Place Saint-Pierre

COMMENTAIRE COMPOSE Le texte que nous allons étudier est un extrait de Paul et Virginie, une roman écrit par Bernardin de Saint-Pierre en 1787. Celui-ci, ami de Jean-Jacques Rousseau, est un écrivain du XVIIIe siècle, et est un auteur qui s'inscrit dans le courant littéraire du préromantisme. Il en est en effet, l'un des plus éminents représentants. C'est parce que sa mère l'a obligé à partir en France pour y parfaire son éducation, que Virginie s'est retrouvée prisonnière de ce bateau, lorsque

description d'une personne, ou plutôt d'un personnage de roman c'est ce qu'on appelle un portrait. A lui seul, il constitue un genre littéraire. Il suffit de relire La Bruyère... Mais ce n'était pas un romancier ! Le portrait trouve néanmoins toujours sa place dans les récits romanesques. On peut même dire que beaucoup de romans sont centrés sur le portrait, et souvent sur un seul individu ! L'auteur nous propose une multitude de détails qui nous permettent de reconnaître ce personnage parmi mille autres

Commentaire composé Ce texte est l'incipit romanesque de Paul et Virginie,écrit pas Bernardin de Saint-Pierre et publié en 1787. Ce texte se construit sous forme de deux grandes parties, une description minutieuse et un dialogue qui annonce l'histoire et la suite du roman. Nous étudierons dans une première partie l'incipt et sa fonction et dans une seconde partie la rencontre entre le « je » et la figure du vieillard tout en analysant la structure enchâssé du récit. L'incipit

oeuvre est fortement liée au voyage qu’a fait Chateaubriand en Amérique, en 1791. Une idée importante : on considère volontiers, au XVIIIe siècle, que le voyage peut enrichir la littérature. Voir Paul et Virginie, roman publié par Bernardin de Saint-Pierre en 1788. On peut en tout cas parler, à propos de René, d’une coloration autobiographique. Le « château paternel » (p. 159 dans l’éd. du Livre de Poche ; p. 144 dans l’éd. Folio) peut renvoyer au château de Combourg, où Chateaubriand passa

(le lecteur entre en phase de réflexion et se met à la place du personnage en se demandant ce qu'il aurait fait à sa place). En s'identifiant au personnage, le lecteur entre dans une sorte de rêve lui permettant de ressentir des sentiments d'affection, d'envie ou même de pitié envers le personnage... Par exemple dans Manon Lescault de l'Abbé Prévost, on comprend le chagrin de Des Grieux et on se demande la réaction que l'on aurait eu à sa place, on ressent de la pitié pour cet homme qui voulait seulement

qu'elle imaginait. Dans son imaginaire, et pour être heureuse, elle rêve de "stores de soie bleue", d'"écout[er] la chanson du postillon", de "respire[r] au bord des golfs le parfums des citronniers", de "regarde[r] les étoiles" . Les sens ont donc une place primordiale dans sa vie et elle y est particulièrement sensible. Elle désire donc quantité de choses que ce mariage ne lui apporte pas et n'arrive pas à se contenter de ce qu'elle a. Cependant, elle est incapable de faire quoi que ce soit pour que

Qui de nous n’a pas eu un jour honte d’erreur commises pendant sa jeunesse ? Ce roman méconnu, contient le talent littéraire de Flaubert. Il est à la hauteur des chefs-d’œuvre romantiques de son siècle tel que Paul et Virginie (Bernardin de Saint-Pierre), René (Chateaubriand), Les Souffrances du jeune Werther (Goethe) et Don Juan (Lord Byron). (Court résumer du plan) Dès les premières pages, on ressent l’importance de l’exaltation du « moi ». À tel point que le personnage principal et le narrateur

Flaubert, Madame Bovary Quelle place le romantisme tient-il dans le roman? Madame Bovary, comme adieu au lyrisme, effort d'écriture pour se concentrer sur "les moisissures de l'âme", en s'obligeant à un continuel travail sous la direction de Louis Bouilhet, auquel Flaubert soumet son livre au fur et à mesure de son écriture. Pourtant Flaubert avoue lui-même la déchirure qui le constitue: « Il y a en moi, littérairement parlant, deux bonshommes distincts : un qui est pétri de gueulades, de Carl Gustav

qu'elle imaginait. Dans son imaginaire, et pour être heureuse, elle rêve de "stores de soie bleue", d'"écout[er] la chanson du postillon", de "respire[r] au bord des golfs le parfums des citronniers", de "regarde[r] les étoiles" . Les sens ont donc une place primordiale dans sa vie et elle y est particulièrement sensible. Elle désire donc quantité de choses que ce mariage ne lui apporte pas et n'arrive pas à se contenter de ce qu'elle a.  Cependant, elle est incapable de faire quoi que ce soit pour

en jeu par bravoure et sens de l’honneur. Pourtant certains personnages ne semblent pas satisfaire à cette définition et n’être pas de ‘vrais héros’. [arg 1.] Peut-on dire en effet de Virginie, dans le roman Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre qu’elle est héroïque ? Elevée aux côtés de Paul sur l’actuelle île Maurice, au sein d’une nature généreuse qui pourvoit à ses besoins, elle cède pourtant à l’appel de la fortune de sa tante française et donc de la civilisation, et part étudier