Plan hippodamien

complémentaires : les huées à l’opéra et les larmes face au miroir. L’avant dernière séquence La mise à mort sociale de la marquise se déroule à l’opéra, lieu de prédilection des aristocrates déjà présent dans la sixième séquence du film. Un plan d’ensemble montre d’abord le décor et la foule parée qui bavarde avant le spectacle, rappelant le contexte historique par les costumes et les chandeliers notamment. Les conversations indistinctes et les instruments de musique qui s’accordent créent

rapport à l’objet regardé. L’angle normal est à hauteur du regard. Voir plongée et contre-plongée. Aplat : couleur uniformément répartie sur une surface. Arrière-plan : éléments d’une image perçus comme les plus éloignés de l’œil du spectateur. Axe de regard : axe sous lequel le spectateur voit le ou les personnages dans le plan ou dans l’image. Un per-sonnage peut être filmé de face, de dos, de profil, de trois-quarts gauche ou droite. Bords perdus : se dit d’une image qui couvre une page

(mouvement en diagonal) Extrait vidéo : West Side Story - plan général en forte plongée (aérien) sur la ville - mouvement latéral = de droite à gauche - plus se rapproche lieu claquement de doigts / fond sonore + en + présent / fort - fondue enchainée sur terrains * - zoom sur un terrain + plan sur groupe * - plan rapproché épaule sur pers. claque des doigts chemise moutarde pers. décentré sur côté droit * - plan fixe sur mec chemise moutarde + enchaînement plusieurs panoramiques

zoom n'est pas un jouet Au premier rang des erreurs on trouve l'usage abusif du zoom avant ou arrière pendant un plan. Ce type de plan avec zoom rapide est très désagréable à regarder. Il est donc conseillé de ne pas utiliser le zoom pendant un plan. Préparez votre cadrage, zoomez, et une fois le cadrage correct, commencez à filmer. Si vous devez utiliser le zoom pendant un plan, agissez avec douceur pour avoir un zoom lent et fluide ; un peu d'entrainement sera nécessaire. 3. Laissez tourner

l’image et l’utilisation des techniques regroupe ces trois auteurs à Oshima. L’analyse filmique permettra, par la suite, de décliner ces éléments à travers chacune de leurs particularités théoriques: le style documentaire, l’abstraction et la durée du plan chez Akerman, la photogénie et la prise de vue chez Epstein, enfin la subjectivité et le montage chez Godard. Le Documentaire Oshima est un réalisateur engagé et le style documentaire qu’il oppose aux « faux affublés de l’apparence de l’authentique »[6]

Vocabulaire du cinéma I-L’image a)Le plan Plan : Prise de vue sans interruption Séquence : Ensemble de plans constituant une unité narrative de temps et de lieu. Plan séquence : Séquence composée d ‘un seul plan Distance focale : Distance appareil/ sujet filmé Echelles de plan (cf annexe) b) Le champ Champ : Tout ce qu’on voit a l’écran Cadre : bord materiel de l’image Cadrage : Place de la caméra, choix de l’objectif, de l’angle de prise de vue, organisation de l’espace et des

morte. Une fois la professeur maquillée, elle nous rejoins dans le forêt, Nolan tourne et je le maintiens derrière afin que le plan soit bon. Ça y'est, nous avons toutes nos prises, nous pouvons désormais passer au montage. Ce tournage fût également mon premier, et ça m'as permis de découvrir comment ça se passait vraiment, gérer la lumière, ou ce placer pour tel ou tel plan, ect.. On a eu le droit à de bonnes conditions sur ce tournage, sans aucun problèmes réels, mis à part peut-être la scène du

| |1- Plan Rapproché de «  Citizen Kane » | | |Longue Focale | | |Caméra fixe | |

déplacements rapides pour remporter la victoire. L’Allemagne crée le plan Schlieffen (datant de 1905), prévoyant une offensive sur la France en passant par la Belgique et le Luxembourg (étant des pays neutres). Ce plan n’envisageait pas de prendre Paris de front mais de contourner la capitale afin d’encercler l’armée française, ouvrant ainsi le front de l’Est. De son côté, la France a également prévu un plan stratégique (le plan XVII) qui consiste en une offensive sur l’Alsace et la Lorraine, annexées

nature composite, liée à une issue incertaine : • il représente une dette, dans la mesure où le porteur pourra 1RE PARTIE : LES SOLUTIONS FRANÇAISES Les obligations convertibles en actions, en raison de leur nature hybride, posent d’abord, sur un plan théorique, le problème de leur rattachement à une catégorie homogène et celui de leur place au passif du bilan. Cependant, leur mixité entraîne une autre difficulté, lors de l’existence d’une différence entre le prix d’émission de l’obligation et sa