Planche Verite

c'est en savoir le sens. C'est pourquoi lorsque par un jour de chaleur je me sens triste d'en jouir à ce point, et couche de tout mon long dans l'herbe, et ferme mes yeux brûlants, je sens tout mon corps couché dans la réalité, je sais la vérité et je suis heureux. Cela me fait penser que penser, c'est découper le réel en morceaux pour ramener ces morceaux au connu. « On ne voit que ce qu’on reconnaît » disait Finkelkraut à C dans l’air. Le connu est stocké dans la mémoire et la mémoire

PLANCHE LES LARMES D ARGENT Trois Fois puissant Maitre et vous toutes mes sœurs maitres secrets Lors de mon élévation à la maîtrise, j’ai trouvé la loge plongée dans l’obscurité pleurant la mort de notre Maître Hiram. Devenue maîtresse par substitution, je renaissais alors même que j’apprenais que la parole était perdue. Je vivais un état de transition dans la souffrance et les larmes. Ce décor de tristesse et de deuil m’a ramené au cabinet de réflexion du premier degré. Là où dans

n’aurait pas manqué de s’alarmer. Dans le monde profane, nous devons être « avenant », « souriant », mais pas souffrant. Cet état est banni jusqu’à la phase ultime de notre passage sur terre…. Et pourtant, cet état, dont j’ai fait mon thème de planche ce soir, est déterminant pour le F.M. 1 – POURQUOI SOUFFRIR : Le FM ne peut se contenter d’une approche livresque de son nouvel univers. Bien sur, ,il lui faut lire pour découvrir la F.M, mais passé le stade de quelques mois, le jeune frère

33° et dernier degré du Rite Ecossais Ancien et Accepté Respectable Loge de Perfection : Porta Daurada N° 969 À l’Orient d’Andorre la Vieille Trois Fois Puissant Grand Maître Et vous tous mes Frères Grands Elus de la Voûte Sacrée Planche au 14 ème degré : « Le tableau de Loge au 14 ème degré » Le tableau de Loge au quatorzième degré est composé d’un triangle d’or équilatéral sur lequel sont gravés des caractères hébraïques, triangle surmontant l’image d’un temple en ruines. Avant

moi. " Quels ne furent pas mon horreur et mon étonnement quand, rentrant à la maison, le premier objet qui frappa mon regard fut mon petit bonhomme, l'espiègle compagnon de ma vie, pendu au panneau de cette armoire ! Ses pieds touchaient presque le plancher; une chaise, qu'il avait sans doute repoussée du pied, était renversée à côté de lui ; sa tête était penchée convulsivement sur une épaule; son visage, boursouflé, et ses yeux, tout grands ouverts avec une fixité effrayante, me causèrent d'abord

paraitre mais pour exprimer un ressenti intérieur, montrer dans ce creuset qu'il est lui-même les premières ébauches de la pierre cubique qu'il tend à devenir. Il parlera avec mesure, sans s'écouter mais cherchant seulement à se dévoiler lui-même. Ses planches de Compagnon ne seront plus des tribunes à la gloire de sa culture mais d'humbles manifestations de son vrai moi sur le chemin de l'Absolu. Comme le dit si bien l'un de nos préceptes maçonniques, il "parlera sobrement avec les grands, prudemment

le tourmenter. Le balancement V.11-12 suppose une sorte de mise en scène : à tour de rôle, les matelots se relaient pour donner une attraction, un spectacle propre a satisfaire la grossièreté populaire incarnée par les marins. Le terme « sur les planches » V.5 renvoi au spectacle et au théâtre. « agace » V.11 provoquer une irritation nerveuse. C’est d’autant plus lâche et plus bas puisque l’oiseau n’a aucun moyen de se défendre. Il est seul. On note aussi une parodie « l’autre mime en boitant l’infirme

d'afficher les questions sous forme de concours en des lieux de passage, proposant une récompense à celui qui ajouterait une voie vers une solution valable. Alors que maintes questions n'avaient trouvé aucun penseur et encore moins de réponse, Descartes planche sur les problèmes des affichettes et rafle les récompenses, les solutions simples fascinent le cercle flamand et ainsi naît une amitié scientifique. Le jeune Descartes sort de l'ombre. Beeckman tient un journal de recherches, il y relate les idées

des intérêts superposés. Mme Loisel semblait vieille, maintenant. Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec des jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait près de la fenêtre, et songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée. Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure? Qui

d'accessoires est plus décisif que celui des poètes. » (Poétique, 50 b 15)= suprématie du texte dramatique - Aristote exclut le monstrueux= incrédulité - idéologie de la modération, de la juste mesure (Hardy, Montchrestien..) - le dilemme de la vérité historique ou de l’avéré = « le rôle du poète est de dire non pas ce qui a lieu réellement mais ce qui pourrait avoir lieu dans l'ordre du vraisemblable ou du nécessaire » (Poétique, 51 a 36) - mais avéré pas exclu (voir César assassiné par Brutus)