Plectrude

attestée à l'époque mérovingienne dans les milieux élevés. Dans la famille royale, Clotaire Ier et peut-être Dagobert ont eut plusieurs reines en même temps, le maire du palais Pépin II prend pour épouse Chalpaide, dont il a Charles, sans divorcer de Plectrude, et il a d'autre concubines. Il est souvent difficile de distinguer l'épouse de la concubine libre et nous ne savons pas s'il y avait cohabitation, dans la mesure où les aristocrates ont plusieurs résidences. Le concubinage domestique, avec une servante

(v.620† 693) |   |   | | | | | | | | | |   |   |   |   |   |   | | | | | | | |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Plectrude |   |   |   |   |   | Pépin de Herstal (v.645 † 714) maire de palais |   |   |   |   |   | Alpaïde | |   |   |   |   |   |   | |   |   |   |   |   |   | |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |   |  

Jeune, souverain des royaumes francs de Neustrie et d'Austrasie, meurt en désignant pour unique successeur son fils illégitime de 26 ans, Charles Martel. Son épouse Plectrude ne l'entend pas ainsi et donne à son petit-fils Theudoald la souveraineté sur les deux palais. Charles Martel devra se battre contre les ambitions de Plectrude et les soulèvements de la noblesse neustrienne avant de pouvoir régner en maître sur le royaume franc. 717 15 août Malgré leur première défaite en 678, les Arabes

compétences de lecture pages 70-71 du manuel 10 points u Document 1 1. L’arrivée de Mathieu Saladin provoque un coup de foudre chez Plectrude (l. 4-5 : « Le visage de Plectrude se figea en un mélange d’horreur et d’admiration. » ; l. 7-8 : « Ce qu’elle éprouvait était extraordinaire. Elle avait mal à la cage thoracique et elle adorait ça. ») Plectrude, comme Mathieu Saladin, sont présentés comme deux êtres hors du commun tant dans leur apparence que leur manière d’être (l. 9-10 : « En général

mari), et la concubine à la mode « barbare » (qui ne bénéficiait que du cadeau du matin, le « morgengabe » germanique) ; une telle stratégie permettait la diversification des alliances politiques via les mariages : ainsi Pépin II de Herstal épousa Plectrude, une très riche et très puissante austrasienne, puis Alpaïde mère de Charles Martel (considéré de ce fait comme « bâtard », mot qui n’est pas alors péjoratif) ; elle rendait aussi le divorce inutile. Désormais, à partir du milieu du VIIIe siècle

l’Austrasie il règne sur le royaume mérovingien. A noter qu’il est accepté par le roi en Neustrie mais qu’il n’est pas appelé « princeps ». Les Pippinides reçoivent le titre de « princeps » en 724 => Charles Martel, batârd, lutte contre sa marâtre Plectrude = affirmer son pouvoir sur les 3 regna et réussit à exercer l’auctoritas sur l’Eglise : il a alors le titre de princeps (auctoritas) car il agit en faveur de l’Eglise. B. Pape et Pippinides : naissance des relations entre Rome et le royaume franc

Les derniers Mérovingiens En Austrasie s’impose une véritable dynastie de maires du palais. A la mort de Dagobert II, revenu d’exil, le maire du palais Pépin de Herstal reste seul au pouvoir. ► l’an 715 - A la mort de Pépin de Herstal, sa veuve Plectrude essaie de gouverner au nom de ses petits-fils. La Neustrie se soulève mais les Saxons franchissent le Rhin et menacent l’Austrasie. C’est un bâtard de Pépin, Charles, qui réussit de mettre au pas révoltés et envahisseurs, prend le titre de maire

fausse laide, dans Mercure ; aux humiliations quotidiennes de la préposée à la photocopieuse dans Stupeur et tremblements… On est toujours à ses côtés, elle est toujours près de nous, dans l’amitié de Blanche et Christa, dans celle de l’anorexique Plectrude, dans Biographie de la faim…On dévore tout cela, pantagruéliques lecteurs jamais rassasiés puisque la grande vertu des romans d’Amélie, c’est de réussir, dès le dernier roman qu’elle offre, à faire aimer son prochain… Amélie Nothomb en œuvres

fausse laide, dans Mercure ; aux humiliations quotidiennes de la préposée à la photocopieuse dans Stupeur et tremblements … On est toujours à ses côtés, elle est toujours près de nous, dans l’amitié de Blanche et Christa, dans celle de l’anorexique Plectrude, dans Biographie de la faim…On dévore tout cela, pantagruéliques lecteurs jamais rassasiés puisque la grande vertu des romans d’Amélie, c’est de réussir, dès le dernier roman qu’elle offre, à faire aimer son prochain… Amélie Nothomb en oeuvres 1992