Poher

premier tour au candidat gaulliste. On va retrouver ces 15% à toutes les élections présidentielles. CDG n’avait pas réussi à rassembler la droite. En 1969, la droite est encore gaulliste avec un candidat gaulliste Pompidou et un candidat centriste Poher (président du Sénat) qui va obtenir 24% des voix. En 1974, suite au décès de Pompidou (le 02/04/1974), l’élection est pour les deux pôles, l’année décisive. La droite est encore divisée : un candidat centriste Giscard d’Estaing et Chabam – Delmas

du Luxembourg pour l’Elysée. Si jamais les deux sont empêchés, le gouvernement assure cet intérim. Il y a des limites : * Pas de référendum. Pas d’article 11. * Pas de révisions. * On bloque l’article 12, la dissolution. Alain Poher assure l’intérim face à la démission du général de Gaulle, il se présente ensuite à la présidentielle. Puis il assure l’intérim suite à la mort de Georges Pompidou. C) La responsabilité du chef de l’Etat. 1) Le principe d’irresponsabilité

 du Sénat est aussi celui qui assure l'intérim à  l'Elysée, en  cas de  vacance  ou  d'empêchement  du  président  de  la  République.  Ce  fut  le  cas  en  1969  (après  la  démission  de  De Gaulle) et en 1974  (suite à la mort de Georges Pompidou), Alain Poher étant dans les deux cas amené à exercer temporairement la fonction de chef d'Etat.  → ​ Contrôler l'action du gouvernement  Le  Sénat  vérifie  que  les  lois  sont  bien  appliquées,  et  évalue  les   politiques  publiques   par  exemple  via  des 

sérieux de Pompidou est Poher (centriste.) Pompidou est soutenu discrètement au second tour par une partie de la gauche non communiste, les communistes appellent à l’abstention. Poher est délaissé par une partie du centre droit qui va rejoindre Pompidou. Poher se présente sans majorité parlementaire acquise, il n’obtient que 42% des suffrages exprimés (27% des inscrits…) Ce score ne masque pas l’effondrement de la gauche non communiste (Rocard : 3,5% des voix, seul Duclos talonne Poher en obtenant 21% des

empêchera, après le départ de de Gaulle, un retour à une domination de l’Assemblée sur l’exécutif, comme sous la IVe République. Sans cette réforme, le choix du président par 80 000 élus aurait assez vraisemblablement conduit en 1969 à l’élection d’Alain Poher comme président ; il proposait en fait un style de présidence pas très éloigné de celui de la IVe République. [12] Les élections législatives de mars 1967, Cahiers de la fondation nationale des sciences politiques n° 170, 1970. [13] Au premier

Wiltzer, Bernard Bosson, Jean-Pierre Foucher, Francis Geng, Pierre Méhaignerie, Georges Chavanes, Michel Jacquemin, Edouard Landrain, Jean-Paul Virapoullé, Mme Monique Papon,M Jacques Barrot, députés, et le 15 avril 1991, d'une part,  par M Alain Poher, président du Sénat, et, d'autre part, par MM François Giacobbi, Charles Ornano, Charles Pasqua, Marcel Lucotte, Daniel Hoeffel, Ernest Cartigny, Etienne Dailly, Michel Alloncle, Michel Amelin, Hubert d'Andigné, Honoré Bailet, Henri Belcour, Jacques

chef s'exprimait en anglais, je lui répondis avec le peu de connaissance que j'avais de cette langue, que je ne comprenais pas... tout en lui demandant s'il ne parlait pas Espagnol. Il me répondit dans cette langue en me disant qu'il était le chef Poher de la division de l'immigration et me demanda nos papiers. Dès qu'il les eut examinés, il fit signe à ses collègues. Je compris qu'il leur avait dit "c'est eux". Il nous fit savoir, qu'il nous fallait le suivre jusqu'au poste du Shérif de Texarkana

pour raffermir son autorité, il va vouloir discuter d’un référendum pour voir comment supprimer le Sénat. Il veut la mise à mort du Sénat. Pour lui le Sénat c’est simplement la représentation des communes. Il discute avec le président du Sénat, Alain Poher, qui lui dit qu’il en est hors de question. De Gaulle va lancer alors un autre projet, où il va décider de partir sur la régionalisation. Il va mettre en place un référendum pour la régionalisation. « Si vous ne votez pas oui, je m’en vais ». Les français

l'action parlementaire lorsqu'il s'agissait d'empiéter sur un domaine éxecutif. Le général De Gaulle et ensuite Pompidou avaient une conception assez monopolisatrice de la majorité à droit qui excluait les divergences. Il y avait un monsieur, Alain Poher, qui n'était pas du tout Gaulliste. Lors de la démission du général De Gaulle, il s'est présenter aux élections (alors qu'il était président du Sénat) mais c'est Pompidou qui à pris sa place. En 1971, la contestation sociale est importante. Un grand

ministre : «Monsieur le député du Cantal, je bois à votre destin». La crise mondiale Favori face à une gauche éclatée, Georges Pompidou se fait effectivement élire sans trop de mal à la présidence de la République le 15 juin 1969, face à Alain Poher, président du Sénat et président par intérim. Il nomme sans tarder au poste de Premier ministre Jacques Chaban-Delmas, gaulliste brillant. Il devient alors le chantre du développement industriel de la France avec de premiers investissements dans le