Plaidoirie Robert Badinter

Le 9 octobre 1981, la peine de mort est abolie en France. Elle a été voter par le Parlement en septembre 1981,c’est l'aboutissement d'un long combat mené depuis le XVIIIème siècle par des écrivains, des juristes, des parlementaires. Lorsque Robert Badinter s'exprime à la tribune de l'Assemblée nationale le 17 septembre 1981, cent quatre vingt-dix ans après Le Pelletier de Saint-Fargeau devant la Convention, le moment est historique, solennel : "Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés

Synthèse sur la peine de mort La réalisation du T.P.E Tout d'abord, j’ai choisi ce thème avec mon groupe pour les raisons suivantes ; la peine de mort est la peine la plus connue et la plus affreuse (peu importe la méthode utilisée) qu’un condamné ou prisonnier puisse connaitre. Suite à quelques films visionnés qui m’ont inspiré pour le sujet je me suis dit que ce serait un sujet intéressant à traiter avec le contexte historique de la peine de mort en France au XIXe et au XXe siècle

présidentielles, François Mitterrand déclare clairement qu'il est contre la peine de mort. Il est élu Président de la République le 10 Mai. Le 26 août, le Conseil des ministres approuve le projet de loi abolissant la peine de mort. Le 17 septembre, Robert Badinter présente le projet de loi à l'Assemblée nationale Il est voté le 18 septembre par 369 voix pour, 113 contre. Le 9 octobre, la loi est promulguée. La France est l'un des derniers pays d'Europe occidentale à abolir la peine de mort.

assassinat)ainsi que son complice Roger Bontems (condamné à une peine de vingt ans de réclusion pour vols)seront guillotinés le 29 novembre 1972.L’exécution de ce dernier(Roger Bontems) n'ayant pas de sang sur les mains va lancer le combat de maître Badinter dans l'abolition de la peine de mort. Malgré de nombreuses irrégularités dans l'accusation, Christian Ranucci(le pull over rouge) est condamné en juillet 1976 pour l'enlèvement et le meurtre d'une fillette de 8 ans ainsi que Jérôme Carrein le

noble. Jean jaurès Ceux qui croient à la valeur dissuasive de la peine de mort méconnaissent la vérité humaine. La passion criminelle n'est pas plus arrêtée par la peur de la mort que d'autres passions ne le sont qui, celles-là, sont nobles. Robert Badinter Écoutez la voix de la justice et de la raison ; elle nous crie que les jugements humains ne sont jamais assez certains pour que la société puisse donner la mort à un homme condamné par d'autres hommes sujets à l'erreur. Robespierre Tant

François Mitterrand, dépose un projet de loi à l'Assemblée le 29 août 1981 stipulant de motifs bref l'abolition définitive et générale de la peine de mort . Badinter est quand t'as lui le défenseur de l'abolition de la peine de mort. Il mène un combats et des débats passionnées à l'Assemblée Nationale et Sénat. 5. Robert Badinter est né le 30 mars 1928 à Paris. C'est un avocat et un politicien français. Fils d'un père juif mort dans un camp de concentration en 1943, il réussit ses études

maîtresse fait un réquisitoire contre la peine de mort au tribunal . Il faudra cependant attendre 1981 et l'élection de François Mitterand comme président de la république pour que la peine de mort soit abolie en France ( 9 octobre) . Le discours de Robert Badinter du 17 septembre 1981 devant l'assemblée nationale est resté célèbre . b ) Etat des lieux: Au niveau mondial, tous les pays ne sont pas abolitionnistes. L'Onu est à l'origine d'un moratoire contre la peine de mort mais ce n'est qu'une incitation

brûler l’échafaud. » Source : cours de Français III- L’abolition en 1981 Le 17 septembre 1981, débutent à l'Assemblée nationale les débats sur le projet de loi sur l'abolition de la peine de mort en France, avec notamment, l'intervention de M. Robert Badinter, garde des sceaux, ministre de la justice. La thèse principale de son discours est la demande de l’abolition de la peine capitale. Pour cela il utilise plusieurs arguments et exemples : « La France est grande » ex : « par l’éclat des idées

rencontre avec M. Badinter : mathilde narr et lucie rosenthal La loi sur l'abolition de la peine de mort a été votée à l'Assemblée Nationale le 18 septembre 1981 et votée au Sénat le 30 septembre à 12:40. La promulgation a eu lieu le 9 octobre. Convaincre le Sénat : La "bataille» pour convaincre le Sénat a été, pour M. Badinter, la plus difficile et la plus intéressante. Deux ans auparavant le Sénat était contre l'abolition de la peine de mort.Pour les convertir M. Badinter ne voulait pas les

Claude Gueux « Claude Gueux, un malheureux citoyen emprisonné pour avoir volé du pain afin de se nourrir lui et sa pauvre famille. L'homme, désormais seul dans la prison de Clairvaux, venait de rencontrer un jeune homme, Albin. Ce prisonnier lui proposa de partager sa ration de nourriture. Claude accepta, et une amitié se lia entre les deux hommes. Alors que tout allait bien pour Claude, un homme impitoyable, surnommé M.D, le directeur de la prison, sépara ces deux hommes