Platon Lois Iv Cité

patriciennes ), la plèbe acquiert  progressivement des pouvoirs de contrôle importants par l’intermédiaire de ses représentants. Dans son traité de politique « De Republica » , Ciceron,  par la suite,  propose un modèle d’organisation politique inspiré de Platon, sorte de compromis entre la monarchie, l’aristocratie et la démocratie.  C’est ce compromis qu’a  connu la République romaine. Ainsi se mettent en place quelques-uns des caractères qui définissent la République «une forme de gouvernement dans laquelle

remonte aux sources de la pensée occidentale  La pensée va se dégager en nature et penser d’elle même. Les SOPHISTES critiquaient les lois positives de la cité grecque auxquelles ils reprochaient une création artificielle. Cependant, les EPICURIENS insistaient eux, sur le caractère volontariste (on nous oblige par la force) des lois. On retrouve ses caractères dans les lois. Au XIV° s, OCCAME poursuit et affirme que les règles morales sont celles que D.ieu , de toute éternité a fixé, et non pas celles

précises. Selon Francesco Vito, « une science unitaire, entendue comme la somme de branches multiples obéissant chacune à des méthodes diverses de recherche, exclurait, a priori, la possibilité de parvenir à formuler des propositions ayant le caractère de lois scientifiques. Elle peut tout juste aider à décrire les faits dans leur complexité, mais elle s'arrête au seuil de la construction scientifique. » À l'inverse, Vito estimait certaine « la fécondité des contributions qui peuvent être attendues des études

Piero de Medici. Dans le but de maintenir la principauté. Il dégage les règles propres de la politique, qui devient une discipline autonome, avec des principes et des mécanismes propres. Il démontre au Prince qu'il doit pouvoir promouvoir de « bonnes lois » et de « bonnes armes » car l'Etat a autant besoin d'un législateur qui l'organise et le guide que d'une armée nationale composée de soldat loyaux. Il montre aussi que l'usage de la force est tant nécessaire en politique intérieure qu'extérieure sans

– cf. Cours sur le Vivant et la conception mécaniste de l’organisme). DESCARTES, déjà, disait des machines qu’elles étaient à la fois « artificielles » et « naturelles » (parce que le principe de leur fonctionnement se trouve dans l’application des lois de la nature qui ont été découvertes par la (les) science(s)). Des animaux il n’hésitait pas à faire des machines – ce qui vaut aussi pour le corps humain, mais celui-ci est, à la différence cette fois-ci des animaux, pourvu d’une âme – constituées

inconscient. Ainsi, ayant perdu ses assises sacrées, la parole devra justifier autrement sa puissance d’une part, et d’autre part, n’étant plus l’expression de l’absolu, elle devra chercher ailleurs les motifs de sa validité. Philon, à la suite de Platon et d’Aristote évidemment, témoigne de la solution qui fut donnée à ces problèmes. D’un côté « Dieu », la transcendance, Idées ou Etre. De l’autre, « les fonctions naturelles », la physique (phusis), le pneuma, la matière. Donc la dualité, l’invention

légitimité divine il est souvent désigné par les Dieux soit directement soit indirectement. Le monarque a un caractère religieux car il peut interpréter les messages divins. Tous les actes du monarque sont guidés par les Dieux donc légitimité. - la Cité le mot cité est fondé sur le mot Grec ‘’polis’’. Il y a des citoyens, le droit est partagé par des magistrats qui agissent de manière collégial, on évite les magistratures unique, les pouvoirs sont toujours partagés. Les civilisations importantes :

La cité, l'État et le droit dans la Grèce Antique A)Les cités grecques a)La cité et ses formes politiques  *la cité, cadre de vie de l’homme grecque : les grecs sont fiers de cette cité. C’est une collectivité politique. Opposition de la cité aux empires orientaux. Les grecs méprisent les barbares, ceux qui sont étrangers à la civilisation grecque. Empires orientaux dont le gouvernement est fondé sur la force. Certaines cités ne sont connues que par leur monnaie. (1000 cités). Cité : communauté

philosophie économique, l'économie est une idéologie. On est ici dans le domaine des croyances économiques. L’économiste ne fait pas de la science dure mais fait œuvre de science humaines, sociales, … C'est l'idée que les lois économiques ne sont pas des lois de la nature mais des lois de l'Homme faites par l’homme, par les humains, ce que l'Homme fait il peut le défaire. L'économie se fait passer pour un discours neutre mais ce n'est pas possible. Comprendre la science économique d'aujourd'hui implique

13/09/11 «  La science de l’information est la discipline qui étudie les propriétés et le comportement de l'information, les lois gouvernant le flux d'information, et les moyens de traiter l'information pour qu'elle soit accessible et utilisable. La SID est concernée par la création, la collection, l'organisation, le stockage, la recherche la transmission et la transformation de l'information. » Harold Borko (1968) SI = Science de l’information SID = Science de l’information et de la documentation