Pieds-noirs

ma grande chaise, Mi-nue, elle joignait les mains. Sur le plancher frissonnaient d'aise Ses petits pieds si fins, si fins. - Je regardai, couleur de cire Un petit rayon buissonnier Papillonner dans son sourire Et sur son sein, - mouche au rosier - Je baisai ses fines chevilles. Elle eut un doux rire brutal Qui s'égrenait en claires trilles, Un joli rire de cristal Les petits pieds sous la chemise Se sauvèrent : « Veux-tu finir ! » - La première audace permise, Le rire feignait

système hypothétique si Réfutation de l’argument : le sucre est un produit de luxe et non de première nécessité. Il n’est donc pas acceptable qu’on maltraite des hommes pour la gourmandise d’autres. Argument 3 : Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé, qu'il est presque impossible de les plaindre. D’ordre esthétique mais aussi racial. La logique est exprimée dans le rapport cause/conséquence et dans l’affirmation péremptoire « il est presque

Le statut de l'Algérie est différent de la Tunisie et du Maroc car elle est directement rattachée à la France. A partir de 1954, la France connaît une crise profonde avec l'Algérie. Elle est composée d'une minorité de 3 millions d'européens, les pieds noirs. Les indépendantistes (nationalistes et extrémistes) créèrent le parti du FLN avec Ben Bella et Krim Belkacem (Front de Libération Nationale) en 1954. Une série d'attentats intervient sur tout le territoire algérien. Mendès France et son ministre

navire négrier nommé l’Espérance. Il se fou complètement de ses esclaves et les traites sans aucune pitié. Il possède probablement le plus gros bateau d’esclave de toute l’Europe. ‹‹ il faut avoir de l’humanité, et laisser à un nègre au moins cinq pieds en longueur et deux en largeur pour s’ébattre pendant une traversée de six semaines et plus ››.( P.70 L.46-48 ) Tamango C’est un noir d’Afrique. Il pratique illégalement la traite d’esclave nègre. C’est un homme assez costaud et un guerrier

utilisée pour critiquer le monde, ou la société. "Candide et *Cacambo* montent en carrosse ; les six moutons volaient, et en moins de quatre heures on arriva au palais du roi, situé à un bout de la capitale. Le portail était de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large ; il est impossible d‘exprimer quelle en était la matière. On voit assez quelle supériorité prodigieuse elle devait avoir sur ces cailloux et sur ce sable que nous nommons or** et pierreries**. Vingt belles filles de

guerre d'Algérie L'Algérie a un statut à part  : conquise dès 1830, elle est constituée de trois départements français et fait à ce titre partie intégrante du territoire français. C'est aussi une colonie de peuplement qui compte un million de pieds noirs (d'origine métropolitaine), pour 9 millions d'autochtones, essentiellement musulmans, et 150 000 juifs. Cette situation particulière va entraîner l'Algérie dans une guerre de décolonisation très violente. Il faudra huit ans pour que les trois départements

mais l'Algerie, elle, lutte pour son indépendance. Différents groupes porteurs de mémoire (ensemble d’individus partageant une même mémoire collective.) se sont donc créés, les harkis (soldats Algeriens engagés auprès de l'armée française), les pieds noirs (civils français envoyés en Algerie pour coloniser le territoire), les Algeriens etc. créant de multiples mémoires cultivées par les différents protagonistes. Dans ce débat entre Medhi Lallaoui et Henry Rousso on remarque des objectifs bien differents

  I ­ La guerre d’Algérie : des mémoires plurielles    A. Commémorer la journée du 19 mars 1962    Proposition de Jacques Chirac de commémorer la journée du 19 mars 62  > Cessez le feu, fin de la guerre.  (départ de tout les pieds noirs en juillet 62)  Pour les pieds noirs ce n’est pas un jour de commémoration mais de deuil.    Discours de Ch. de Gaulle : “Je vous ai compris !”  Mais qui ? Discours imprécis qui provoque la colère de Français d’Algérie une fois la guerre  perdue : ils se sentent trahis

aurait pu le faire- il n’y aurait pas eu non plus d’OAS… c’est une vérité première. Durant un an elle fit la guerre, comme le FLN la fit durant sept ans et, pour son malheur, les Français de Métropole ne retinrent d’elle que ses aspects les plus noirs. Ils ignoraient –ou feignaient d’ignorer- les exactions du FLN, des barbouzes et des gendarmes mobiles. Ils ne considéraient déjà plus l’Algérie comme un département français… et ils s’en fichaient. Ils souhaitaient se débarrasser au plus vite du «

L’histoire d’un foulard blanc à pois noirs et d’un violoncelle. Je devrais rajouter encore une touche de blanc au visage de la femme, pour rappeler d’avantage la couleur de son foulard à pois noirs. Bien. Maintenant je crois que c’est bon. Ses cheveux dressés sur la tête, étouffés par la nuit, elle me fixait avec ses yeux globuleux et effrayants. Ce soir elle reviendrait de nouveau me visiter, comme toutes les nuits de chaque hiver depuis sa mort. C’était il y a cinq ans exactement. Par