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la scène : C’était un homme qui venait d’être écrasé par les chevaux et qui gisait sur le sol, un homme visiblement inconscient, très mal habillé, mais en habits « honnêtes », tout en sang. Le visage, la tête saignaient ; le visage était couvert de plaies, déchiré déchiqueté65. La seconde meurt de phtisie et avant sa mort, elle se donne en spectacle et l’effet pathétique produit sur le public, entraîne le lecteur vers les mêmes sentiments : Le pleur de la pauvre, de la phtisique, de l’abandonnée Katérina

scène : C’était un homme qui venait d’être écrasé par les chevaux et qui gisait sur le sol, un homme visiblement inconscient, très mal habillé, mais en habits « honnêtes », tout en sang. Le visage, la tête saignaient ; le visage était couvert de plaies, déchiré déchiqueté65. La seconde meurt de phtisie et avant sa mort, elle se donne en spectacle et l’effet pathétique produit sur le public, entraîne le lecteur vers les mêmes sentiments : Le pleur de la pauvre, de la phtisique, de l’abandonnée

l’établissement sont rangés et employés de façon à prévenir ou à minimiser la contamination des aliments, des ingrédients, des matériaux d’emballage et des surfaces qui entrent en contact avec les aliments. O1.5 Le personnel qui a des coupures ou d’autres plaies ne doit pas manipuler des aliments, des ingrédients, des matériaux d’emballage ou des surfaces qui entrent en contact avec les aliments à moins que des mesures ne soient prises pour prévenir la contamination directe ou indirecte des aliments. Lorsque

vont donc à l’encontre d’un consensus chez les acteurs. Ainsi, lorsque des objectifs massifs de construction sont décidés par la majorité, la question de leur ciblage est l’objet de critiques par l’opposition (les Prêts Locatifs Aidés d’Intégration – PLAI – ont en effet été délaissés au profit des Prêts Locatifs Sociaux – PLS – dont les plafonds de ressources favorisent les classes moyennes). On citera également la remise en cause des aides à la personne, dont la revalorisation progressive engendrerait

. . . . . . . . . 133 Chimie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153 Glossaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181 Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187 © Eyrolles Pratique 5 Introduction Tel Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, nous faisons de la physique

Certains gémissaient de douleur, d’autres demeuraient silencieux. L’autre moitié des troupes était assise près des blessés. Personne n’avait assez de force pour rester debout. Malgré sa faiblesse, Santo appliquait déjà ses mains magiques sur les plaies de ses frères d’armes. Hadrian s’aperçut alors qu’il ne voyait Onyx nulle part ! Il chercha Swan du regard et la trouva courbée sur son mari. Le commandant enjamba rapidement les corps qui le séparaient de son ancien lieutenant et s’agenouilla à son

fantassin de deuxième classe ? Pendant quelques instants, M. Carnot sembla recueillir ses souvenirs. – Jamais ! articula-t-il à la fin d’une voix nette. – Alors, vous ne pouvez pas savoir ce que souffrent les pauvres troubades, en proie aux ampoules, aux plaies des pieds, pendant les marches forcées. Vous ne pouvez pas vous en douter, Monsieur le Président, vous ne pouvez pas vous en douter ! – Et le génie ? – Je n’ai pas de prévention particulière contre 30 cette arme spéciale, mais... laissez-moi vous

de véritables ballons d’oxygène. Dans Le planétarium, quelques « personnages-figurants » se déplacent, les héros étant ceux qui voyagent le moins loin; en effet, on constate qu’Alain et 1 2 Portrait d’un inconnu, p. 108 Ibid., p. 169 3 Ibid., p. 181 133 Gisèle Guimier n’ont guère l’âme aventurière. Le jeune couple, au lieu de partir à la découverte d’horizons lointains, préfère s’activer pour acquérir un « chez-soi » et ensuite dénicher chez les antiquaires, l’objet rare - celui qui va parfaire

l’histoire de Nour et celle de Lalla parle de la mort et du Paradis. La lumière des étoiles permet donc d’accéder à un autre monde, permet de voler, de se libérer de son poids terrestre. Elle forme un contrepoison de la lumière du soleil. Elle guérit les plaies causées par lui : « La fièvre du soleil et de la sécheresse est éteinte par la nuit. La soif, la faim, l’angoisse se sont apaisées par la lumière de la galaxie, et sur sa peau il y a, comme des gouttes, la marque de chaque étoile du ciel. Ils ne voient

Comment est-il mort ? LADY HURF Oui ! Je l'aimais tant. PETERBONO L'amiral? Ah! lui... // regarde Hector qui lui fait signe qu'il n'a plus d'idées. Il se méprend encore sur sa mimique. Noyé. Mais excusez-moi, vous touchez de trop cuisantes plaies... LADY HURF Vous voulez que je vous raconte les circonstances qui ont marqué son trépas ? LADY HURF Pardon... Pardon, cher ami. Aux autres. Quelle race !... Quelle noblesse dans le malheur ! N'est-ce pas, cher Edgard ? LORD EDGARD Oui