Planche Franc Maçonnerie

A(L(G(D(G(A(D(L(U Les deux Luminaires Vénérable Maître, Respectables Frères, très Vénérables Frères, Vénérables Frères et vous tous mes Frères en vos grades, degrés et qualités, Lorsque le sujet de ma planche m’a été communiqué, j’ai tout d’abord été très satisfait. Ce sujet, les Luminaires, avait l’avantage de ne pas avoir été défloré lors de séances d’instruction, ce qui laisse libre cours à ma réflexion. Par ailleurs, c’est en soi un beau sujet. En effet, comme il est dit dans le

qu’il y a incompatibilité entre le Parti National Fasciste et la francmaçonnerie. A partir de là éclate la violence contre les francs-maçons, leurs temples et leurs loges. Dans la presse officielle du parti on peut lire alors qu’il faudra « exécuter les francmaçons en masse comme des traîtres de la patrie » ou encore : « A partir d’aujourd’hui ni les maçons ni la franc-maçonnerie doivent rester un seul instant exempts de la persécution. Les maçons, leur biens et leurs intérêts doivent être anéantis sans

d’émulation, de York ou d’ailleurs… Que de rites… Quant aux francs maçons : il y en a masculin ou féminin, de gauche de droite, athées ou croyants, des actifs, des retraités, dans le BTP les collectivités locales ou encore les métiers de bouche en passant par la politique, … Et en plus ils sont présent sur les 5 continents ! Avec tant de diversité d’êtres, de pratique et de lieux, il y a surement une once d’universalité dans la Franc -Maçonnerie. Je vous propose donc ce soir d’observer en quoi ses préoccupations

indéfectible fidélité maçonnique extériorisée sans complexe, son bonheur d’être maçon, sa plus parfaite sincérité à l’égard de son Ordre, son espérance en l’homme et en l’humanité, ses craintes aussi devant la montée des premiers signes de rejet de la maçonnerie après le début de la Révolution française. Il mêle talentueusement et passionnément amour, poésie, complot tortueux et fin heureuse. Une œuvre à tiroirs où chacun puisera le niveau de lecture qu’il lui conviendra : de la mélodie ciselée du conte

La prise de parole, outil du compagnon Ayant fait ma planche de passage d'apprenti au grade de compagnon sur le silence de l'apprenti et ayant été bien silencieuse depuis, puisque presque 4 ans ont passé, j'ai pensé approprier de parler de la prise en parole au grade de compagnon… J’ai voulu approfondir l’étude de cet outil car la prise de parole en Loge n’est pas une chose simple, et pour rappeler que nous sommes ici pour essayer de progresser sur le chemin de la connaissance grâce aux interventions

m’orientèrent vers le désir de participer encore plus au renouveau intellectuel et moral qui se dessinait au début du XVIII° siècle. MB : Permettez moi d’insister sur le domaine de la maçonnerie ; quel était sa situation au début du XVIII° siècle ? JTD : Tout dépend par ce que l’on entend par « maçonnerie ». En effet, à cette époque cette appellation signifiait depuis quelque temps du moins deux états qui furent qualifiés plus tard d’ »opératif » et de « spéculatif ». Le premier état dit

Houppe dentelée, je vais commencer par l’adaptation d’un court extrait de la préface de « Paroles de francs-maçons » de Jack CHABOUD. « Il est difficile de concevoir un mouvement spirituel isolé dans le temps et l’espace. Toute nouvelle entreprise de l’homme pour cerner son essence propre et son devenir, est le maillon d’une longue chaîne. Aujourd’hui, à travers le monde, la franc-maçonnerie regroupe des hommes qui ont reçu une initiation. Oublier le chemin initiatique nous réduirait à un groupe

propos se trouve certainement dans le travail de nos planches d’apprentis. Après une première ébauche, je soumets cette esquisse à notre frère 2ème surveillant. Puis, après ses critiques, ses apports, je me remets donc au travail. Je taille patiemment ma pierre, fort d’interrogations, de pistes nouvelles. Et je remettrai mon tablier autant de fois qu’il le faudra, pour la satisfaction d’une pierre bien taillée, d’un devoir accompli, d’une planche bien traçée, d’une réflexion approfondie. Ne serait-ce

pas la lumière du maçon qui a appris les règlements généraux par cœur, pas la lumière de celui qui fait autorité dans la société, mais « cette lumière », celle-là et pas une autre, une lumière sans qualificatif. Même dans l’organisation de la franc-maçonnerie, cette lumière-là n’est pas facile à trouver. L’organisation idéale de notre Loge doit être transparente et aucune différence notable ne devrait exister entre nous, si ce n’est dans la manière d’être et d’agir, dans la façon de se comporter.

personne qui crée, invente quelque chose de nouveau dans le domaine scientifique, artistique, alimentaire etc … qui a la faculté, le don d’inventer : Donc revenons à nos origines, en remontant le temps du mieux que l’on peut faire. Nous sommes en maçonnerie pour 1) se poser des questions (sur nos origines) réfléchir à ces questions que nous nous posons 3) avoir le doute de ses réponses L’être humain, comme dans les mythes bibliques a manifestement du mal à résister