Pib Par Défaut Et Par Excés

dette publique totale (66 % du PIB) ne montrent pas de tension sérieuse. Ce constat reflète aussi l’absence de dette extérieure nette et l’absorption réussie, en 2005, de chocs exogènes non-négligeables (pétrole, textile, sécheresse). En outre, cette économie volatile, à l’insertion internationale fragile, conserve des marges de manœuvre pour répondre efficacement à d’éventuels nouveaux chocs (commerce extérieur, risque climatique, terrorisme, etc.). Le double excès d’offre observé sur les marchés

à une croissance qui s'appuie sur la bourgeoisie, quand la IIIe République favorise la petite entreprise. Le vrai bouleversement économique français a lieu durant les Trente Glorieuses. ! Tout cela a été représenté par les économistes comme un défaut français, un retard français. Certains comme Francois Crouzet considère la question sous un autre aspect en observant que le résultat in fine est le même. La Révolution Industrielle en France a été un processus lent, progressif et supportable pour

relations circulaires qui s’établissent entre les activités et les acteurs pour constituer ce que l’on appelle l’économie nationale. Le PIB, reflet d’une représentation de la réalité économique. L’intégration, à partir de 1976 des services non-marchands produits par les administrations et évalués aux coûts des facteurs, a certes constitué une amélioration, mais le PIB est loin de prendre en compte tous les services non marchands. La production domestique, dont les facteurs ne sont pas rémunérés, en

PRINCIPES DE LA POLITIQUE BUDGETAIRE L’action de l’Etat peut se mesurer par l’importance de son budget. Celui-ci ne se réduit pas à sa seule nature de document comptable. Il constitue l’un des moyens utilisés par les gouvernements pour encadrer, à défaut de pouvoir contrôler, l’évolution de la conjoncture économique. Ainsi, la politique budgétaire d’un État n’est jamais neutre : son versant fiscal, notamment, peut être défini comme un levier de consommation (une imposition moindre permet une augmentation

l'expression de Fourastié 1) est marquée par une croissance annuelle du PIB de 5% en moyenne. Mais cette période de prospérité prend fin à partir des années 1970 pour céder la place à une longue phase de ralentissement de la croissance, entrecoupée il est vrai d'une brève reprise à la fin des années 1980. Durant les années 1990, les EtatsUnis se caractérisent par une période continue de forte expansion 2 - avec un taux de croissance annuel du PIB de l'ordre de 4% -, tandis que les pays d'Europe continentale

(Schumpeter, Solow) qui dépend des dépenses de R&D, de la fiscalité, de l’esprit d’entreprise. Pour être innovant, il faut dépenser au moins 3 % de son PIB (on le sait depuis le protocole de Lisbonne) à des dépenses de R&D. La décennie 2000 a été une décennie gâchée de ce point de vue, puisque dans un pays comme la France on dépense 2.2 % du PIB (Japon 3 % Chine 4 %) Les économies dynamiques ne sont pas loin de ce standard, tandis que les pays en retard en sont éloignés. Capacité de certains pays

coût-bénéfice. Pour évaluer une politique ex post, on peut faire appel à des expériences contrôlées (en comparant un groupe qui a été soumis à cette politique à un autre qui ne l'a pas été). Pour évaluer les politiques, on ne saurait se contenter du PIB comme mesure du bien-être, car cet indicateur est très critiqué. Parmi d'autres indicateurs, citons l'IDH, qui prend en compte d'autres critères (santé/longévité, savoir ou niveau d'éducation, niveau de vie). Les évaluations ne doivent pas négliger

que l’on rattrape ce niveau. NB : en 1970 : il a fallu 2 ans ½ (1976) 3. Amplitude, ou, profondeur exceptionnelle (par rapport aux autres périodes) Données chiffrées : Chute de la production industrielle aux USA ; chute du volume du PIB (- marquée) 1929-1938 : - 44,7%. ; -29.5% France : 1929-1938 : -25,6% ; -11% Pour les autres pays, l’amplitude est aussi beaucoup plus forte pour la crise des 1930’s quelque soit la crise. Exception pour le Japon : -7,3, -7,2 et

crise boursière dégénère très vite en crise bancaire. Prises en tenaille entre l'effondrement de la valeur de leurs actifs (parfois trop engagés dans des affaires douteuses, mais même des entreprises honorables et solides sont massacrées[3]), les défauts de remboursement de leurs emprunteurs, et la réduction de leur activité de crédit, des banques font faillite au premier faux pas et finalement en 1932, le système bancaire s'effondre. Avec la déconfiture du système bancaire, et la population s'accrochant

tendance à la spécialisation va se heurter à des obstacles: – la quantité disponible de facteur de production: varie selon la taille du pays (terre), la population (travail) et la richesse (capital) – limite quantitative Si tout les PIB des pays développés ont diminué, le CI en valeur a encore plus diminué. (20% environ) L’indépendance Stratégique Certaines spécialisation peuvent se traduire par un abandon de compétence qui dans le temps se révélera être une source se dépendance