Planck

il émet donc des raies de lumières (on obtient un spectre de raies d’émission) ►Formules: avec: E = hυ = h c λ E, l’énergie du photon (en J) υ, la fréquence du photon (en Hz) λ, la longueur d’onde du photon (en m) et h la constante de Planck (h=6,63 x 10-34 J.S) Un atome peut passer d’un niveau d’énergie EN (ou d’excitation) à un autre EP, la variation d’énergie EN-EQ permet de retrouver, l’énergie E du photon émit (ou absorbé): ►Schémas: Cas de l’émission E = EN − EQ Cas de l’absorption:

diffère donc selon l’individu. Ses formes les plus poussées requièrent même une hypersensibilité de la part de l’artiste. C’est en opposition complète avec le scientisme, doctrine de la mesure exacte, nécessitant l’abstraction des sens humains. Pour Max Planck : « seul tout ce que l’on peut mesurer existe ». Les études des couleurs réalisées par Newton et Goethe diffèrent par ce point que l’un ne s’appuie que sur des mesures exactes alors que l’autre ne fait confiance qu’à ses propres sens. La première

physiques de la lumière X onde électromagnétique de longueur λ, de fréquence ν, de vitesse c = λ.ν X constituée de photons = entités élémentaires porteuses d’une quantité d’énergie appelée quantum X l’énergie d’un photon vaut E = h.ν (h, constante de Planck) Les radiations actives pour la photosynthèse sont le bleu et le rouge å énergie photon bleu (~430 nm) > énergie photon rouge (~640 nm) B - Les pigments photosynthétiques Les chlorophylles phytol noyau tétrapyrollique Les caroténoïdes Bio242 S

longueur d’onde. On doit déterminer la radiance spectrale pour la longueur d’onde à laquelle le plus d’énergie est émise, λmax. Connue T = 750 C̊ Inconnue RT (λmax) Identifier les clés La première clé est l’équation 10.11, la loi du rayonnement de Planck : RT (λ) = 8πc2h λ5 1 ehc/λkT −1 . (i) Reproduction interdite c© TC Média Livres Inc. 9P16 CHAPITRE 10 — La dualité onde-particule La deuxième clé est la loi du déplacement de Wien, requise pour déterminer la longueur d’onde du pic d’émission à utiliser

« catastrophe ultraviolette ». Max Planck (1858-1947) eut l’idée la même année de proposer un modèle explicatif dans lequel l’énergie de rayonnement ne peut s’effectuer qu’à la fréquence de telle sorte que soit un multiple d’une d’énergie élémentaire où le nombre est une constante universelle appelée depuis constante de Planck. Einstein en 1905 (et c’est pour cela qu’il sera récipiendaire du prix Nobel de physique en 1922) poursuivant l’approche de Planck émet l’hypothèse qu’une lumière monochromatique

en cause de la science provient des « sciences exactes » qui développent de nouveaux concepts ➢ Géométrie non euclidienne, espace temps, infinitude… ➢ Théorie des erreurs, recours à la probabilité ➢ Nouvelle conception de l’univers : Planck ➢ Travaux sur les atomes : Perrin ➢ Théorie de la Relativité restreinte : Einstein o Temps et espaces sont mêlés 3. L’instrumentalisation de la science ( La science est utilisée par certains ➢ Mythe du racisme o L’Aryen

lumineux monochromatique de fréquence  est constitué de corpuscules sans masse : les photons A. La vitesse d’un photon est inférieure à la vitesse de la lumière. B. L’énergie d’un photon est caractérisée par la formule E = hν, où h est la constante de Planck et ν, la fréquence du rayonnement. 27 C. Un photon est une particule de masse 1,6710 kg D. D’après le principe d’incertitude de Werner Heisenberg, on ne peut connaître à la fois, au même moment, la position et la quantité de mouvement d’une particule

de la nature, si elle nous est familière, ne va de soi et constitue un véritable coup de force historique. Le fondement mathématique va constituer le regard moderne sur la nature par la science.  « N’est réel que ce qui est calculable » Affirme Max Planck. Dans la science moderne le réel ne se ramène qu’à la calculabilité. Descartes va fixer définitivement le projet de la pensée moderne sur ses rails dans la science en s’inspirant du modèle de la certitude mathématique. Son projet initial étant la

associé à la « rotation » de cette particule sur elle-même et l’existence simultanée d’un moment magnétique  : j = h’I et µ = j d’où µ = h’I avec est le rapport gyromagnétique de l’élément considéré. et h’ est la constante de Planck réduite (h’ = h2). I et µ sont quantifiés et ne peuvent pas prendre n’importe quelle valeur. Les lois de la mécanique quantique permettent de démontrer que µ ne peut adopter que 2I + 1, valeurs discontinues égales à µ = hm avec m variant entre

régional et local) que dans le secteur privé, ou encore dans des administrations publiques, organisations internationales, think tanks ou associations. L’École de la recherche propose des doubles diplômes de doctorats avec l’International Max Planck Research School et l’Université de Cologne (Allemagne), Columbia University (USA), et Northwestern University (USA). Près de19 ateliers sur l’insertion professionnelle Où travaillent nos diplômés ? SCIENCES PO CARRIÈRES Administration publique