Pib Controversé

publiques (PIB et déficit ne doivent pas être supérieur à 3 %) ; - Taux de change ; - Taux d’intérêts à long terme. Les pays qui respectent ces critères là peuvent adopter l’Euro. • 1999 – 2002 : Le taux de change entre la France et l’Euro est fixé ( 1€ = 6.55957frs ) L’Euro devient une monnaie unique le 1 Février 2002 et les monnaies nationales n’ont plus court. AVANTAGES LIMITES • Suppression des coûts de changes de monnaie. • Facilité de la comparaison des prix. • Controverser la suprématie

lien fondamental entre croissance et développement mais cela n’est qu’unidirectionnel. Dans la mesure où il y a croissance, se met en place un processus d’augmentation des richesses, une augmentation des infrastructures (investissement) et donc du PIB. La redistribution anime l’augmentation des dépenses publiques dans la santé et l’éducation pour donner en dernier lieu une augmentation de l’IDH pour un bien être probable. (Processus de développement) L’état intervient en prélevant (impôts, TVA)

un article que je vous recopie ci-dessous. Il m’a paru très intéressant de vous le communiquer. L’État providence français à bout de souffle Si la France a traversé 2009 sans trop de dommages par rapport aux autres économies développées – recul du PIB de 2,6 %, contre 4,1 % dans la zone euro –, elle le doit principalement à un acteur : l’État. Grâce aux prestations sociales qu’il a reversées aux ménages, ces derniers ont vu leur revenu disponible progresser en moyenne de 1,5 %. Mais à quel prix

LE ROLE DES LANGUES NATIONALES EN SUISSE Avantages : * Multilinguisme Suisse > Source de richesse ( 46 milliards de francs/an soit 9% du PIB ) * Compétences linguistiques > Investissement intéressant pour l’économie * Tradition plurilingue attractive car facilité pour faire des affaires * Organisations sociales  > travail commun avec trois, quatre, cinq langues > création de valeurs et avantages concurrentiels * Pluri-value économique de 46 milliards. Cependant toutes les

fonction de coordination o On peut répondre à ces questions suivant deux approches :  La macroéconomie  La microéconomie 1) La macroéconomie – part de données économiques agrégées, on se place au niveau d’une économie territoriale, une nation (ex : PIB, PNB,…) -> elle étudie des phénomènes économiques globaux. 2) La microéconomie – effectue le cheminement inverse -> elle consiste à se placer au niveau de l’individu ATTENTION : Il ne faut pas opposer macroéconomie et microéconomie, ce sont deux processus

livre : recherche sur la nature et les causes et la richesse des nations. Deux critères importants ressortent : 1er Montée de l’individualisme. 2ème Revendication de l’enrichissement personnel. Du fait d’économistes d’un bord différent, des controverses apparaissent : -Pour les néoclassiques, les relations économiques doivent être conçu comme un ensemble de marché. Confrontation OFFRE /DEMANDE d’où la fixation d’un prix. II. Deux types de vision de l’économie : -Microéconomie : Comportement

cause, notamment sur la question monétaire, par une crise qui semble renvoyer à plus tard le processus d'unification sociale et politique. Le poids de l'Union européenne à 28 partenaires (23,5 % environ du PIB mondial en 2012) suffit-il à contrebalancer l'influence des États-Unis (22 % du PIB mondial) sur l'économie mondiale ? Quel rôle cette union, fragile sur le plan politique, peut-elle jouer face aux géants émergents que sont la Chine, l'Inde ou le Brésil ? 1. L'Union européenne, une construction

le niveau de vie. Le concept du développement humain est plus large que ce qu'en décrit l'IDH qui n'en est qu'un indicateur, créé par le PNUD pour évaluer ce qui n'était mesuré auparavant qu'avec imprécision. L'indicateur précédemment utilisé, le PIB par habitant, ne donne pas d'information sur le bien-êtreindividuel ou collectif, mais n'évalue que la production économique. Il présente des écarts qui peuvent être très importants avec l'IDH1. L'indice a été développé en 1990 par l'économiste indien Amartya

Question de synthèse étayée par un travail préparatoire ( Document 1 |TCAM en % |Variation du PIB en volume |Facteur travail |Facteur capital |Productivité globale des | |Période 1991-2003 | | | |facteurs | |Allemagne |1,4 |-0,4 |0,7

Généralités 2. Des consommateurs adaptés au marché du luxe 1. Une clientèle existante 2. Répartition géographique des consommateurs 3. Des circuits de distribution qui se développent 4. Cependant, des controverses existent. Conclusion de la partie 1 2. Les caractéristiques du marché du luxe au Brésil 1. Les principales marques de luxe implantées au Brésil 2. La provenance des importations brésiliennes