuit depuis des siècles maintenant une haine implacable envers sa lignée, conférant à Phèdre donc une aura tragique. Comme le démontre l’extrait qui suit, elle est maudite par la déesse : « Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachées : c’est Vénus tout entière à sa proie attachée. » Le feu qui brûle son corps et son âme n’est donc

ordonnée, nous allons montrer que les deux textes, Horace de Corneille et Phèdre de Racine, sont tous les deux issus d'une tragédie classique. Tout d'abord, on remarque dans le chapeau que les personnages d'Horace et de Phèdre sont issus d'une classe importante socialement, donc typiques de la tragédie classique : Horace a été désigné pour représenter Rome contre les ennemis Curiace et a donc un certain honneur, tandis que Phèdre a une confidente personnelle que seuls les riches peuvent payer. De

L’extrait que nous avons à commenter est un extrait de « Phèdre », tragédie classique écrite par Jean Racine, un très grand dramaturge du XVIIe, en 1677, il s’agit d’une pièce éponyme. Les plus célèbres pièces de Racine sont « Andromaque » (1667) et « Phèdre » (1677) qui représente son apothéose. Cette pièce nous raconte l’histoire de Phèdre, épouse de Thésée roi d’Athènes, follement éprise du fils de son mari avec une Amazone, cherchant par tous les moyens de cacher son amour pour

Trézène pour fuir son amour pour Aricie, qui est sur des Pallantides, un clan ennemi de Thésée. Phèdre est l'épouse de Thésée, elle avoue à Oenone, sa nourrice et confidente, la passion qu'elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée. Acte II - Aricie confie à sa servante (nommée Ismène) qu'elle est amoureuse d'Hippolyte, celui-ci arrive et dévoile ses sentiments. Phèdre vient voir Hippolyte afin de plaider la cause de son jeune fils à la succession de Thésée et déclare

uniquement le douzième et dernier livre. C'est au duc de Bourgogne qu'il fut dédié. Ce dernier est le petit fils du roi Louis XIV. Pour l'écriture de ses fables Jean de La Fontaine s'inspire principalement de la culture des fables greco-latine : Ésope, Phèdre, Tite-Live, Horace, Hippocrate, de l'écrivain italien Abstémius de la fin du XV em siècle, mais aussi de la culture indienne : Pañchatantra. Jean de La Fontaine a effectué un gros travail de mise en vers des textes. On trouve dans ses fables une place

L'homme est un loup pour l'homme Les fables des six premiers livres reprennent les schémas d'Ésope et de Phèdre, mettent surtout en scène des animaux et dégagent une ou plusieurs morales, le plus souvent traditionnelles aussi bien dans des apologues placés en début ou en fin de texte qu'à l'intérieur même des récits : « Nous n'écoutons d'instinct que ceux qui sont les nôtres,/ Et ne croyons le mal que quand il est venu » (livre I, fable 8 : « L'Hirondelle et les petits oiseaux »). Les livres suivants

La fable comme on en connait, existe depuis plus de mille ans avant notre ère. Le plus grand fabuliste de toute l’antiquité fut Esope. C’est un grand poète grec du VIIe siècle av. J.-C. Un bon nombre de fabulistes, se sont par la suite inspirés de lui, notamment, Le Corbeau et le Renard, Le Lièvre et la Tortue, et encore de nombreuses fables qui furent rééditées par différents fabulistes populaires. Et depuis toujours la fable a des buts importants. Il y a en effet un objectif distractif pour son

Le Curé et le Mort Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des