Pib Controversé

l’ONU, marché roi ou écologie # Une croissance ralentie, mais plus riche en emplois - Accumulation du capital, progrès technique et croissance + Chine : difficile d’innover + Controverse autour de la loi « Création et Internet » sur le piratage + L’avenir de l’immobilier + L’EPR : une bonne initiative ? + L’inflation fait son retour partout en europe + La productivité

* MESURER * PIB : somme des valeurs ajoutées des différents secteurs de production résidants y compris si la société appartient à des étrangers. PIB= VA +TVA + droits de douanes- subventions reçues. PIB donne des informations en valeur. Soit utilisé brut ou divisé en nombre d’habitant. Il est aussi utilisé en comparaison, d’une année à l’autre pour définir le taux de croissance. Avant 1976 , les services non-marchands n’étaient pas comptabilisé dans le PIB. On essaie d’évaluer

environ 20% du PIB réduisant ainsi considérablement les recettes fiscales. La crise financière a permis de mettre à jour les incohérences dans les comptes grecs. C’est ainsi que le gouvernement de Georges Papandreou a fait la lumière en révisant le déficit passant d’environ 6% à 12,7%.En mai le déficit est estimé à 13 ,6% qui est un des plus élevé dans le monde par rapport au PIB. La dette a été estimé à 216 milliards € et la dette publique accumulée devrait toucher 120% du PIB. Les obligations

c'est-à-dire le taux d’intérêt. D’autre part, selon les économistes libéraux, les emprunts de l’état par l’émission des titres entraînent une baisse du cours de ces derniers, donc une hausse du taux d’intérêt. En réalité, une hausse des dépenses d’un point du PIB augmente 1 à 1.25 point du taux d’intérêt, à une offre monétaire constante. La hausse du taux d’intérêt suite à des politiques budgétaires de relance est plus important au Japon, en Allemagne et aux RoyaumeUni qu’en France et aux USA. Dans un régime

Nos retards : D’après les écologistes pour sauver la planète, il faut sacrifier la croissance ! Mais on constate que la croissance et les revenus sont affectés si on ne traite pas les problèmes environnementaux. Alors faut-il investir dans le PIB mondial ? Alors que la France cumule des retards dans l’éolien, le solaire, l’isolation, le ferroutage, l’agriculture biologique… mais grâce à l’hydroélectricité, la France est le premier producteur d’énergies renouvelables avec l’Allemagne. Notre

premier bilan sur les retombées de sa politique globale. Un retour fragile à la croissance. La situation économique globale des Etats-Unis s’est considérablement améliorer depuis la récession économique. En effet, si le taux de croissance du PIB pour l’année 2009 était de -2,6% annuel les prévisions de croissance pour les années 2010 et 2011 sont de 2,6%. Les exportations nettes devraient diminuer de 0,5% en 2010 par rapport à 2009 ce qui confirme la tendance à la dégradation de la balance

rendre les étudiants capables de former des intuitions sur le fonctionnement de l’économie, ses réussites et ses insuffisances (crise financière, chômage, mondialisation inégalitaire,…). 6 Les courants classique et keynésien Les débats et controverses qui animent l’économie contemporaine se développent à partir de deux pôles : l'un basé sur la nécessaire flexibilité des comportements de marché et l'autre sur les déséquilibres inhérents au marché. Le courant dit « classique » est fidèle à l'idée

n'arrive pas à s'établir durablement à un taux inférieur à 8 %. Suite à la montée en puissance de la Chine, la France devient sur la période la 5e puissance économique. En 1975, Jacques Chirac lance un plan de relance représentant 2.8 points du PIB. Ce fût un succès mitigé : croissance de +4.4% en 1976, et forte inflation (+11%) et un gros déficit du commerce extérieur. En 1983, c’est un tournant de la rigueur et une adoption d’une politique économique dite de désinflation compétitive. Cette politique

l'inflation. On retrouve alors notre notion de « carré magique ». Si l'on touche a un point des quatre (Taux de croissance PIB, Taux d'inflation, Solde extérieur et Taux de chômage), un autre se verra modifier d'où la difficulté de mener des politiques conjoncturelles. Le document 3 nous montre alors les changements qui interviennent sur ces points au fil du temps. La croissance du PIB par exemple passe de 2,3 en 2007 a 0,3 en 2008. Ces politiques conjoncturelles sont donc a double facette, l'une peut

c'est-à-dire le taux d’intérêt. D’autre part, selon les économistes libéraux, les emprunts de l’état par l’émission des titres entraînent une baisse du cours de ces derniers, donc une hausse du taux d’intérêt. En réalité, une hausse des dépenses d’un point du PIB augmente 1 à 1.25 point du taux d’intérêt, à une offre monétaire constante. La hausse d’inflation n’est pas négligeable, moins forte à court terme qu’à plus long terme. En fait, la pression de la demande de monnaie pousse à la hausse des