Pieds nus

C'est un garçonnet pieds nus, en chemise déchirée, cousant à la machine une guirlande de petits drapeaux anglais. Le pochoir s'appelle Slave Labour ("travail d'esclave"). D'un mètre carré environ, il a été peint en juin 2012 sur un mur de Haringey, dans le nord de Londres, pour se moquer des festivités du Jubilé de diamant de la reine. Les médias britanniques l'ont beaucoup montré. Son auteur est le plus coté et le plus célèbre des artistes de rue du Royaume-Uni, l'invisible Banksy. On retrouve

« elle » qui représente la féminité, une fille on peut supposer et un « je »qui représente l’auteur, il est seul a parler dans le texte. Deux traits caractérisent le personnage « elle » la beauté et la nudité (elle est déchaussée et pieds nus). Le poème insiste sur ses pieds nus qui permettent d’érotiser la scène. Il ya un échange de regard « je crus voir une fée » ; « elle me regarda » ; « elle me regarda pour la seconde fois ». L’auteur invite la jeune fille par la citation ambigüe « Veux-tu t’en venir

sommet d’une pyramide de corps. Elle attire notre regard et celui des hommes qu’elle domine. Mais que fait cette femme à moitié nue, au milieu des coups de feu ? En réalité, Delacroix signale qu’elle relève d’un autre monde : « son buste, ses pieds nus, la ligne serpentine de son corps, le drapé aérien de sa tunique »(1) sont inspirés des statues grecques antiques comme la Vénus de Milo. Bien qu’elle marche droit sur nous, son visage désaxé se retrouve de profil comme une médaille. Derrière

Victor Hugo. Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c’est le mois où l’on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive ; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la

Une peinture à la gloire de l’homme aryen Détermination Musculature / culte du corps / perfection Short blanc / modernisme Temple greco romain / référence à l'antique et à l'olympisme Pieds nus / état sauvage / force brute / référence à l'athlétisme antique Cheveux clairs Regard froid, droit, sans peur, déterminé, hautain Cyprès / référence à l'Antiquité Sol en perspective / Ordre et respect linéaire des proportions / art supérieur. / Art antique PRESENTATION La propagande des états totalitaires

Une peinture à la gloire de l’homme aryen Détermination Musculature / culte du corps / perfection Short blanc / modernisme Temple greco romain / référence à l'antique et à l'olympisme Pieds nus / état sauvage / force brute / référence à l'athlétisme antique Cheveux clairs Regard froid, droit, sans peur, déterminé, hautain Cyprès / référence à l'Antiquité Sol en perspective / Ordre et respect linéaire des proportions / art supérieur. / Art antique PRESENTATION

électrocution, décès Situation N°1 Danger Travail en hauteur Situation dangereuse Evénement dangereux Le salarié est monté sur un escabeau, pieds nus Il glisse, avec la poussée sur la perceuse Dommage Contusions Fractures Situation N°1 Travail en hauteur Travail sur un escabeau Personne Situation de travail Fracture, contusions Les pieds de la personne glissent de l’escabeau ÉVALUER LE RISQUE L’évaluation du risque conduit à donner une dimension à cette situation potentiellement

elle était déchaussée Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre

besoins et beaucoup de désirs  insatiables…    Diogène de Sinope  Le cynique le plus célèbre  Mode de vie d’un Cynique  ­ Il avait un mode de vie misérable,  vivait dans un tonneau et il avait  pour possession un manteau, un  sac et un bâton  ­ Il marchait toujours pieds nus, avait  la barbe longue , était sale…  ­ Comme Socrate, Diogène était un  Philosophe des rues. Il jouait le rôle  d’un provocateur.  ­ Il était célèbre, mais il détestait la  célébrité.    L’Homme qui remet tout en question  ­Il entrait au théâtre par la porte de sortie

décoiffée... Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle