Pléonasme

») avec des pronoms personnels (« ta, te ») -> intimité qui ne laisse pas d’échappatoire à l’homme, c’est l’homme qui est en train de pourrir sous ses propres yeux, spectateur de sa propre décomposit°. Martèlement de l’horreur : répétit° de son, pléonasme & redondances -> contag° pas contiguïté (près de) -> effet de fustrat° : décevoir le lecteur de ses attentes. - Physique : préfixes privatifs + ch. lex de l’abandon, voc de l’éphémère -> tout va se terminer. Dans l’ensemble du sonnet, le préfixe

1;7) et qui s’éteignent facilement s’est pourquoi il n’en enflamme une que rarement. Pour se guider, il va même à « tât[er]de la main » (l.1) puisqu’il fait « nuit » (l.8) et pour insister sur le fait que nulle lumière n’y parvient, il utilise un pléonasme tel que « profondeur sans fond de ténèbres ». En effet, on peut se trouver au plus profond et au plus obscur de tout. De même, on comprend que cela se situe en profondeur puisqu’à la ligne 26, on apprend qu’il « remont[e] les échelles » à travers

|Attribuer des qualités humaines à un objet |- Cette rose aimable comme toi | | |inanimé |- Un soleil voit naître et mourir la rose | |PLEONASME n.m. |Répétition de termes superflue |- Un géant vraiment grand | | | |- Descendre en bas

recherche de l'infiniment petit, dissection du ciron. II] Persuader Champ lexical de l'infini qui se conjugue avec celui de la peur. Recours à la technique de l'hyperbole qui permet d'insister sur la condition humaine. Redondance (répétition), pléonasme « prodige étonnant » qui engendre une dramatisation « infiniment petit » = « néant ». Pour rendre effrayante la situation de l'homme par la sensibilité du lecteur. Images poétiques propres à la langue pascalienne qui contrastent avec le ton et

nombre de termes.  Exemple : Dans ma trousse, stylos, gommes, effaceurs, crayons et pinceaux s’amassent. 5°) L’exagération  L’hyperbole : Exagération dans le choix des termes.  Exemple : Cet été un soleil de feu m’empêchait de réviser. Le pléonasme : Exagération dans le choix des termes.  Exemple : Cet été un soleil de feu m’empêchait de réviser.

richesse Cultiver un fonds, un fonds de commerce (On peut aussi dire ou écrire tréfonds) Et Fonts : bassin qui contient l’eau du baptême les fonts baptismaux IV- Le pléonasme du jour Ne dites pas : « il a construit une maison neuve » mais simplement : « il a construit une maison » Ne dites pas : « c’est sûr et certain » choisissez entre : « c’est sûr » et « c’est certain » Certain de vous retrouver

mécontent (=je suis content) oxymore : unit deux caractéristiques opposées : neige brûlante paradoxe : idée qui surprend par illogisme : un malheur peut être profitable périphrase : remplace un terme par une définition : la capitale de la France pléonasme : répéter une même chose ds une même expression : monter en haut prétérition : faire semblant de ne pas dire et dire qd même : je ne vais pas te dire que tu as tort redondance : se répéter: je l’affirme et le dis accumulation : énumérer des termes

bien que la nature apparaît encore plus étendue. Elle est non seulement vaste mais elle est aussi décrite par Hernani avec une intensité au niveau des reliefs, faite de « monts », de « forêts »… Cette caractéristique est accentuée par l'usage du pléonasme « hautes montagnes ». Dans cet extrait, la nature est aussi représentée comme étant hostile et sauvage, on le remarque par l'emploi de l'adjectif « seule » au vers 13, il révèle l'isolement de cette nature, cette idée renforcée par la litote « où

service » -juxtapostion l. 6 « tous tout » -répétition de « mange » = appêtit insasiable = l. 8 « S'ils veulent manger, mangent ses restes »  Accentue l'idée de démesure, d'excès Gnathon n'est jamais rassasié. c) Insistance sur le dégoût -Pléonasme = l. 9 « de ces malpropretés dégoûtantes » -Paronomase = « de ces malpropretés dégoutantes, capable d'ôter l'appêtit aux plus affamés, le jus et les sauces lui dégouttent du menton »  Accentue l'image que Gnathon est un personnage dégoûtant

peut rappeler l'idée du précédent, lorsqu'il est dit que dans cette société se trouvent des «esclaves emprisonnés dans les lois» (l. 63-64) et des «captifs garrottés dans les convenances» (l. 64) et à l'intérieur même du parallélisme se trouve deux pléonasmes (esclaves emprisonnés et captifs garrottés) qui rejoignent une même idée : celle de l'hyperbole et de l'exagération ; en résumé, c'est une société profondément hypocrite, figée dans ses codes et dans ses «petits devoirs à accomplir» (l. 65), incapable