Poesie Representation Du Reel

 La poésie au Moyen Age : introduction générale Dans l’histoire de la poésie, le Moyen Age se divise en deux époques : la ménestrandie et la rhétorique, qui correspondent, dans l’histoire de la langue, à l'ancien français   caractérisé par la déclinaison à deux cas (cas sujet, cas régime. Voir introduction) , et au moyen français,  qui est dépourvu de flexions et tend par la construction à se rapprocher du français moderne. Au temps de la ménestrandie, poésie et musique sont mêlées, c’est-à-dire

tente tout simplement de nous libérer de ce qui nous terrifie. En fait, ce qui nous terrifie dans la mort n’est pas la mort elle-même mais les représentations de la mort. Le travail du philosophe est la possibilité de montrer pourquoi ce qui est rien est ce qui nous terrorise. Pourquoi c’est avec du rien qu’on est le plus terroriser et par les représentations de la mort. Cela veut dire que philosopher remet la mort à sa juste place, c’est-à-dire la mort ne peut terroriser à la mesure où elle n’est

découverte du théâtre balinais qui privilégie le corps, la représentation, au texte lui-même. Selon lui, nous privilégions les mots aux autres moyens d’expression sur scène. Notre théâtre est-il donc si obnubilé par la parole ? Nous répondrons à cette question en montrant tout d’abord que la parole est en effet indissociable au du genre théâtral, puis nous verrons l’importance de « l’autre visage » du théâtre, celui de la représentation , du jeu, de l’interprétation, qui forme avec la parole un

/ questions rhétoriques L26 qui incluse le lecteur Cela accentue l’effet de réel = fonction mimétique II . Polémique . 1) Constatation : La mort des landes mise en valeurs par les oppositions. Métaphore picturale : L16-17 renvoie a la peinture / Presque une redondance dans les termes « mélancolie soucieuse & sévère » Renvoi aux motifs des peintres romantiques : lex renvoie au mal du siècle : représentation de cette jeunesse romantique , cette métaphore picturale renforcé par deux chp

dépossession, rendent chacun à soi-même.
Nous verrons dans une première partie l’éloge de la servante, puis dans une seconde partie l’omniprésence de la mort. Problématiques :     I Un éloge de la servante
 A/ La tonalité autobiographique
un personnage réel : Mariette. Partir de la dimension autobiographie de ce poème, et du personnage de Mariette, servante de Charles Baudelaire quand celui-ci était enfant. Ce personnage a réellement existé, et a supplée à l’absence de sa mère. On retrouvera quelque

verrons l’histoire de l’œuvre de l’art puis dans une seconde partie nous vous parlerons d’exemple d’objets d’arts. I] Histoire de l’objet d’art : L’objet traverse la tradition picturale occidentale dès l’antiquité. Mais c’est au XVIe siècle que la représentation de l’objet inanimé devient autonome et constitue un genre à part entière, celui de la nature morte, qui se canonisera alors en tant que peinture d’objets qui posent, comme suspendus dans le temps et agencés par la main de l’artiste. De nos jours

afin de revoir Annie mais en vain. En 1904, il fréquente Picasso et Max Jacob. Cette rencontre permettra l'élaboration d'une nouvelle théorie artistique : le cubisme. Le cubisme privilégie l’inspiration abstraite et géométrique plutôt que la représentation du réel. Grâce à son ami Picasso, il rencontre Marie Laurencin, une de ses muses, avec qui il a une relation passionnée jusqu’en 1912. Apollinaire fréquente d’autres artistes tel que le Douanier Rousseau au bateau-lavoir et devient journaliste, poète

l’imitation et nous la raconte jusqu’à la mort de l’homme. 2) On peut l’expliquer que cela est dû à la tendance d’imitation qui habite en chacun des hommes et le fait de la naissance de la poésie. Car ce qu’on voit dans la réalité avec peine nous nous plaisons à les regarder l’exacte représentation telles que les formes d’animaux par exemple avec la plus grande admiration dont on peut expliquer cela par l’imitation qui est présente chez tous les hommes ce qui fait que tout le monde préfère

ème. Ce lyrisme traduit également un large mouvement de communion avec la nature et avec l'humanité toute entière. Enfin, le romantisme poursuit la libération de l'art, le drame rejette les règles de la tragédie classique, tout devient sujet pour la poésie, qui peut s'exprimer en prose comme en vers, rejetant la superstition du langage noble et prenant ainsi une vigueur nouvelle. Des liens étroits unissent les écrivains et les poètes aux artistes inspirés du même idéal. En 1819 Gericault présente

une pièce de la démesure du point de vue de la mise en scène. En cinq actes, la pièce revient sur l'histoire réelle d'Oliver Cromwell, un lord-protecteur d'Angleterre du XVIIe siècle. Mais la pièce prend des proportions gigantesques, avec plus d'une soixantaine de personnages (sans y compter les foules), 74 scènes et 6000 vers environ. Elle constitue donc un véritable défi à la représentation. RESUME DU DRAME ET DE LA PREFACE LE DRAME Il est constitué de cinq actes et composé en vers. C'est une