Pierre De Marbeuf Sonnet

L’ombre de l’amour.· Anacréon, “Eros ou l’Amour piqué par une abeille” p.35· Etienne Jodelle, “Amour vomit sur moi sa fureur et sa rage” p.64· Marceline Desbordes-Valmore, “Qu’en avez-vous fait?” p.89· Stromae, “Carmen” p.131· Pierre de Marbeuf “Sonnet pour Philis”La section “L’ombre de l’amour” réunit les poèmes qui avertissent des dangers et inconvénients de l’amour autrement dit le côté obscur, d'où son titre. Dans “Éros ou l’Amour piqué par une abeille” on retrouve la rose qui est la fleur traditionnelle

moyen de défendre une idée ou d'exprimer ses opinons. On voit d'ailleurs dans le poème de Christine de Pisan à l'époque du Moyen-Age, qu'elle se sert de la poésie pour exprimer sa souffrance, son chagrin envers sa propre vie. J'ai choisi un sonnet de Pierre de Ronsard où le poète exprime sa peur de mourir et par ses Derniers Vers qui s'adressent directement au lecteur, qui m'ont beaucoup ému avec sa description noire de la mort en nous disant « Adieu ». D'autres comme Alphonse de Lamartine ont

| |Lectures analytiques : | |1- P. de MARBEUF. "Et l’amour et la mer " | |2- J. de SPONDE."Mais si faut-il mourir…"

Sauras-tu jamais » (exprimé à quatre reprises). La douleur amoureuse est donc une source d’inspiration pour Aragon qui la cultive à travers l’art du langage qui prend ici la forme d’une prière, d’une supplication. « Et la mer et l’amour » de Pierre de Marbeuf est un sonnet baroque dont le thème est la souffrance due à la passion amoureuse. Il propose une comparaison recherchée entre la mer et l’amour et ces deux thèmes sont entrelacés tout au long du poème. Le poète nous expose une vision d’une mer tourmentée

récentes, seul le sonnet est conservé * Poésie orale XVIIème siècle : mouvements divergents : baroque / classicisme Le baroque précède et accompagne le classicisme 1) Le Baroque * Richesse des images et de l’imaginaire * Composition complexe * Métaphores pittoresques et expressives A partir de 1620 : * Progrès de l’imprimerie * Paix (Edit de Nantes) * développement des cours princières ce qui favorise la création poétique. Exemple : Pierre de Marbeuf 1640 : *

l'Europe A la fin du 16eme siècle et au début du 17eme siècle, on observe en Europe une convergence de caractéristiques esthétiques auxquelles on a donné le nom de baroque. Mouvement qui doit son nom au mot portugais baroco, terme désignant une pierre précieuse irrégulièrement taillée, le baroque se développe dans un contexte caractérisé par l'instabilité, en contraste avec le classicisme. Sur le plan religieux, après l'édit de Nantes, à la fin du 16ème siècle est marquée par la guerre des religieux

l'amour, sa mère sort de l'eau Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux, Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes. _Pierre de Marbeuf, _Recueil des vers Anthologie sur le Baroque Amlet : Mourir, dormir ; Dormir ! Peut-être rêver. Oui, là est l'embarras ; Car quels rêves peut-il nous venir dans ce sommeil de la mort Quand nous sommes débarrassés de l'étreinte

dialectes. Imitation des Latins et des Italiens. Odes, sonnets, hymnes et discours pour Ronsard et éloges à Cassandre, Marie et Hélène. Lyrisme. Du Bellay nostalgie, sentiments et nature aussi. 2.2 La poésie engagée : religieusement et philosophiquement. 2.3 Autres personnalités : Clément Marot et Louise Labé. 3 - La poésie du XVIIe siècle : 3.1 La poésie baroque : goût de l'ornementation et langage à effet.Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf. 3.2 La poésie classique : Malherbe (règles de la

1616 - Histoire universelle (1616-1620) - les Aventures du baron de Faeneste, 1617 - le Printemps, 1570-1573 Pierre de Ronsard (1524-1585) D'abord destiné à une carrière militaire et diplomatique, il est atteint d'une surdité subite en 1542 et devient humaniste et poète. Chef de la Pléiade, ses Odes (1550-1556) lui assurèrent les faveurs de Henri II. Aux sonnets pétrarquistes des Amours de Cassandre (1552) succédèrent les Amours de Marie (1555), poèmes d'inspiration personnelle. Puis

par son/ses sens, sa musicalité, j'aime beaucoup les sonnets. La capacité d'un poème à me faire imaginer : par des métaphores recherchées, des points de vue ou des expériences que j'aurais en commun avec le poète, la capacité d'un poète à exprimer ses idées avec clarté ou encore celle de bien utiliser l'ironie. Je vis, je meurs de Louise Labé (vers 1524-1566), du recueil Sonnets paru en 1555, est à mon sens un bon poème car c'est un sonnet régulier, et donc aux sonorités agréables. Le thème choisi