Plymouth

il finit par accepter de laisser partir son fils et de payer son voyage. Car en fait, il ne toucha pas un centime... — Oh! — Le navire appartenait à la marine anglaise et s'appelait H. M. S. Beagle. Le 27 décembre 1831, le Beagle quitta le port de Plymouth et mit le cap sur l'Amérique du Sud. Il ne retourna en Angleterre qu'en octobre 1836. Les deux années prévues devinrent cinq au bout du compte. Et ce voyage en Amérique du Sud se transforma en véritable tour du monde. Il s'agit du plus important

par où était passé le 12° régiment de cuirassiers auquel apparte nait Céline. 8 (p. 51). Le Mayflower : bateau qui transporta les Anglais qui s’établirent pour la première fois en Amérique du Nord en 1620. Ils ne débarquèrent pas à Boston, mais à Plymouth... 9 (p. 55). Le Petit Journal : journal raciste et réaction- naire de grande diffusion avant la guerre. 10 (p. 59). Duval : il existait de nombreux « Bouillons Duval » où l’on mangeait correctement pour un prix peu élevé. 11 (p. 70). «... commence

avaient été massacrés. A cette nou- 72 PRÉCIS HISTORIQUE D’ALGER. velle, lord Exmouth fit voile de Portsmouth le 24 juillet 1816, ayant sous ses ordres la Reine-Charlotte, vaisseau de 110 canons, et une partie de son escadre. Obligé de relâcher à Plymouth, par suite d’une tempête, il y fut joint par le contre-amiral Milne, qui commandait deux vaisseaux de ligne et quelques corvettes. A Gibraltar, il joignit encore à son escadre cinq chaloupes canonnières et un brûlot, et accepta la proposition du

KA26-2 dont le propriétaire est Centrica Langage Ltd. Elle a été construite clé en main par Alstom. Ce projet présentait un défi intéressant du fait de sa localisation dans le sud-ouest de l’Angleterre, dans une région rurale proche de la ville de Plymouth et d’un parc national. Alstom devait s’assurer que la nouvelle centrale aurait une architecture dont l’impact visuel serait le plus neutre possible. Une des principales caractéristiques de cette centrale est la faible hauteur du HRSG (Heat Recovery

à l’Américain, cependant que l’intransigeance de l’Américain inquiète et choque l’Anglais. L’Américain demeure convaincu que les innombrables problèmes du monde moderne peuvent être résolus à l’aide des quelques vérités élémentaires débarquées à Plymouth Rock par les premiers pèlerins. C’est cette conviction qui a fait de Woodrow Wilson un prophète malheureux et qui a conduit Franklin Roosevelt, l’un des meilleurs Américains de ce temps, à voir en Staline un démocrate qui s’ignorait. Erreurs, sans