Plasticité neuronale

(cerveau pensant). L'origine de ce piratage neuronal se trouve dans l'amygdale (glande de la grosseur d'une amende au centre du cerveau limbique), siège de la mémoire affective. Elle commande toutes les émotions. Le neurologue américain Joseph LeDoux a été le premier à mettre en évidence comment l'amygdale détermine nos réactions avant que le néocortex ait pris une décision, nous faisant sombrer dans l'irrationnel. Son large réseau de liaisons neuronales permet, en cas d'urgence, de prendre la direction

ou encore actif ) nature du mouvement Nature du mouvement : mouvement reflexe = réaction motrice qui est reproductible, ces mouvements sont déclenches par un ou des stimuli un stimuli exterieur tactile cest le produit d'un circuit pre-neuronale prederteminé genetiquement *le refelexe est incontrolable mouvement automatique = mouvement stereotypé et reproductible, ces mouvements sont generes par un reseaux nerveux inné,(respiration) mouvement intentionels = volontaire, intention

Doctorant ou Post doctorant. L’association « Tous chercheurs » a accueilli plus de 2500 lycéens depuis sa création en janvier 2004. Les recherches de l’INMED L’objectif principal des équipes de recherche est d’étudier le développement et la plasticité cérébrale ainsi que les pathologies du développement cérébral. Les principales pathologies étudiées sont : les épilepsies, le retard mental, l’autisme, les troubles du langage, le syndrome de Prader Willi, la maladie de Parkinson, la Sclérose Latérale

caractères innés et aux caractères acquis, et partiellement sur l’hérédité de l’intelligence. Aux extrémités nous avons les deux affirmations suivantes : - l’intelligence est un caractère purement biologique. Il résulte de la qualité des connexions neuronales, du nombre de neurones, et de plusieurs autres paramètres d’ordre purement physiques qui nous sont fixés une fois pour toutes à la naissance ; - tout le monde naît avec un bagage physique à peu près équivalent, ensuite la différence est due

synapses, c’est-à-dire les connexions entre neurones, vont se former après la naissance avec une vitesse variable selon les activités cognitives. Ce qu’on sait maintenant, c’est que l’environnement a un rôle énorme sur ce développement neuronal. L’expression de « plasticité cérébrale » désigne le modelage du cerveau sous l’influence du milieu (extérieur et intérieur). Les enfants étant exposés à un environnement différent dès l’enfance, rien ne permet de conclure que les différences observées sont d’origine

d’immatériel (la mémoire) ?  Rapport impossible = la conscience serait donc purement limité au cerveau ? 2-le point de vue matérialiste Tout ce qui se réduit à une réalité matérielle. A- Une détermination intérieure : le cerveau Changeux, L’homme neuronal V « les objets mentaux ». - la conscience ce n’est pas le propre de l’homme car les animaux ont eux aussi un cerveau donc une conscience. Il s’agit d’une différence quantitative : homme = plus gros cerveaux = plus de neurones = plus conscients.

autres. Aucun neurone ne contient à lui seul un souvenir, ou une information susceptible de restituer un souvenir. En réalité, lors de la mémorisation d'une information, des circuits nerveux sont modifiés. L'apprentissage repose ainsi sur la plasticité neuronale, c'est-à-dire la capacité des neurones à modifier l'efficacité des transmissions des influx nerveux au niveau de jonctions particulières, appelées synapses. Lorsque nous apprenons une nouvelle information, comme par exemple un nouveau mot,

l’approfondissant. Il lui apporte entre autre le concept de neuromatrice (matéréseau neuronal). La « neurosignature propre à chacun expliquerait pourquoi les personnes nées sans bras les ressentent tout de même. Selon lui Un assemblage cellulaire génétiquement déterminé sous tendrait l’image du corps (qui serait le même pour tous), mais il y aurait une « neurosignature » individuelle la modèlerait, elle est formée des activités neuronales diffusant dans la neuromotrice et assemblées en information cohérente. La

de l'acquisition visuelle. Nous apprenons tous à voir de la même manière. Le contre-exemple de cette hypothèse est le cas d'un individu aveugle qui n'apprenant pas les choses de la même manière qu'un voyant ne saura pas « voir » par la suite, la plasticité du cerveau étant mis en cause. Partie 2 : Une rétine, trois fonctions visuelles Ici , nous parlons d'anatomie de la rétine en faisant allusion aux cônes et bâtonnets. Selon la proportion en cônes et en bâtonnets on aura une acuité visuelle

des neurones s'activent générant des " motifs d'activités neuronales ".Une telle carte d'activation est formée des trains d'impulsions électriques rythmés qui se propagent de neurones en neurones. Ces motifs d’activités neuronales ont une organisation spatiale (la localisation des neurones qui émettent des décharges) et temporelle (la fréquence, le rythme et les cohérences de ces décharges). 2) Les différents motifs d'activités neuronales sont combinés par le cortex entorhinal en un seul signal (véritable