Pib Par Défaut Et Par Excés

d’acquisition. Sur les 100 entreprises les plus riches : une quarantaine d’européennes (dont 12 françaises), une trentaine d’américaines, une vingtaine de japonaises… Wal-Mart = 0,6 du PIB mondial. B. Le gigantisme a toujours inquiété : des dénonciations très diverses 1. Les inquiétudes suscitées par le défaut d’atomicité, la crainte du monopole La théorie du monopole, le modèle même de la CPP suppose l’atomicité pour que l’entreprise soit price taker et non price maker. A partir de là

également été un facteur aggravant de la situation économique. Les conséquences de la crise financière sont très lourdes car une multitude de causes sont à l’origine de cette crise. Pour revenir sur la crise immobilière, la première cause concerne les excès du crédit. Celle-ci est partie des Etats-Unis en 2006, et de façon plus précise des crédits dits « subprimes », littéralement « surprime », à savoir des crédits à risque octroyée par les banques. En effet, les établissements bancaires ont développé

minute L’Insee affirme que la France serait à l’abri d’une « bulle » immobilière. Dans une étude, l’institut observe que « le niveau d’endettement des ménages et les modes de distribution du crédit par les banques semblent prémunir la France des excès qui ont conduit à la formation d’une bulle comme aux EtatsUnis ou en Espagne. Les conditions financières offertes aux ménages (taux d’intérêt sur les crédits, durée d’endettement) leur ont permis de s’adapter à la hausse des prix ». Toujours selon

qui investit moins, a une croissance moindre. ð Il explique les phénomènes de rattrapage des pays qui ont commencé leur croissance économique plus tardivement. Hypothèse retenue par ce modèle : propriété de convergence (plus le niveau de départ du PIB/hab est faible, plus le taux de croissance attendu est élevé).C’est le cas de la France vis à vis des Etats Unis entre 1950 et 1970, du Japon entre 1960 et 1980. Le modèle de Solow délivre un message optimiste : tous les pays qui font un effort d’investissement

sur des théories économiques. Les approches corrélatives descriptives : mise en corrélation de variables économiques. Ex : la courbe de Phillips. Cette courbe ne fonctionne pas. Ex : la courbe de Lorenz. Ex : relation taux de chômage et PIB. Ex : la courbe de Laffer. Les approches logiques : partie théorique. Grands principes théoriques qui sont les moteurs des prévisions économiques. Ex : dilemme, compréhension de l’économie par l’offre et compréhension de l’économie par la

stabilité du prix. La stagflation est souvent u couplage entre une stagflation et une certaine évolution des prix. La théorie des prix = s’attache à l’émission des prix. Problème 4, 5 et 6 = analyse macro-économique = étude des grands agrégats économiques (PIB). C – Les agents de décision L’économie nationale = ensemble des unités résidantes sur le territoire national. Unité résidante = unité qui réalise des opérations économiques pendant plus d’un an sur un territoire. Ex : filiale d’une multinationale

stagflation est souvent u couplage entre une stagflation et une certaine évolution des prix. La théorie des prix = s’attache à l’émission des prix. Problème 4, 5 et 6 = analyse macro-économique = étude des grands agrégats économiques (PIB). C – Les agents de décision L’économie nationale = ensemble des unités résidantes sur le territoire national. Unité résidante = unité qui réalise des opérations économiques pendant plus d’un an sur un territoire. Ex : filiale d’une multinationale

.............................................................................................................. 8 1.1. Le rôle de monnaie internationale .................................................................................. 9 1.2. Les défauts du régime actuel ........................................................................................ 13 2. Perspectives pour les prochaines décennies.................................................................. 16 2.1. Le basculement de

des le C'est développement un contresens dans ne le de respectent domaine coûts, TIs sur ce thème. de du pas leurs engagements durable, industrielle nationaux essentiellement ou expliquer par politiques l'environnement. confusion. excès d'acceptabilité développement compétitivité sont donc peu enclins à leurs de politiques simplification, limitent - mouvements durable majeur écologistes à qui génère la ou protection des partis de de beaucoup

inégalités économiques et sociales dans de nombreux pays en termes de classes et de parité entre les sexes – souvent associés aux pressions exercées en faveur d’un rôle diminué de l’Etat et des institutions sociales qui contribuaient à corriger les excès des mécanismes de marché. On s’aperçoit progressivement que la cohésion sociale dans de nombreux pays et régions est menacée par les politiques et les processus encourageant avant tout la croissance économique au détriment des objectifs politiques