Piété

interprète dans un théâtre parisien : elle ne sait ni parler ni chanter, mais son déhanchement affole tous les hommes, qui rêvent de la posséder. C'est le cas notamment de Muffat, haut dignitaire de l'Empire, pourtant homme chaste et d'une grande piété, que Nana ruine et humilie tout au long du roman. Muffat n'est pas la seule de ses victimes : d'autres sont conduits à la ruine, en particulier Steiner, se suicident (Georges Hugon), volent (Philippe Hugon), deviennent des escrocs (Vandeuvres). Pourtant

| |Il fait une éloge spirituel de la comtesse : « son dévouement sans récompense terrestre imposait par sa | |persistance ; cette vive et secrète piété, qui servait de lien à ses autres vertus, agissait à l’entour comme | |un encens spirituel. » | |

✓ C’est pour cette raison que ces épisodes sont placés sous le signe du feu et de l’eau. o C’est dans cet endroit que les personnages se révèlent. ▪ La douce Marie y apparait comme une petite sorcière. ▪ Germain montre une piété d’une pureté rare. ▪ Rencontre avec la vieille. o Ce lieu endiablé est fait d’un mélange de catholicisme et de superstition, ce qui est caractéristique de l’âme berrichonne. o Attrait de George Sand pour cette atmosphère inquiétante

I) C 1 la quête du salut : D’après le texte, « les idolâtres baptisés » (l64) , nous observons que les solognots ont une panoplie de gestes qui a pour but de gagner le salut : des rites, des recettes, des sacrements. Il s'agit d'une piété automatique ou de relation fondée sur le donnant -donnant entre l'homme et la divinité. Dieu peut donner mais il faut que les hommes le lui demande selon une certaine manière, et, lorsqu’il a donné il faut le remercier. Mais le problème, c'est que la population

l'Eglise est au coeur de la vie des hommes avec une partie sur l'organisation de l'espace et du temps par l'Eglise. Une deuxième partie sera consacrée au Salut de l'homme puis il faut lister les 7 sacrements et enfin voir les différents actes de piété (comme par exemple les pélerinages- le rôle des reliques...) En Conclusion : Nous avons pu constater que l'Eglise est donc essentielle dans la vie des hommes. On peut se demander si l'Islam était-il aussi important pour le musulman à cette époque

12ème siècle, et voient le monde comme une lutte bien/mal. Vivent comme des moines, portent des bures. Les paysans ne font pas la différence, c’est comme ça qu’ils arrivent à s’implanter. Conclusion. On arrive à une piété plus flamboyante, cérémonies mortuaires + évoluées. Piété + mystique et intériorisée. Devotio moderna. On passe d’une religion populaire, collective, à une religion + intellectuelle et personnelle. Ca se fait plus rapidement dans les villes que dans les campagnes.

PARTIE 2 Histoire artistique et culturelle CHAPITRE 27 Le siècle des Lumières (le xviiie siècle) Le siècle des Lumières (le xviiie siècle) Objectifs du chapitre Comprendre ce que symbolisent les Lumières. Prendre conscience des deux versants du xviiie siècle, siècle de la raison scientifique et philosophique, mais aussi de l’émotion et de la sensibilité esthétique. Être capable d’analyser des œuvres d’art et de les relier à des textes contemporains. OBSERVER 1 1. Identifier les fonctions du « philosophe»

Piéta Romaine Que veut-dire Piéta ? Expression italienne qu’on peut traduire par « Vierge de piété ». En latin on dit aussi « Mater Dolorosa » c.à d. « Mère des douleurs ». La Piéta représente une mère pleurant son enfant mort qu’elle tient sur ses genoux. La Piéta Romaine (1498-1500) de Michel-Ange s’écarte quelque peu de cette définition. Le visage de la Vierge n’exprime aucune tristesse. Elle est recueillie et accepte la volonté divine. Elle paraît plus jeune que son fils. Le corps

avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, 2:2 pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté. 2:3 Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur, 2:4 qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. Enseignement rédigé par Georges OLE P.P Foulassi INTRODUCTION La li

beauté son identité et son statut, en en faisant la fin suprême de l'art, le Quattrocento l'associait à toute célébration religieuse et à tout mémorial. Si Alberti, qui fut le premier théoricien de la beauté architecturale, a lui-même conservé avec piété la notion originelle de monument, il a néanmoins amorcé la substitution progressive de l'idéal de beauté à l'idéal de mémoire. » Françoise Choay, L'Allégorie du patrimoine, Paris, Seuil, 1992, p. 17. - Tradition intellectuelle issue du Quattrocento