Pneumopathie

. Quand vous l’interroger elle se plaint essentiellement de nausées. Vous lui aviez administré en IV 10 minutes plus tôt le tramadol (dérivé morphinique) qu’elle reçoit depuis le post op et de l’augmentin prescrit ce jour pour une suspicion de pneumopathie d’inhalation.    A quoi pensez vous devant ces nausées ? Qu’entreprenez vous ? Que recherchez vous cliniquement ? Cours IFSI 1. En salle de chir gynéco 63 Vous êtes jeune IDE affectée dans le service de chirurgie gynécologique. Une de

spécifique : - aérosols - aspirateur - spiromètre (instrument mesure volume d’air inspirés et expirés) 2. PRISE EN CHARGE D’UN GROUPE DE PATIENT patient n°1 Chambre 23 côté porte, M.M, 68 ans Admis le 16/10/21 dans le service de pneumologie pour une pneumopathie infectieuse avec dyspnée via les urgence. Aujourd’hui nous sommes à 12 jours de son hospitalisation, il est encore sous antibiotique pour son infection pulmonaire, et masse suspect au scanner, n’a plus aucun appareillages. Monsieur M vit dans un

paramètres vitaux Ou? Le contrôle des paramètres vitaux se font le plus souvent dans la chambre du patient mais peut aussi se faire dans le poste de soins. Quand ? Pour certain il se fait souvent par exemple pour un patient ayant une broncho-pneumopathie chronique obstructive, la saturation en oxygène va être contrôlé plusieurs fois dans la journée. Ou chez une personne ayant un traitement prescrit pour son hypertension, la surveillance de la tension sera important dans le diagnostic d'une hypotension

et UHLIN Hôpital Saint-Antoine Janvier 2010 PLAN • • • • • Généralités sur les infections nosocomiales Les indicateurs de suivi des infections nosocomiales Les mesures de prévention – La prévention des infections urinaires nosocomiales, CVC, Pneumopathie et des infections de site opératoire – La surveillance et le signalement des infections nosocomiales – Les précautions « standard » – L’hygiène des mains – Les risques professionnels liés aux accidents exposant au sang et aux liquides biologiques

présenter la situation suivante pour mon analyse de situation : une aspiration bronchique chez un patient en fin de vie dans un service de médecine générale contre sa volonté. Elle se déroule lors d’un de mes postes de nuit, Mr V 89 ans, entré pour pneumopathie dans le service depuis une semaine. C’est un patient ayant un néo du colon en phase terminale, Mr V est en soins palliatifs. Cette nuit, le patient tousse beaucoup, il peine à respirer, il « roumille ». Petit à petit son état devient de plus en

---------------10 • Bactériémies nosocomiales -------------------------------------------------------------------------- 11 • Infection sur cathéter ----------------------------------------------------------------------------------- 12 • Pneumopathie infectieuse----------------------------------------------------------------------------- 13 • Infection cutanée----------------------------------------------------------------------------------------- 14 • Infection du Site Opératoire-----

-Appendicectomie en 1946 -HTA traité par amlor -Hernie hiatale -Dyslipidémie -asthme allergique traité par ventoline -Fibrillation auriculaire en septembre 2011 -Syndrome confusionnel, octobre 2011 -Insomnie, octobre 2011 traité par stilnox -Pneumopathie du lobe moyen droit en novembre 2011 L’histoire de la maladie : Madame A. Marie-Thérèse a chuté de sa hauteur le 3 février 2012en allant aux toilettes de son appartement, ce qu’il lui a provoqué un trauma de la hanche droite avec rotation

caractéristiques de chaque pathologie. L’activité physique est primordiale en prévention primaire des maladies cardiovasculaires mais également en prévention secondaire. Elle intervient également dans le traitement de la dyspnée au cours de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). Elle joue un rôle fondamental pour éviter le gain de poids et elle réduit le risque de certains cancers (colorectal, sein, endomètre, poumon, prostate). Attention : les bénéfices ne doivent pas faire oublier les

européen de pharmacovigilance a évalué, pour les quatre spécialités alors commercialisées, les risques d'effets indésirables liés à la diffusion de la toxine. Des cas de faiblesse musculaire excessive, de dysphagie ainsi que de très rares cas de pneumopathie d'inhalation d'évolution fatale ont été rapportés. Cependant, les effets graves sont rares, le taux de notification des cas graves au niveau mondial avec chacune de ces spécialités - quelque soit l'indication - étant inférieur à 5/10 000 injections

certains cas un moniteur à domicile). Pathologie respiratoire chronique : Population à risque : polyhandicapé, (jeune enfant). Fausses routes (évoquer des anomalies anatomiques ou fonctionnelles perturbant la déglutition, une fistule). Pneumopathies d’aspiration (très rares chez l’enfant neurologiquement normal). Asthme d’évolution inhabituelle ou sans autre étiologie trouvée. Les rhino-pharyngites et otites, même répétées, ne sont pas des complications habituelles du reflux