Piteuses

Phéacie-mer-Ithaque I)La mer Mer: lieu primordial, mystérieux, dangereux. Aucuns personnages n'avouent jamais le plaisir de prendre la mer. Pour un héros homérique, deux dangers: -la guerre (raison d'être) -périr en mer Mourir en mer: mort piteuse où l'on perd tout et à laquelle on est jamais préparée. Celui qui meurt glorieusement en mer (pas réellement mort) il recevra les honneurs funèbres alors que celui qui périt en mer il disparaît et ne peut pas recevoir d'honneurs. (Pour Télémaque

Le projet poétique de Baudelaire consiste à extraire du mal la beauté ; à ce sujet le poète aurait dit « Tu m’as donné ta boue, j’en fais de l’or ». Pour Baudelaire l’art sert à transformer les douleurs, les malheurs de l’âme humaine face à sa piteuse et misérable existence. Ce principe est repris dans plusieurs de ses poèmes dont « L’Idéal », « Une charogne », « Hymne à la beauté ». Dans ce premier poème, Baudelaire expose sa conception de l’art. Pour cela il écrit que pour lui l’art n’est pas

elle est caractérisée par une division importante des rôles sexuels (M.Gagne-Pain et Madame au Foyer), hyper-fécondité avec environ 3 enfants par femmes. Moins de 10% de divorce à cette période. En 2004, 45%. Après 1975 = Contexte : Les trente piteuses. Apparition du chômage. Croissance molle. Diversification des formes d'emploi avec apparition de formes d'emplois précaires (Intérim, temps partiel, CDD, emplois jeunes). Famille : Baisse de la fécondité à partir des années 1965, qui arrive en 1994

en position périphérique. Pour le territoire métropolitain c’est plus complexe. La façade méditerranéenne. Rupture avec des liens économiques avec les indépendances coloniales. Le canal de Suez a perdu de ses intérêts, car Nacer le rend d’abord en piteuse Etat, puis le nationalise avant de se rapprocher de l’URSS. A partir de 1970 les bateaux contournent l’Afrique en passant par le canal bonne espérance. Mais avec les travaux qui s’annoncent cela va s’arranger. Ports dynamiques et extrêmement accessibles

Revendiquer la décroissance aujourd'hui répond à cette problématique actuelle, à cet état de souffrance dont notre pays et de l'Occident en général sont les victimes , nous parlons ici d'un état dépressif généralisé. Tout d'abord, depuis les Trente Piteuses (1975-2005) il règne un “sentiment de jetabilité” ressenti dernièrement par la retraite à taux plein à 67 ans et surtout par la pénabilité du travail requise comme outil de mesure dans l'évaluation des retraites. Sentiment de jetabilité qui se répercute

structurel. Chômage de masse (est toujours un chômage involontaire: niveau élevé et persistant: notion relative ou subjective car le taux varie selon l'époque et le Pays mais on admet qu'il correspond à la situation des pays développés dans les trentes piteuses: 1975/2004) / d'exception (niveau faible correspond aux trentes glorieuses 1945/1974) Chômage chronique, durable: chômage de nature structurelle: cf chômage d'inadaptation, d'exclusion, structurel. Chômage d'exclusion, d'inadaptation: chômage qui

siècle. a. L’indisponibilité de la Couronne. On est en pleine guerre de 100ans, les monarques n’ont pas été très performants. Or Charles 5 obtient des victoires militaires, et arrive à instaurer la paix, il redresse le royaume qui était en piteuse état. Son fils, monte sur le trône, Charles 6, en 1380. Il n’est pas le roi le plus avisé, il va faire un peu n’importe quoi. Il a 12ans, lorsqu’il devient roi. Il va commencer son règne comme son père l’avait fini. Il va carrément supprimer quelques

importance narrative et explicative. Il est indispensable à la bonne compréhension de l'œuvre (Le Père Goriot raconte l'histoire de la dégradation et de l'avilissement d'un père, qui après s'être sacrifié pour ses filles, est abandonné par elle dans cette piteuse pension). Donc pour mesurer l'ampleur de souffrance et la déchéance du père, l'ingratitude et l'abjection des filles il faut être au courant de la misère de la pension où il a été relégué. 38 

l'ombre De ce buisson que tu vois Et n'ai su passer ce nombre, Parce que la mère était Auprès de là, ce me semble, Laquelle, nous aguettait De peur encores j'en tremble. Or' je te donne des fleurs Mais si tu fais ma rebelle Autant piteuse à mes pleurs, Comme à mes yeux elle est belle, Un myrthe je dédierai Dessus les rives de Loire, Et sur l'écorce écrirai Ces quatre vers à ta gloire « Thénot sur ce bord ici, A Vénus sacre et ordonne Ce myrthe et lui donne aussi Ses

leur raison d’etre dans le souci ingénu de ne point dérouter l’auditeur, la crainte de le perdre, le sentiment taraudant d’un péril. A trop multiplier les blancs, les radios avoueraient je ne sais quelle insuffisance, confesseraient une pauvreté piteuse. D’où cette surenchère qui trahit le climat d’une époque. L’écriture radiophonique, musique et paroles confondues, tend à devenir comme une longue phrase sans ponctution, sans le moindre espace entre les mots, les lettres, les notes. Une manière de