Pib Par Défaut Et Par Excés

MENSUELS......................................................................................... 15 INDICATEURS ECONOMIQUES ANNUELS........................................................................................... 16 PREVISIONS DE CROISSANCE DU PIB CHINOIS ............................................................................... 17 Perspectives de l’économie chinoise en 2010 : vers une croissance soutenue La reprise de l’économie chinoise a surpris par sa rapidité et sa vigueur : la

d’inflation au Maroc 1990-2008 Evolution du déficit budgétaire en % du PIB Demande étrangère adressée au Maroc Evolution mensuelle des recettes MRE Evolution des IDE au Maroc Impact des canaux de transmission de la crise Dépenses d’investissement Evolution des prévisions de croissance du FMI pour 2009 Taux prévisionnels d’évolution du PIB en France, Espagne et Italie Taux de chômage prévisionnels en France, Espagne et Italie Evolution du PIB mondial et du commerce international Source de financement des

disposent pas nécessairement des moyens suffisant pour le faire. A l’inverse, certains agents économiques ont à leur disposition un excédent de ressources disponibles non employé. Ils peuvent soit recourir au crédit bancaire (mais effets pervers de ses excès), soit se rencontrer sur les marchés de capitaux où se confrontent directement les besoins et les capacités de financement. Le développement des marchés de capitaux et leur internationalisation ont cependant débouché parfois sur des crises financières

variable et à court terme. La hausse des taux courts américains décidée fin 1979 a donc considérablement alourdi la charge de la dette. Le pays où la situation de la balance des paiements s’est dégradée le plus rapidement a été le Mexique, qui a fait défaut brusquement en août 1982. Cela a eu un effet de raréfaction générale du crédit et provoqué une crise bancaire mondiale. La banque centrale américaine dut baisser ses taux en catastrophe, tandis que le FMI accordait des lignes de crédit d’urgences

1500 Md€ à fin 2009………………………………………………………. 8 A - Une forte croissance des dépenses et une chute des recettes…………………………………………………….. 8 B - Un déficit structurel élevé et aggravé en 2008 et 2009……. 11 C - Une dette en hausse de plus de 10 points de PIB…………… 16 II - Une position défavorable en Europe……………………….. 16 A - Les soldes………………………………………………….. 17 B - Les ratios d’endettement…………………………………… 20 C - Les dépenses et les recettes publiques…………………….. 21 Conclusion………………………………………..……………….. 24 Chapitre

publiques classiques correspondent à un contexte dans lequel les finances publiques se limitaient à financer les activités régaliennes de l’Etat (Etat gendarme). Ainsi, les finances avaient un volume restreint : elles représentaient environ 10 % du PIB contre environ 53 % aujourd’hui. Cela a entraîné la neutralité des finances publiques, c'est-à-dire l’absence d’influence des finances publiques sur l’économie. • En conséquence, l’impôt paraissait donc suffisant et le budget était en équilibre

dominé par des établissements de dépôts réglementés qui se servaient des dépôts pour effectuer des prêts immobiliers 17/03/2014 Dr Babacar Sène FASEG UCAD 88 SUITE : Evolution du marché  Ces prêts étaient affectés par :  Le risque de crédit ( défaut de paiement )  Le risque de marché ( volatilité des taux d’intérêt )  Le risque de liquidité ( financement d’actifs long terme par des engagements à court terme ) 17/03/2014 Dr Babacar Sène FASEG UCAD 89 SUITE : Evolution du marché  La création

contre les risques de l’existence et visent à répondre à un certain nombre de besoins incluant les législations de protection des travailleurs, l’éducation ou encore la fiscalité. Cette délimitation du champ de la protection sociale a également un défaut principal, qui est inhérent à toute approche descriptive. En effet toute définition par énumération est toujours suspecte d'arbitraire : pourquoi s'arrêter là ? Pourquoi ne pas intégrer d'autres risques (comme le risque catastrophe naturelle ou

façon optimale au sens de Pareto. Les actions génératrices d’externalités positives seront sous-produites parce que le marché n’intègre pas le bénéfice social qu’elles apportent. Inversement, les activités à externalités négatives seront produites en excès car le coût social qu’elles occasionnent ne sera pas pris en compte par le mécanisme aveugle du marché. L’intervention de l’État – représentant même imparfait de l’intérêt collectif – s’avère indispensable pour corriger cette défaillance du marché

3 4,1 - 6,5 158,9 0,02 1,39 52,6 3,7 Population (Mns-2004) PIB (mds euros PPA-2004) PIB en % du PIB mondial (2002) PIB par habitant (euros PPA-2004) Taux de croissance (en vol. 2005/2004) Taux d'inflation (2005) Taux de chômage (avril 2006) Solde des APu (% PIB-2005) Dette publique (% PIB - 2005) Taux d'intérêt court terme (3 mois -2005) Taux d'intérêt long terme (2005) Capita. boursière (Fin 2002-en % du PIB) Solde courant (% PIB-2004) Source BCE (décembre 2007) Pour mettre à jour ce type