Plaidoyer Les Fleurs Du Mal

poème V, Septembre 1870 « A PETITE JEANNE » (p.49-51) pour rectifier la programmation du poème liminaire  Un poème lyrique : programmation d’une poésie de l’intime ?  Observation de la dernière strophe : signification de l’opposition innocence ≠ mal Conclusion : imbrication de la sphère privée et de la sphère publique = programmation de 2 composantes du recueil ? 3) Lecture de la table des matières pour …  Vérifier nos hypothèses de lecture : intime ≠ privé, les thématiques, l’écriture, le poète

légendes. Il est transmis par le bouche-à-oreille par des conteurs et demeure longtemps dans la tradition orale. Si le mot « fée » ou « merveilleux » est employé, c’est avant tout pour le côté simple des histoires, où le héros courageux triomphe du mal, la fin qui se finit presque toujours bien, et dans chaque conte une moralité ou un message à retenir. Ce n’est pas pour l’apparition d’une fée dans chaque histoire, car elles sont presque inexistantes dans les contes écrits. Les contes de fées sont

émotionsL-6 il passe de peur à inquiétudeAntoine passe de la colère à l’attachement envers son frèreMalgré cela j’espère qu’il ne t’arrive rienIl passe de la colère à l’affection, il pressent la mortLa culpabilitéEt je me reproche déjàLa répétition du mot mal montre la culpabilitéTu n’es pas déjà partiLe verbe partir est un euphémisme tragique pour mourir2- La colère d’Antoine : sa souffranceLouis une accusationTu es là, accabler utiliser 3 foisLa seule présence de Louis est une accusation. Louis l’accable

plus fantaisiste. Il s’agit d’une morale en images, d’une bagatelle badine et désinvolte, d’une parabole un peu frivole : « [Saint Exupéry] est le type même, entre Tintin et Dostoïevsky, de l’auteur ‘‘intermé-diaire’’ qui [...] ne peut pas faire de mal et fabrique des jeunes gens sages »1. Ceci ne rend pas compte, cependant, de l’immense réussite et du succès planétaire que connaît Le Petit Prince : 6 millions d’exemplaires vendus en France et 25 millions dans le monde – c’est le livre qui actuellement

(association de la fidélité à la mort) II) Un plaidoyer visant à disculper le séducteur Champ lexical du droit, présent gnomique afin de convaincre et d’embellir la réalité. III) Un autoportrait du héros Montrer qu’il est un libertin du XVIIème, très sensible à la beauté féminine et un beau parleur Assimilation à un conquérant Conclusion : Nous avons vu dans un premier temps que cette scène présente un éloge de l’inconstance puis nous avons étudié le plaidoyer que Dom Juan entreprend pour justifier son

j’ai de suite pensé au mandat et je suis parti en pleurant. » pp.9-10 (…) « Pendant longtemps je n'ai pas su que j'étais arabe parce que personne ne m'insultait. On me l'a seulement appris à l'école. Mais je ne me battais jamais, ça fait toujours mal quand on frappe quelqu’un. Madame Rosa était née en Pologne comme Juive mais elle s'était défendue au Maroc et en Algérie pendant plusieurs années et elle savait l'arabe comme vous et moi. Elle savait aussi le juif pour les mêmes raisons et on se

version comique du pédagogue, de l’autre les personnages grotesques (rire négatif) comme Han d’Islande et le bourreau Nychol Ocugyx. Han et Nychol Ocugyx sont d’autant plus difformes que leur âme est noire. Ils sont l’incarnation grotesque du mal. Aussi, la monstruosité est-elle non seulement dépeinte dans la description de leurs corps, mais surtout dans les actions abominables qu’ils commettent et, à travers lesquelles, Hugo dénonce la monstrueuse rigidité de la loi, comme le montre le passage

difficile de prendre des notes vu la vitesse à laquelle allait Mme André. Elles ne sont pas parfaites, peuvent être très répétitives (vu que j'essaie de prendre le plus possible de ce qui est dit), et il manque quelques informations (date non entendue, nom mal compris, etc.). Ce cours est donc à prendre avec précaution car il n'est pas exclu que quelques erreurs s'y soient glissées. De plus, il se peut que la structure que j'ai tenté de refaire soit parfois un peu bancale (changement avec le temps, survol

« plaît » et « méprisée », et le poète, « cœur noble » au reste du monde, au vulgaire : la boue « plaît aux cœurs nobles », ce que serait donc le poète, « parce que constamment méprisée » : le poète aime justement, par principe, ce qui est délaissé, mal considéré, ce qui fait de lui un être à part. La simplicité de cet élément paradoxalement valorisé est illustrée par la concision de la formulation (ellipse de elle est = « parce qu’ elle est constamment

maladive et trop fine qui le faisait déborder d'amour à la moindre gentillesse » (‘’Jean Santeuil’’). Très précocement, il manifesta une prédisposition pour l'asthme, le printemps étant pour lui la plus triste des saisons : les pollens libérés par les fleurs dans les premiers beaux jours provoquaient chez lui de terribles crises. À neuf ans, alors qu'il rentrait d'une promenade au Bois de Boulogne avec ses parents, il s’étouffa, ne pouvait reprendre sa respiration. Son père pensa le voir succomber à la