Plan de prévention du risque inondation

l’exception de la forêt primaire de Guyane en outre-mer. Quels sont les différents milieux existants en France ? Quelles sont leurs caractéristiques ? Comment sont-ils mis en valeur par la société (notamment économiquement) ? Quels en sont les risques et contraintes ? Comment la société s’efforce-t-elle de les protéger ? A) Etude de cas : développement économique et gestion durable des milieux alpins. Caractéristiques : fortes pentes, haute altitude, végétation étagée, précipitations

RÉSILIENCE, RISQUE ET SIG André Dauphiné Professeur de Géographie Équipe d’accueil SEIGAD Université Joseph Fourier Damienne Provitolo Docteur en Géographie Résumé La résilience est un concept utilisé dans de nombreuses disciplines. Globalement, un système socio naturel résilient permet de mieux répondre aux aléas qui génèrent des catastrophes. Mais la mesure de la résilience est difficile. L’élaboration d’un indicateur de la résilience permet de l’inclure dans un SIG et d’offrir aux décideurs

échelle privilégiée : la région, dite « naturelle ». Flandres plates, cuvette du BP, la région alpine. Comme on suit la démarche classique description/puis expliaction, on attache d’abord de l’importance à ce qui est visible[1], donc au relief etc (au risque d’oublier l’invisible). Place est faite cependant aux facteurs sociaux (moins visibles), que révèlent certains paysages : quand haies nombreuses, structures individualistes≠ champs ouverts ont structures communautires, plus favorables aux paysans

politique et technique en Chine. La propagande chinoise aime à justifier ses grands travaux – il en a été de même de la nouvelle zone de Pudong à Shanghai – par l’autorité morale de ses grands hommes. Aussi rappelle-t-elle souvent que, dans son plan de développement pour l’industrie présenté en 1919 à l’Assemblée nationale chinoise, Sun Yat-sen tenait déjà pour objectif prioritaire celui de faire un meilleur usage des ressources du Yangtsé et d’en améliorer la navigation en construisant sur

Aide-mémoire BTP Prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles dans le bâtiment et les travaux publics L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l’INRS est un organisme scientifique et technique qui travaille, au plan institutionnel, avec la CNAMTS, les CRAM-CGSS et plus ponctuellement pour les services de l’État ainsi que pour tout autre organisme s’occupant de prévention des risques professionnels

Dossier délivré pour BIBLIOTHEQUE CENTRALE 19/10/2008 Gestion des risques de l’entreprise par Bernard BARTHÉLÉMY Ingénieur École centrale de Paris Master of Sciences Direction Conseil, Responsable Gestion des Risques. Bureau Veritas et Jacques QUIBEL Ingénieur de l’École nationale supérieure des arts et métiers Diplômé du Centre de perfectionnement dans l’administration des affaires de la Chambre de commerce de Paris Ancien Directeur prospective et stratégie chimie pour le groupe Air Liquide

ED 790 La diversité des intervenants dans l’acte de construire, maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, coordonnateurs et entreprises de toutes tailles et de toutes activités, a toujours engendré certaines difficultés pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles sur les chantiers de bâtiment et de travaux publics. La branche professionnelle, elle-même, ne compte pas loin de 300 000 entreprises regroupant près de 1,2 million de salariés auxquels il convient d’ajouter plus

SOMMAIRE Introduction Processus du Grenelle Les 13 domaines d’actions et leurs évolutions - Bâtiment - Urbanisme - Transport - Energie - Biodiversité - Eau - Agriculture - Recherche - Risque, santé et environnement - Déchets - Etat exemplaire - Gouvernance, information et formation - Dispositions propre à l’Outre-mer Les mesures logistiques proposées par le grenelle de l’environnement 2. Conclusion

efficace est très utilise en radioprotection elle évalue l’exposition d’une personne aux rayonnements et les risques engendrés en particulier le risque de cancer. Elle tient compte de la sensibilité des tissus et de la nature des rayonnements. Il s’agit alors d’affecter la dose équivalente reçue par un tissu ou un organe a un facteur de pondération qui résulte d’une évaluation du risque lié a ce tissu. 8- Equilibre électronique : Le kerma et la dose absorbée ont la même unité, cependant ce

principalement lié aux activités humaines et plus particulièrement industrielles depuis la fin du XIXème siècle. Ainsi, la Terre se réchauffe dangereusement, au détriment des glaciers qui fondent et des dérèglements climatiques qui s'accentuent (tornades, inondations, canicules...). * Le mecanisme de l’effet de serre additionnel: Figure 3: le mécanisme de l'effet de serre Lorsque le rayonnement solaire atteint l'atmosphère terrestre, une partie (environ 30%) est directement réfléchie, c'est-à-dire