Pléistocène

Pourquoi j’ai mangé mon père est un roman extrêmement drôle et surprenant qui parle avec humour de l’évolution des hommes durant la préhistoire. On se retrouve alors en plein pléistocène (voir V.), dans une famille de pithécanthrope erectus (Homo Erectus, évolution de l’Homo Habilis) très particulière. En effet, le père et chef de famille, Édouard, veut faire évoluer l’espèce. Ses inventions sont le fil conducteur du livre. On découvre ainsi comment successivement, il a découvert le feu

tête d’un homo erectus (pithécanthrope). A dessus de se dessin on trouve dans la même police la titre du roman écrit en bleu et le nom de l’auteur en rose. II- L’histoire : L’histoire raconte la vie d’une famille d’homme préhistorique du Pléistocène qui débuta il y a environ 1.5 million d’année pour se finir 9 600 ans avant J-C. L’histoire dure une dizaine d’année, jusqu'à la mort du père. Le narrateur s’appelle Ernest, dans le roman il est omniscient : il sait tout des pensés des autres personnages

endoréiques récentes et actuelles spQ : Sebkhas paraliques (anciennes lagunes flandriennes) seQ : Sebkhas limniques (bassins endoréiques) mQ : Pléistocène moyen et supérieur marin (essentiellement Tyrrhénien) : plages et dunes côtières consolidées cQ : Pléistocène moyen et supérieur continental : Alluvions anciennes, croates calcaires et gypseuses Qv : Pléistocène intérims, Pliocène p. p :'Villafranchien" : conglomérats, croates et couches rouges. mQ J3-C1 l il El b Cca-mCca-m dQ

sau- vages dont le chat fait partie. C’est après la disparition des dinosaures de la surface de la planète que sont apparus les premiers mammifères. Après de nombreuses évolutions tout au long des nombreuses années, c’est enfin au début du Pléistocène (1,8 millions d’année) qu’apparaît le chat sauvage de Martelli (Felis lunensis), celui-là même qui peut être considéré comme l’un des ancêtres directs de nos chats actuels (source Ency- clopédie Royal Canin du Chat). Notre chat domestique descend

les équidés qui colonisèrent les savanes tropicales, devinrent des zèbres, laissant les déserts arides aux ânes sauvages et les zones tempérées de l'hémisphère Nord, aux chevaux sauvages. Des fossiles datant du pléistocène, nous démontrent la grande répartition de ces équidés. Au pléistocène, Equus sivalenis (Chine) et Equus sellardsi (Amérique du Nord) ressemblaient au quagga, ce zèbre d'Afrique qui s'est éteint au XIXe siècle. À la même époque, celui qui occupait le Sud de l'Afrique est Equus pilicatus

ses découvertes, telle que le feu, dans les autres tribues afin de faire évoluer son espèce. Il veut le boheur de l'humanité grâce au progrès Édouard, père et chef de famille, inventeur qui cherche absolument à faire sortir son espèce du pléistocène. Ces inventions prennent tout son temps, quand il n’est pas en train d’en enseigner le fonctionnement aux jeunes de sa famille…

différentes ères, la biodiversité a subi nombre de crises importantes et de modifications climatiques conséquentes. C'est le cas au cours de l'Holocène (il y 10.000 ans). En effet, c'est une période chaude qui découle de la dernière glaciation du Pléistocène. On observe des changements climatiques importants au cours de cette période. Le réchauffement est global. La température augmente de façon générale. En liaison avec cela, la faune et la flore des régions tempérées recouvrent les moyennes et hautes

sous-espèce n'est distinguée23,24. Biogéographie En 1996, l'ornithologue russe Vladimir Leonovitch et al. proposent une hypothèse biogéographique pour expliquer la différenciation des sittelles dans le nord-est sibérien. Lors des glaciations du Pléistocène, certains refuges glaciaires semblent avoir permis la survie d'au moins une partie de la faune et de la flore sibérienne. Des populations apparentées à Sitta europaea auraient pu survivre dans ces zones refuges, en l'occurrence le bassin de l'Anadyr

avons fait à père »). Sommaire [masquer] 1 Résumé 2 Analyse 3 Analyse selon la psychanalyse freudienne 4 Traduction 5 Adaptation 6 Références 7 Bibliographie Résumé[modifier | modifier le code] Ernest, un jeune homme préhistorique du Pléistocène moyen, raconte les aventures de sa famille et en particulier de son père Édouard, toujours à l'affût d'innovation, d'expérimentations techniques, et pétri d'idées généreuses. Pour échapper aux prédateurs de l'Afrique orientale, Édouard invente successivement

garrot pouvant peser jusqu’à 2 tonnes). Ils possèdent un début de trompe et une formation de défense. On remarque également qu’ils vivent plus dans le milieu terrestre que dans le milieu terrestre. Jusqu’au Pléistocène le Mammuthus a été le Proboscidiens ayant une taille et un poids plus importants que ses ancêtre (3m au garrot pesant jusqu’à 6 tonnes). Il possède une trompe et des défenses bien développés. Toutefois nous pouvons