Place de l'Opéra

forme primitives, en un block (thème et variation, basse obstinée, canon). Période floue car on trouve des œuvres appelés canon (voir écoute) qui ne le sont pas. Musiciens ne communiquent pas vraiment, mais les musicologues ont remis les choses en place. C’est une période d’expérimentation. Seule la fugue est une forme organisée. La forme complexe est organisée en plusieurs parties (mouvements) à des tempos différents. Les deux formes principales issues du baroque sont la sonate et le concerto

travers entre autres la production de lieder mais surtout au travers de l’opéra. Les balbutiements de l’opéra national allemand apparaissent avec les Singspiels de Mozart et notamment La Flûte enchantée sous titrée « un opéra allemand » en 1791 qui sera une œuvre vénérée des romantiques. En effet ils la considèrent comme la pierre angulaire de l’opéra national, car pour eux elle contient déjà tous les éléments qui feront l’opéra romantique allemand : un équilibre entre mythe, sentiment patriotique

Auguet Dufourd Chargée de l’Action pédagogique 7 rue du Docteur Rambert 76000 Rouen 02 35 98 50 98 genevieveauguet@operaderouen.fr Livret Henri Meilhac et Ludovic Halévy Mise en scène Frédéric Roels Direction musicale Luciano Acocella Orchestre de l’Opéra de Rouen Haute-Normandie Choeur accentus Opéra de Rouen Haute-Normandie Maîtrise du Conservatoire à Rayonnement Régional de Rouen Coproduction Opéra de Rouen Haute-Normandie, Opéra Théâtre de Limoges Informations générales Carmen Opéra en

compositions alors que en classique, elle a totalement disparue. L’opéra et l’oratorio dominait le baroque mais ils cédèrent la place à la symphonie pour le classique. L’orchestre classique est beaucoup plus riche, comprend plus d‘instruments que le baroque. Aussi, à l’âge baroque, on ne se préoccupait que peu du timbre ainsi on pouvait si besoin remplacer un instrument par un autre mais pas pour le classique où le timbre tient une place importante au même titre que la mélodie et le rythme. La forme

royaux). « Le Messie » (ou Messiah) est désormais considéré comme le chef-d'œuvre du genre oratorio. Il l’a composé à Londres d’après des textes tirés de l’Ancien et du Nouveau Testament. Cet oratorio comprend des airs pour solistes, comme à l’opéra, mais également de nombreux chœurs. L’histoire du Christ y est évoquée et commentée par des textes illustrés musicalement dans un style baroque : - les cieux sont représentés par des notes aiguës, - les errements du peuple par des mélodies tortueuses

le libertin c’est « le virtuose de la parole »  c’est-à-dire un homme (ou une femme) qui tente de séduire par tous les artifices du langage et parfois des gestes. Cependant, nous sommes ici dans un roman épistolaire, roman où l’on accorde plus de place au mot écrit qu’au mot parlé (prononcé). Il est donc normal que les personnages fassent attention à leurs styles respectifs. Pour Merteuil et Valmont, tous deux libertins, le style, la façon d’écrire sont une arme de séduction. En effet, pour eux

instrument, non point à la manière des virtuoses […] mais en poète qui sait parler au cœur et trouver de fines couleurs pour peindre ses transports et ses rêves. » Attiré par le théâtre à son retour à Paris en 1837, il obtient son premier succès à l’Opéra-Comique avec Le Caïd en 1849. Mais bientôt il se détourne de la verve comique sans pour autant réussir pleinement à illustrer les sujets dramatiques qui attirent son attention. Il écrira une vingtaine d’ouvrages lyriques qui ont pratiquement tous

un livret de Saint-Léon et Charles Nuitter, une musique de Léon Minkus et Léo Delibes, représenté pour la première fois le 12 novembre 1866 à l'Opéra de Paris. Minkus composa les actes I et III, tandis que Delibes écrivit l'acte II. Le ballet fut repris en 1968 par George Balanchine pour le New York City Ballet et en 2011 par Jean-Guillaume Bart pour l'Opéra national de Paris. Cette nouvelle mise en scène est cette fois -ci en 2 actes et 3 tableaux. Arthur Saint-Léon est un danseur et chorégraphe

l’incompréhension de la langue car ils jouaient en Italien. Le public adorait en particulier leurs représentations d'Arlequin, Pierrot, Polichinelle et Pantalon. L'Opéra : L'opéra vint de l'Italie où il fut créé fin XVIe et début du XVIIe siècle. En France, c'est Jean-Baptiste Lully qui fit de l'opéra, un spectacle à la mode. La particularité de l'opéra français de Lully fut l'intégration de somptueux ballets concluant certaines grandes représentations théâtrales. De nombreux spectacles - ballets furent

saisissent la force et la valeur de cet opéra. Au regard de l’ovation future, cet échec reste historique. Conséquence ou coïncidence… Bizet décède trois mois plus tard à 37 ans avant même d’avoir pu concevoir le succès de son œuvre. L’opéra Carmen, commandé par la direction de l’Opéra-Comique, rompt avec les usages de l’époque et ose faire paraître une fille à la limite de l’indécence que son amant assassine et le tout dans un réalisme affiché. Evolution de l’acceptation des publics Très vite, l’affection