Pléonasme

troisième strophe, le poète décrit la renaissance de la nature : « Le printemps refleurit. Le rossignol volage/Dans son palais rustique a de nouveau chanté, /Mais les bancs sont déserts car l’homme est en voyage. » (Vers 9-11). Dans ce vers, le pléonasme « Le printemps refleurit. » Symbolise un nouveau commencement. En utilisant le temps de l’indicatif présent, l’accent mis sur le renouvèlement de l’action est encore plus approfondi. Ainsi, ce vers marque l’arrivée d’une saison et d’une nouvelle

L’Idéal, c’est la Famille, c’est la Patrie, c’est l’Art (Queneau, Le chiendent). PLÉONASME
 Surabondance de termes, donnant plus de force à l’expression. Ex. : Je l’ai vu de mes yeux et je l’ai entendu de mes oreilles. 25 Emploi de mots inutiles, défaut qui tend à la battologie : La plus triste vieillesse m’accable de son poids pesant (Duval). On peut distinguer plusieurs formes proches : Périssologie : pléonasme vicieux. Redondance : redoublement de l’idée dans deux phrases ou membres de phrase

Remplacer un terme par une expression qui le défini - La capitale de la France - Le roi des animaux PERSONIFICATION n.f. Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé - Cette rose aimable comme toi - Un soleil voit naître et mourir la rose PLEONASME n.m. Répétition de termes superflue - Un géant vraiment grand - Descendre en bas SYNECDOQUE n.f. Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier

redressait »…) montrent toute sa vivacité. 2°) Un être insolent et narquois • Dans les couplets de sa chanson, il se révolte : il critique ironiquement la société en rejetant la misère du peuple sur deux philosophes (Voltaire et Rousseau). • Pléonasme « il se dressa, tout droit, debout » insistant bien sur le fait qu’il défie les balles et nargue les gardes sans se cacher. • Ce défi est aussi signalé par l’opposition entre « tiraient » (les gardes) et « il chanta » (gavroche). Il a une attitude

.  L’adverbe « ne » est obligatoire dans la construction d’une phrase où la restriction est indiquée par « que ». Comme « ne… que » est synonyme de « seulement », on ne retrouvera pas ces deux formulations en même temps dans une phrase (pléonasme).   Exemple  :  Il  n ’y a  que  toi pour me faire changer d’idée. Tu  n ’en fais toujours 

réponse orientés « Bob tu ne dis rien ? » a la quelle elle attend que BOB lui réponde en lui donnant raison, quelque ligne plus tard elle insitera sur le faite que BOB doit intervenir « Bob je vais me sentir mal dis quelque chose » ici c’est un pléonasme. Elle ira même jusqu’à utiliser la religion, un argument d’autorité, pour le persuader de répondre et prendre position « Dieu est la haut qui nous regarde IL attend que tu prennes position ». Elle finira par lui dire « Toi qui détestes être mis devant

intolérant, fanatique. Malgré son titre exotique, il est le symbole des ennemis de la liberté, il est borné et oppressif. c) Les références à notre monde. La Terre est présentée de manière très péjorative. Lignes 4-5 : « petite fourmilière »  pléonasme. Ligne 65 : « petit tas de boue » Ligne 83 : « petitesse du globe » Il y a une remise en cause de la croyance religieuse, on est que des petites choses insignifiances sur une poussière. Sous l’apparence d’un conte merveilleux, on a une critique

l-15 . On comprend que le mot « équivoque » l-16 est à prendre au sens d’un événement susceptible de le compromettre , et pour lequel il n’hésiterait pas à tuer . L’adjectif « impertuable » qui complète le mot « sang-froid » est comparable à un pléonasme . On pourra donc remarquer que si Vautrin regarde « comme un juge sévère » les habitants de la maison Vauquer , cela revient a inversement des rôles des êtres humains dans la société . Les deux dernières phrases du texte le percent à jour , en

: 1 – Le risque est subi : danger éventuel, plus ou moins prévisible, inhérent à une situation ou à une activité. 2 – Le risque est affronté : possibilité hasardeuse d’encourir un mal, avec l’espoir d’obtenir un bien. « Risquer sa vie, c’est un pléonasme. Le risque c’est la vie même. On ne peut risquer que sa vie. Et si on ne la risque pas, on ne vit pas. » (2001, Cosmétique de l’ennemi, Amélie Nothomb, p.118) 3. Concepts scientifiques (« Les jeunes et le risque », 1992, Assailly) - 10 mn •

cette mort sadique qui peut assouvir partiellement la haine du poète. Afin de mettre en place cette mort lente, l’auteur retarde la venue de cette dernière en utilisant l’euphémisme « Lorsque tu dormiras ». Il fait durer cette punition à travers le pléonasme « Fosse profonde ». Il veut aussi que cette mort soit solennel et la place dans un cadre en conséquence «  Monument » « Marbre noir » « Manoir » « Tombeau » alors qu’il aurait très bien pu dire Tombe. Dans le second quatrain il énumère les parties