Plaidoyer Victor Hugo

DE VICTOR HUGO CONTRE LA PEINE DE MORT Claude Gueux, un ouvrier, commet un vol pour nourrir sa maîtresse et son enfant, il est alors condamné à cinq ans de prison. Il fait la rencontre du jeune Albin qui lui donne de sa nourriture, une forte complicité naît alors. Le gardien-chef, étant haineux envers Claude Gueux, lui retire Albin. Le directeur ne voulant pas que celui-ci revienne auprès de Claude, se fait assassiné à coups de hache. Claude Gueux est alors jugé et condamné à mort. Victor Hugo

SEQUENCE : Claude Gueux, Victor Hugo Etude d'une oeuvre intégrale à visée argumentative Enquête sur... Victor Hugo questionnaire à compléter au CDI Etude de l'incipit : p.37 à 39 Claude Gueux, le personnage et une rapide comparaison avec le véritable Claude Gueux la place du narrateur le rôle de cet incipit Deux portraits antithétiques : Claude Gueux et le directeur des ateliers - des personnages antithétiques ( tableau à compléter ) - un regard

La Biographie de Victor Hugo Victor Hugo est un écrivain, romancier, poéte et dramaturge français naît le 26 février 1802 à Besançon. C’est le dernier enfant d’une famille de trois garçons. Son père Léopold est un général de l’Empire napoléonien. C’est surtout sa mère Sophie qui l’élève. Alors qu’il est au lycée Louis-le-Grand, Victor Hugo semble déjà avoir une idée très précise sur son avenir. A 14 ans, il écrit « Je veux être Chateaubriand ou rien ». A 19 ans, il écrit et publie ses premiers

Victor Hugo né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française . Il écrivait avec simplicité et puissance les bonheurs et malheurs de la vie c’était un travailleur acharné. . Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du XIXe siècle. Il occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle

société. Un important écrivain de la littérature française, Victor Hugo, s’est battu durant plus de cinquante ans contre la condamnation à mort et des instruments utilisés lors des exécutions de celles-ci. En 1829, à une époque où il était normal d’assister à une exécution sur la place publique, Hugo écrit Le dernier jour d’un condamné. Dans cette œuvre, Hugo montre cet évènement sous un angle différent en écrivant un véritable plaidoyer pour l’abolition de la peine de mort. Le condamné, qu’Hugo nous

Fiche de Lecture  Le Dernier Jour d’un Condamné ( Victor Hugo ) , Hachette. 1-Biographie de l’auteur : Victor Hugo, né en 1803, mort en 1885, est un écrivain, poète, romancier et dramaturge français du XIXe Siècle. Jusqu'à son adolescence, il suit son père, général de Napoléon, en Italie et en Espagne puis revient à Paris et se consacre à la littérature. Après des poésies classiques, il devient le chef de l’école romantique avec sa préface de Cromwell mais aussi HERNANI, qui provoque une querelle

livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit dans ce roman la vision des lieux qu'il a aimés et dont il garde la nostalgie[3]. Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. « Si les infortunés et les infâmes se mêlent (...) De qui est-ce la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu

Véritable plaidoirie que nous propose Victor Hugo, toujours plus investi dans la détresse des opprimés. Un réquisitoire contre la peine de mort[modifier]Victor Hugo utilise l'histoire véridique de Claude Gueux pour argumenter contre la peine de mort. Il est donc fort possible qu'il ait embelli la vérité dans son récit. Ainsi Claude Gueux est décrit d'une façon normalement réservée aux héros et le directeur, comme un être mauvais. La réflexion de Victor Hugo porte sur les raisons qui poussent un

siècle, Victor Hugo n’a cessé de combattre les injustices et les abus de la société. En effet, ayant à cœur le bien de la société et non celui des aristocrates, il n’hésite pas à publier face aux idées courantes, telle que pour plaider la cause des misérables – rejetés de la société -. Le roman « Le Dernier Jour d’un condamné », écrit en 1828 alors qu’Hugo n’a que 26 ans, sera toutefois l’annonce de son premier vrai combat : combat contre la peine de mort. Il s’agit là d’un plaidoyer sous forme

Mais la préface la plus aboutie est celle de 1832. Dans celle-ci, Victor Hugo prend le temps de développer son argumentation. Il précise ses motivations : le livre est bien un plaidoyer contre la peine de mort. Pour que ce plaidoyer soit efficace, qu’il ait valeur de généralité, il fallait que le personnage principal soit le plus quelconque possible, exécuté un jour quelconque, pour un crime quelconque. Il présente des descriptions très réalistes d’exécutions pour souligner la cruauté de celles-ci