Pieds nus

d’une chose “aux immenses pieds nus, tannés, fort sales, osseux, poilus et veineux, et dont les orteils étaient effrayement écartés“ et aussi qu’une “profonde rigole médiane traversait son crâne halé et chauve auquel elle donnait l’aspect d’une selle“, on a l’impression qu’il parle là d’une créature sauvage et nouvelle alors qu’il parle d’un homme. Honoré de Balzac et Marc Dugain font aussi ces descriptions en parlant respectivement d’une créature “plantée sur ses pieds comme un chêne de soixante

définir la liberté sans en être privé. AS Je vais pas donner toutes mes phrases quand même ? D apparut : elle était une fille de taille moyenne, pieds nus, avec un long vêtement qui descendait jusqu'au genoux, en remontant on pouvait noter sa fine taille qui lui donnait des allures de danseuse, elle avait de longs cheveux très clairs et très blonds qui se déposaient sur ses seins. Son long cou était

petite Dia : île de Dia feritur : est frappé aquis aequoreis : par les eaux marines (527)Utque : et comme Erat e somno: elle était hors du sommeil tunica velata(p.passé.passif) : vêtu d’une tunique recincta : dénouée (528) Nuda pedem : pieds nus (nu quant aux pieds) Comas croceas : ses cheveux couleur de safran Inreligata : sont déliés (p.p.passif) (529) clamabat : elle criait ad undas surdas : aux flots sourds Thesea crudelem : la cruauté de Thésée (530 : abl.abs) imbre : une pluie rigante : baigant

Evaluation de la condition physique des agents 1) Test d’adaptation à l’effort : Test de Ruffier Dickson Après être resté allongé environ 5 minutes au calme:  Prendre son pouls (P1)  Réaliser 30 flexions complètes sur les jambes, bras tendus et pieds bien à plat sur le sol, en 45 secondes. Prendre son pouls juste après (P2)  Se rallonger et reprendre son pouls 1 minute après la fin de l'exercice (P3) Indice Dickson = ((P2-70) + 2(P3-P1))/10        Indice < 0 = excellente adaptation à l’effort

photographié son corps sans fioritures, en le découpant en sections, des pieds jusqu'aux mains ridées! ! Lorsque, en 1984, il commence à photographier son corps nu, il trouve là le sujet dans lequel il ne cessera de s’impliquer de façon obsessionnelle. En effet, il ne travaille depuis que sur les différents aspects de son corps : d’abord la silhouette tout entière, puis les mains, et les pieds. ! ! Les nus de coplans se distinguent par la clarté et la richesse, poussées à l’extrême

hauts. • Au second plan on peut voir: -Un homme (soldat) mutilé, au corps désarticulé et aux yeux vides (=trous d’obus) faisant la manche et à qui un passant donne un timbre. -Derrière lui se trouve une petite fille seule nus pieds (le visage de profil et l’oeil de face). A ses pieds se trouve un bout de journal où est écrit « iktatur von rechts » (« dictature de droite »). • Le dernier plan se compose: -De vitrines de magasins dans l’une sont exposées des perruques pour dames, et dans l’autre on

temps, saisons, printemps, hivers ; Et chaque battement, dans l’énorme univers, Ouvre aux âmes, essaims d’autours et de colombes, D’un côté les berceaux et de l’autre les tombes. Elle songe, elle rêve, — et tant de pauvreté ! Ses petits vont pieds nus l’hiver comme l’été. Pas de pain de froment. On mange du pain d’orge. — Ô Dieu ! le vent rugit comme un soufflet de forge, La côte fait le bruit d’une enclume, on croit voir Les constellations fuir dans l’ouragan noir Comme les tourbillons

joli Les poules dans la cour caquètent L'aube au ciel fait de roses plis L'amour chemine à ta conquête Mars et Vénus sont revenus Ils s'embrassent à bouches folles Devant des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux roses dansent nus Viens ma tendresse est la régente De la floraison qui paraît La nature est belle et touchante Pan sifflote dans la forêt Les grenouilles humides chantent Clotilde L'anémone et l'ancolieOnt poussé dans le jardinOù dort la mélancolieEntre l'amour

vont rejoindre leurs compagnon de toute la journée que sont les tas d'immondices qui rodent derriere et devant les maisons . Enfants des matitis qui attendent toujours le pere noel pour qu'il leur remette des cadeaux. Et comme il n'y met pas ses pieds, alors là, lorsqu'il se retrouvent avec leur compagnon de toute la journée, ils se font leurs propres cadeaux de noêl. Une roue de voiture est si vite devenue une voiture de police ; une epave de congélateur, une maison ; un pied de chaussure pour

arrivée, mes parents y avaient installé une vieille balançoire usée par les nombreux déménagements. Je m'asseyais là et me balançais lentement, sentant les brins d'herbe, trop longs et jaunis par le soleil, qui frôlaient et chatouillaient mes pieds toujours nus. Et je parlais, il m'arrivait parfois de rester des heures là à parler dans le vide. Puis, dès que je me sentais apaisée, je me mettais à jouer : je sautais d'une balançoire à une autre, je m'imaginais comme une grande aventurière et me cachais