Plaidoyer Victor Hugo

Le Dernier Jour d'un condamné Le Dernier Jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo publié en 1829 chez Charles Gosselin, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort. Genèse Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville

mort comme un spectacle. On dénombre trois préfaces de Victor Hugo pour ce livre. Dans la première édition, Victor Hugo présente l’œuvre comme, au choix, un journal écrit par un condamné ou bien l’œuvre d’un philosophe ou un poète. Victor Hugo laisse ainsi le lecteur décider. Le livre est alors publié sans nom d’auteur. Très vite cependant, le nom de l’auteur se répand et, à la suite des critiques dont le livre fait l’objet, Victor Hugo rédige une autre préface pour la troisième édition du Dernier

premier des six livres des Contemplations, celui qu'il a intitulé Aurore, Victor Hugo introduit un long poème de 344 vers : Réponse à un acte d'accusation. C'est sans doute parce qu'il évoque son premier grand combat littéraire, celui du romantisme, que l'auteur place ce texte dans la partie du recueil consacrée au thème de la jeunesse, aurore de la vie. Le texte étudié couvre les vers 29 à 66 de ce long poème. Victor Hugo y développe une défense de son action personnelle et dresse un tableau de

traversée de la place de l’Hôtel de Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement[1]. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue préface qu’il signe de son nom. Résumé Le livre se présente comme le journal qu’un condamné

Fiche : Victor Hugo « Réponse à un acte d’accusation » L’auteur : Victor Hugo (1802-1885) est l’un des plus grands poètes et écrivains français. Chef de file du romantisme – 19ème siècle – poète lyrique Œuvres principales : Les Misérables / L’Homme qui rit / Les Contemplations / Notre-Dame de Paris A consacré 20 ans de sa vie à lutter contre Napoléon III ce qui lui a valu l’exil Politicien, a contribué à l’abolition de la peine de mort Accusé de vouloir changer les règles classiques (Hernani)

19ème siècle que Victor Hugo occupe une place importante dans la littérature française. Auteur de divers succès littéraires comme les Misérables ou Notre dame de Paris, il se lance dans l’écriture du dernier jour d’un condamné en 1829 où il met en scène les dernières 24 heures d’un condamné à mort. Il nous est proposé un extrait de sa préface qu’il ajouta à son ouvrage trois ans plus tard, soit en 1832. Dans cet extrait, Victor Hugo exprime la force de ses idées en faisant un plaidoyer contre la peine

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20 ans, condamné pour vol. Il est tout pale et n’a pas faim, il donne donc la moitié de sa ration à Gueux avec qui il se lie d’amitié (Près/fils et non frère/frère). V. Hugo les compare à un enfant (Albin) et un vieillard (Gueux). Un jour, il est envoyé dans un autre bâtiment sur ordre de M.D.. La deuxième partie est un plaidoyer d’Hugo contre la peine de mort et pour l’éducation. Il explique qu’il est inadmissible que la France ne sache pas lire alors que ses voisins européens le peuvent. Il dit

son œuvre, Victor Hugo en fait la lecture à quelques-uns de ses amis et c’est Édouard Bertin qui encourage l’éditeur Charles Gosselin, qui a déjà entrepris la publication des Orientales, à publier le roman. Celui-ci, dans une lettre envoyée à Victor Hugo évoque ses craintes que ce roman sans action ne lasse le lecteur, que l’absence d’informations sur le condamné ne nuise à la compréhension du récit et suggère à Victor Hugo de compléter son œuvre par une histoire du condamné. Victor Hugo refuse poliment

Mélancholia -Victor Hugo Victor Hugo est le chef de file du Romantisme au XIXème siècle. C’est aussi un écrivain engagé, contre la peine de mort, la misère et pour la liberté. Le texte à l’étude est justement un extrait d’un poème en alexandrins, Mélancholia, extrait de Les Contemplations écrit par Victor Hugo en 1856 où Hugo évoque le travail dur et pénible des enfants. Dans un premier temps, nous traiterons le travail des enfants, puis l’indignation d’Hugo. On observe une abondance de