Place Bolívar

officiers espagnols évoquent la trahison qui a permis à Bolivar, le chef des nationalistes vénézuéliens, de s’échapper. Leurs récits permettent de découvrir les éléments de la situation historique : la guerre de libération menée par Bolivar, la cruauté de la répression menée par les Espagnols contre les nationalistes vénézuéliens. Scène 2 (15-20) Zuazola, Moralès, Antonanzas, Izquierdo Izquierdo précise les circonstances dans lesquelles Bolivar leur a échappé. Il connaît le traître et se déclare capable

| |Trois officiers espagnols évoquent la trahison qui a permis à Bolivar, le chef des nationalistes vénézuéliens, de s’échapper. Leurs récits | |permettent de découvrir les éléments de la situation historique : la guerre de libération menée par Bolivar, la cruauté de la répression | |menée par les Espagnols contre les nationalistes vénézuéliens.

Simon Bolivar, le chef des révolutionnaires, pour la liberté de leur pays. Ces derniers sont aidés par Montserrat, un jeune officier de vingt-huit ans, qui prend le parti des révolutionnaires vénézuéliens. Les espagnols veulent donc arrêter Bolivar mais Montserrat le prévient et Bolivar réussit ainsi à s'échapper. Dès lors, Montserrat sera pris par Izquierdo, un lieutenant espagnol cruel qui va tenter de faire parler Montserrat sur la cachette de Bolivar. Pour le faire parler, Izquierdo le place face

mort rendrait le voyage doublement pénible. Le dentiste aida à remonter le fauteuil mobile à bord, puis gagna le bout du quai. Il y était attendu par Antonio José Bolivar Proaño, un vieil homme au corps toujours nerveux, qui ne semblait pas accorder d'importance au fait de porter un nom aussi illustre. - Toujours pas mort, Antonio José Bolivar ? Le vieux fit mine de se flairer les aisselles avant de répondre. - On dirait bien que non. Je ne pue pas encore. Et vous ? - Comment vont tes dents ? - Je les

mort rendrait le voyage doublement pénible. Le dentiste aida à remonter le fauteuil mobile à bord, puis gagna le bout du quai. Il y était attendu par Antonio José Bolivar Proaño, un vieil homme au corps toujours nerveux, qui ne semblait pas accorder d’importance au fait de porter un nom aussi illustre. — Toujours pas mort, Antonio José Bolivar ? Le vieux fit mine de se flairer les aisselles avant de répondre. — On dirait bien que non. Je ne pue pas encore. Et vous ? — Comment vont tes dents ? — Je les

sepulveda Louis 80 place des Ramblasses Quito – Equateur Monsieur Fernando Lapaz Editeur de Lettres Amazones 135 rue de la Micheline Quito – Equateur Lundi 16 mai 1987 Monsieur l’Editeur Je vous adresse cette missive ci-jointe du manuscrit de mon dernier ouvrage intitulé «Le Vieux qui lisait des Romans d’Amour ». Après des mois d’un travail acharné de documentation sur les rives du Nagarantza, celui-ci est enfin arrivé à son

l’Amazonie, «Þce monde vert inconnuÞ». L’envie de créer une histoire à l’aide de mots porteurs de poésie est née de l’émotion ressentie à l’écoute de détails surprenants, incroyables. Son imaginaire s’en est nourri, comme celui d’Antonio José Bolivar Proaño, son héros, qui déguste les sonorités des termes qui le font rêver. Le Douanier Rousseau n’a jamais voyagé. Sa rencontre avec les Tropiques a eu lieu lors de ses visites au jardin des Plantes, à Paris. Il aimait y vagabonder, y trouvait

Amérique latine d'européens. On peut citer... Je citerai trois grands combattants par exemple. - « ... » La légion irlandaise de Bolivar. - Oui par exemple, bien entendu. Les irlandais de Bolivar qui ont été très importants et par exemple (4MIN42) « ... » qui a été l'un des généraux de Bolivar, qui a écrit les mémoires et on connaît finalement un petit peu la geste de Bolivar grâce à « ... » qui était un irlandais effectivement. - (4MIN56) Oui oui, je te fais une objection. Tu as regardé les manuels

peu à peu se révolter et quitter le contrôle espagnol. Un homme va grandement contribué à la libération du Nord de l'Amérique latine, y compris de la Colombie. Il s'agit de Simon Bolivar. Il mène de 1810 à 1819, avec l'aide de Fransisco de Paule Santander, une guerre d'indépendance contre la couronne espagnole. Bolivar devient alors président de la République de Colombie, fondant par le même occasion le parti conservateur. De son côté Santander crée le parti libéral. Ces deux partis vont s'affronté

vénézuélienne. du XIXe siècle et plusieurs figures du pays sont venus lors de cette révolution : Miranda, Bolivar et Paez. Bolivar fut le grand homme de l’histoire du Venezuela. Son rêve était de regroupe toute les colonies d’Espagne en une grande nation. Vu qu’il voulait réaliser son rêve, il du faire plusieurs campagnes militaires en Colombie, Equateur et au Pérou. Après des batailles sanglantes, Bolivar fut nommé président. Il passa le reste de sa vie à lutter contre la désintégritée. Le Venezuela