Plaute Harpagon

L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite épouser Mariane, une jeune orpheline sans fortune. Il ne supporte pas que l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on lui

En second lieu, son avarice lui amène à faire de mauvais choix pour ses enfants. En effet, Harpagon décide des personnes que Cléante et Élise devront épouser sans même tenir compte de l’avis de ses enfants. Après que Cléante et Élise se soient querellés avec leur père à propos des dix mille écus qu’il dit ne pas posséder, Harpagon dit à Élise : « Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont ce matin on m’est venu parler; et pour toi, je te donne au seigneur Anselme. » (p.45). Ce comique

Molière : L' Avare Extrait : Monologue d’Harpagon, Acte IV, Scène 7 Ce passage est un extrait de la Scène 7 de l'acte IV de la célèbre comédie L'avare écrit par Molière au XVIIe siècle. Il s'agit d'un monologue du personnage principal Harpagon qui dans un discours incohérent se repend en imprécation contre le voleur de sa cassette. Ce passage a une fonction critique et la visée du dramaturge est de dénoncer le comportement obsessionnel d'Harpagon. Comment le dramaturge procède-t-il à la

Décrivez Seigneur Anselme. Peut-on dire qu’il resemble à Harpagon? Justifiez votre réponse. D’après Harpagon, Seigneur Anselme est Tous deux ont environ le même age. De plus, un facteur très important pour Harpagon qui veut que sa fille l’épouse car Seigneur Anselme s’engage à la prendre Seigneur Anselme nous montre qu’il n’est pas un homme qui pense souvent a l’argent et avec le portrait que Molière peint de son personage, il semble qu’il soit un homme bienveillant. Molière souligne cette

cassette lui a était détournée > met en évidence grâce à un rythme saccadé et accéléré les traits de caractére nerveux et spontané du protagoniste. Son excitation se traduit aussi par des indices de déplacements tels que > A la fin du monologue, Harpagon, ayant perdu lui-même le goût de vivre, imagine faire pendre tout le monde : c’est une véritable folie meurtrière. Il est difficile d'imaginer quelque chose de comique car à l'aide d'un champ lexical de la mort > et d'une gradation > nous supposons

Claude-Henri Grignon, est passé dans le langage populaire comme synonyme d'avare. Dire d'un homme qu'il est « un vrai séraphin » équivaut à dire qu'il est d'une grande avarice. En France, lorsqu'on dit de quelqu'un que c'est « un vrai harpagon » (en allusion à Harpagon de Molière), cela signifie aussi que c'est quelqu'un d’extrêmement avare. Aux États-Unis et au Royaume-Uni, c'est le nom scrooge, du personnage Ebenezer Scrooge, qui est employé. Dans la fiction[modifier | modifier le code] Monsieur

commentaire : I/ Le personnage d’Harpagon a) Un personnage nerveux b) L’avarice prononcée du personnage c) Harpagon un personnage pathétique II/ Le comique de la scène a) le comique de la situation b) le comique de langage c) le comique de gestes Ce texte est le monologue d’Harpagon extrait de l’avare, la célèbre pièce de Molière ( 1622-1673). Le personnage d’Harpagon vient de se faire dérober la précieuse

de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire... Contrairement à la presque totalité des auteurs de comédie de son temps, l'invention dramatique de Molière s'appuie peu sur l'imitation de modèles

sujet de regretter la mort de notre mère, et que... Cléante J'entends sa voix. Eloignons−nous un peu, pour nous achever notre confidence ; et nous joindrons après nos forces pour venir attaquer la dureté de son humeur. Scène III Harpagon, La Flèche Harpagon Hors d'ici tout à l'heure, et qu'on ne réplique pas. Allons, que l'on détale de chez moi, maître juré filou, vrai gibier de potence. La Flèche Je n'ai jamais rien vu de si méchant que ce maudit vieillard et je pense, sauf correction

représentent Harpagon comme étant un être avare, mais aussi comme étant un père dur et autoritaire. Sa relation avec ses enfants ne peuvent être que conflictuelle. Dès qu'on le flatte, il tombe avec une naïveté déconcertante et se laisse amadouer par les belles paroles. 2. L’entrée en scène d’Harpagon, à la scène 3 de l’acte I, laisse voir au spectateur-lecteur que Cléante, le fils de l’avare, a bien cerné le côté détestable de son père. Observez bien les termes qu’emploie Harpagon (qui pourront