Pieds-noirs

Le statut de l'Alg�rie est diff�rent de la Tunisie et du Maroc car elle est directement rattach�e � la France. A partir de 1954, la France conna�t une crise profonde avec l'Alg�rie. Elle est compos�e d'une minorit� de 3 millions d'europ�ens, les pieds noirs. Les ind�pendantistes (nationalistes et extr�mistes) cr��rent le parti du FLN avec Ben Bella et Krim Belkacem (Front de Lib�ration Nationale) en 1954. Une s�rie d'attentats intervient sur tout le territoire alg�rien. Mend�s France et son ministre

soit-il, a lieu alors une « accélération mémoriel » des deux cotés de la méditerranée. En France, la guerre d'Algérie a changer la vie des différents protagonistes du conflit, ceux la vont se battre pour la reconnaissance de leur situation. Les pieds noirs se sentent mal accueilli en France, et sont pour la plupart nostalgique de leur vie en Algérie. Les harkis sont considéré comme traîtres par les autres immigrés du Maghreb et sont associé par la société aux opposants, ils sont victime du rejet croissant

l’exterieur de l’évenement […]Mais des liens : Histoire se construit grace aux memoires Histoire alimente memoires Historiens travaiilent sur l’evolution de la mémoire 1830 : colonisation de l’algerie Colonie de peuplement , sur place 1milion de pieds-noirs et 9milions d’algériens qui n’ont pas les memes droits 1945 : emeutes par independence 1954 : commencement de la guerre d’algerie avec plusieurs attentats (bon belleq) 1956 : envoie des contigents (def :Ensemble des jeunes gens appelés au service national pour une mêmeannée

avait les yeux sur les pieds de Z. Voltaire se moque bien évidemment de cette sottise qu’il oppose à l’esprit rationnel du siècle des Lumières, nota décision Z. -Décisions prises par Z. La réponse de Zadig est du plus grand comique : elle est brève (par opposition à la lente montée de l’attente au bord de l’explosion sociale), elle est simple, elle fait honte aux deux partis par son caractère grotesque (ce n’est pas très digne d’entrer dans un lieu sacré en sautant à pieds joints) et ordonne de faire

le nom de Malcolm X, est né le 19 mai 1925 à Omaha, son père Earl était pasteur de l'Eglise bâptiste et militant de la Universal Negro Improvement Association, fondé par Marcus Garvey (pasteur d'origine Jamaïquaine et qui préconisait le retour des noirs d'Amérique vers l'Afrique), sa mère Louise était d'origine antillaise et avait la peau très blanche car sa mère avait été violé par un blanc ; elle détestait son tint blanc. Malcolm était le quatrième enfant né du couple mais le septième de son père

“Porteur de valise” )et une troisième ralliée au slogan de l'« Algérie française ». Nous allons donc voir l’Algérie en 1945, nous poursuivrons par la guerre et nous terminerons par les conséquences. Depuis 1930, 1,5 million de « pieds-noirs » ( nom donné aux européens venus s'installer en Algérie ) d’origine française y sont installés depuis déjà plusieurs générations. Ils sont les seules à avoir accès aux droits civiques et politiques nationaux ; ils sont également les principaux

antiques,Où règnent tour à tour le père des chansons,Phoebus, et le grand Pan, le seigneur des moissons. La muse vénaleÔ muse de mon coeur, amante des palais,Auras-tu quand Janvier lâchera ses Borées,Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées,Un tison pour chauffer tes deux pieds violets? Ranimeras-tu donc tes épaules marbréesAux nocturnes rayons qui percent les volets?Sentant ta bourse à sec autant que ton palais,Récolteras-tu l'or des voûtes azurées? Il te faut, pour gagner ton pain de

garde une bonne conscience malgré ses actes horrifiant. Ledoux participe illégalement à la traite des noirs et sans état d'âme, pour lui les esclaves ne sont qu'une marchandise et il ne se préoccupe point de leurs conditions de vie dans le bateaux, tous serrés les uns contre les autres, « les noirs, le dos appuyé aux bordages du navire, et disposé sur deux lignes parallèles, laissaient entre leurs pieds un espace […] [où il y avait] d'autres nègres, couchés perpendiculairement aux premiers » (l.40-45)

DÉVELOPPEMENT « Si j'avais eu... » => montre l'ironie La brieveté des paragraphes montrent la brieveté des arguments : ce sont des préjugés. Il n'y a aucune logique. Usage systématique du pronom personnel indéfini « on » Champ lexical du corps « pieds », « nez », « couleur de peau », « cheveux » = préjugés racistes basés sur la différenciation physique Utilisation d'une éparnorthose, figure de style consistant à corriger une affirmation jugée trop faible par l'ajout d'une expression plus frappante

s'étendre Un coteau vert, que le couchant jaunit; Puis un château de brique à coins de pierre, Aux vitraux peints de rougeâtres couleurs, Ceint de grands parcs, avec une rivière Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs. Puis une dame, à sa haute fenêtre, Blonde aux yeux noirs, en son costume ancien Que dans une autre existence peut-être J'ai déjà vue et dont je me souviens! la rime embrassée II est un air,| pour qui je donnerais a