Plan américain

provoque le départ du garçon chez la jeune fille. Pour cela je fais un gros plan sur son visage, en arrière fond il y a le bruit du vent, la locomotive est déjà partie, tout est silencieux. Le chef de gare en voix hors champ parle à la jeune fille, ce qui a pour fonction de la ramener vers la réalité mais elle ne semble pas réagir ce qui renforce l'idée qu'elle se trouve dans sa bulle. Lorsque la locomotive s'en va, il y a un plan fixe pour accentuer le fait qu'elle disparaît petit à petit, cela montre

qui tente pas tous les moyens d’aider tous ses compatriotes à être sur le même pied d’égalité que les blanc aux États-Unis. La séquence contient deux partis, une d’elle est un plan séquence de la ville de Détroit qui est sous le coup de la révolution des noires afin d’être reconnu comme étant l’égal des blancs. Ce plan séquence on peut le comparer, un peu, au vidéoclip. Cette comparaison est plausible car tout se passe extrêmement rapidement, donc on condense le tout, car on veut en montrer le

croix (parti de Hynkel) représenté sur le mur du bureau et auréolé de « rayons lumineux », tel un soleil : ce signe apparaît comme le soleil, la lumière de la Terre). Ces plans sont : Plan d’ensemble (Hynkel dans son bureau) au plan rapproché voire gros plan (expression du personnage et relation au ballon-Terre) ; plan en légère contre-plongée montrant un Hynkel dominant (notamment quand il est sur son bureau : il semble être « au-dessus » de nous) ; légers déplacements de caméra permettant de garder

Analyse filmique de Big Fish (2003) (1h50mn35s-1h56mn28s) Big Fish est un film américain de Tim Burton, film qui arrive après La planète des singes, le budget est moins important que pour les précédents films du réalisateur. Le scénario est de John August, d’après le roman de Daniel Wallace, avec Evan Mc Gregor dans le rôle d’Edward Bloom (jeune), Albert Finey, pour Edward Boom (adulte) et Bill Crudup pour Will le fils d’Edward. Ce film retrace l’histoire d’un homme qui par des anecdotes ou

Pour analyser un film, il faut connaitre : Le plan : c’est au cinéma, la plus petite unité de base qui correspond à la portion de film imprimé par la caméra entre le début et la fin d’une prise. Sur une bobine de film terminé, vous voyez quoi des coulures sont collées les unes à côtés des autres. Les composantes d’un plan : La durée du plan = variable en fonction de la caméra utilisé L’angle de prise de vue = une vue frontale (caméra en face) ou prise de vue latéral (Ex : profil) ou prise de

chez eux, à l'abri du froid, en vendant des boites d'allumettes. L'extrait se situe immédiatement après qu'on l'ait vue envier les personnes pouvant se restaurer, le « nez collé au carreau » d'un café. Karen, la marchande d'allumettes, est vue dans un plan d'ensemble en train marcher, le pas pressé, presque fuyant, pour s'éloigner d'un policier qui est intervenu alors que deux enfants s'acharnaient sur la jeune fille, distraite devant le café, en lui lançant de la neige. Cet extrait de La Petite Marchande

plongée - Plan > plan général: situe l'action et montre tous les protagonistes dans le contexte de l'action > plan d'ensemble: totalité du décor avec les personnages qui s'y trouvent. On ne voit pas l'environnement ni le contexte. On doit voir les personnages entiérement > plan de demi ensemble: qu'une partie du décor. L'attention est concentrée sur une partie du groupe > plan moyen pied: cadré les individus en pied(vision intégrale). Concentration uniquement sur les personnages. > plan italien:

fois avec un point de vue différent. Ici on va suivre le point de vue de Michelle qui commence à 55:48. On la voit tout d'abord de dos, elle ouvre et passe une porte. Cette scène est réalisée en un seul plan-séquence où l'on suit le personnage de Michelle de dos en travelling avant, en plan poitrine. On la voit donc de dos marcher dans le couloir, à la manière des personnages de jeux vidéos (ce qui porte également tout son sens dans l'analyse du film entier). Il y a très peu de profondeur de champ

déroulement tourne autour de lui, chaque action découlant d’une de ses actions ou promesse. De quel cinéaste américain s’inspire-t-il ? (faites une recherche sur lui) Jacques Audiard s’inspire bien évidemment de James Toback, puisque le film De battre mon cœur s’est arrêté est un remake du film Fingers du réalisateur américain. Cet homme est un scénariste, réalisateur, acteur et producteur américain né en 1944 à New-York et ayant étudié à Harvard. Il est principalement connu pour avoir écrit et réalisé

vue, peuvent sans doute être subjectifs, donc fictionnels. Les moments présents endossent alors le rôle du réel. Syntaxe - Plan fixe large de la porte fermé - fondu  porte ouverte, plan n’a pas changé. -Vision corbillard  nouveau fondu sur la famille en deuil en plan taille large. - Travelling avant sur l’image du père : signifie sa mort en arrivant sur un gros plan de la photo. - Fondu sur la famille qui sort (entrée gauche cadre /sortie droite cadre) - fondu (180 ° saute d’axe) pour arriver