Poeme Terreur Maupassant

Registre : Comique : Suscite le rire et l'amusement. Il peut s'agir de jeux de mots, de quiproquos, de comique de situation ou de personnages. Tragique : Évoque la pitié et la terreur, souvent à travers le récit de destinées fatales et de grandes souffrances. Lyrique : Expression des sentiments personnels et intimes, souvent avec une grande musicalité et une forte présence de la nature. Épique : Raconte les exploits héroïques d'un personnage exceptionnel, souvent

communauté politique ou religieuse à laquelle il appartient. | Amplification, hyperbole, recours au surnaturel, scènes guerrières, niveau de langue élevé... | La Chanson de Roland, l'Iliade et l'Odyssée | tragique | tragédie | terreur et pitié | Un héros, ni tout à fait bon, ni tout à fait mauvais, commet, poussé par la fatalité, un crime pour lequel il doit être puni et qui le fait passer du bonheur au malheur. | Champ lexical du destin, métaphore de l'aveuglement, évocation

Pierre et JeanMAUPASSANT Pierre et Jean Présentation, notes, dossier et cahier photos par Noëlle BENHAMOU, docteur ès lettres, professeur de lettres FlammarionDe Maupassant dans la collection «Étonnants Classiques» Apparition, in Nouvelles fantastiques (vol. 1) Bel-Ami Boule de suif Hautot père et fils, in Trois nouvelles naturalistes Le Horla et autres contes fantastiques Le Papa de Simon et autres nouvelles La Parure et autres scènes de la vie parisienne Pierre et Jean Toine et autres contes normands

Supports : Supports retenus : 1) « Caïn et Abel » (Genèse IV et Coran, sourate V). 2) Un corpus de trois poèmes : un poème Agrippa d’Aubigné, de V. Hugo et de Baudelaire. (Poésie lyrique et poésie engagée). 3) Lecture d’images : on mettra en parallèle le récit biblique et les représentations picturales qui s’en sont inspiré. Un choix de peintures allant de la plaque

grotesque c'est un personnage seul, pathétique, en effet quand il parle du gémissement que fait le vieillard qu'il appelle « le bruit d'une âme chargée d'effroi », il mentionne qu'il « avait jailli de mon propre sein, creusant avec son terrible écho les terreurs qui me travaillaient ». Le narrateur semble être hanté par l'idée de la mort, il pose la question « qu'avais-je à craindre? » à l'arrivée des policiers, sa pire crainte n'est peut-être pas d'être découvert mais celle de la mort. Nous pouvons voir

divers ; Le terme « conte » a désigné au Moyen-âge toutes sortes de récits ou d’anecdotes. A l’époque classique, il désigne un récit plaisant (avec une connotation plutôt péjorative) ou un récit merveilleux (les contes de Perrault) ; chez Flaubert et Maupassant, il fonctionnera comme alternative au terme nouvelle, et finira par désigner n’importe quel récit plutôt bref. Ces mots ne sont donc pas des termes théoriques inventés par les critiques ou les théoriciens pour mettre de l’ordre dans la littérature

On retiendra quatre noms : Agrippa d’Aubigné (1552-1630), Théophile de Viau (1590-1626), Mathurin Régnier, poète satirique (1573-1613) et Malherbe (1555-1628). Examinons de plus près quelques vers extraits des Tragiques d’Agrippa d’Aubigné, un poème épique qui relate la persécution des protestants : 3 Ô France désolée, Ô France sanguinaire ! Non pas terre, mais cendre : ô mère, si c’est mère Que trahir ses enfants aux douceurs de son sein, Et quand on les meurtrit, les serrer de sa main.

et Verlaine est un film ont basé leur rapport orageux et controversé. Raymond Roussel (1877-1933) Dandy et amateur de jeux de mots (et d’échecs) dont Breton dit qu’il fut, "avec Lautréamont, le plus grand hypnotiseur des temps modernes". Son poème La vue (1904) préfigure le Nouveau Roman; deux romans, Impressions d'Afrique (1910) et Locus Solus (1914), qu'il mit en scène à un coût extravagant, les pièces "L'étoile au front" (1924) et "La poussière de soleils " (1926), ainsi que le fragment posthume

|libre et épanoui. Il s’élève |retrouver l’inspiration qui a |l’incertitude du devenir de |cisme cherche à créer des |le savoir et de favoriser | | |contre les terreurs du Moyen |fait la grandeur de la culture |l’homme, les écrivains |modèles, en fondant chaque |l’exercice de la raison, contre | | |Âge, au nom d’un retour à

EPOQUE PRINCIPES OBJECTIFS FORMES PRIVILEGIEES THEMES ESSENTIELS PROCEDES D’ECRITURE MANIFESTES THEORIES ECRIVAINS OEUVRES L’HUMANISME XVI ème siècle 1 500-1 600 Nouvelle image de l’homme, libre et épanoui. Il s’élève contre les terreurs du Moyen-Age, au nom d’un retour à l’Antiquité, mais aussi de l’intelligence et du savoir. Placer l’homme au centre de tout. Encourager les sciences et le savoir, ainsi que la lecture des textes antiques. Répandre toutes les formes d’art. Roman, essai