Poignard

crampe : le poignarder là devant elle et me tuer après ?" (L.20), la première partie de la phrase est une comparaison qui marque le changement soudain qui frappe le comte et l'utilisation du mot "atroce' montre qu'il a commencer à devenir fou. La seconde partie de la phrase est une question interne qui reflète le passage de la folie à la folie meurtrière. "Il fit un tour dans la chambre, se soutenant à peine sur ses jambes, mais la main serrée convulsivement autour du manche de son poignard." (L.21

castillant, le vieux Duc fait barricader son château afin d'assurer la protection de son hôte. Scène IV Seul avec Doña Sol, Hernani déplore d'être trahi par sa bien aimée. Celle-ci se justifie et  lui révèle ses intentions : elle lui montre un poignard qu'elle avait dissimulé. Les deux jeunes gens s'enlacent. Le vieux Duc les surprend. Scène V Don Ruy Gomez fulmine. Il admoneste vivement les amants de cette infamie. Mais voilà que le Roi Carlos se présente aux portes du château. Le vieillard

rendirent aussitôt sur le lieu du crime ésperant que le mort est un lien avec la documentaliste tuée il y quelques jours. Arrivé sur le lieu du crime à la grande surprise, l'homme pendu étais M. Fernandez : pendu de la même façon que Mme.Connor et poignardé au niveau du coeur selon le médecin légiste. De même que pour la mort de la documentaliste, ce crime qui paraissait être un suicide , devait rester confidentiel. C'est alors que M.MAY qui depuis le début était persuader de la culpabilité de M.Fernandez

d'hypnose qui évolue selon les exigences du verbe et la toute-puissances de son désir. L'élève se voit donc contrainte de répéter incessamment le même mot: « couteau », tandis que le professeur tourne autour d'elle. Pour achevé la leçon le professeur poignarde la jeune demoiselle par surprise avec le couteau puis la bonne rentre sur scène. On peut remarquer que l'élève perd petit à petit de sa vivacité au cour de la leçon , en effet elle arrive ardente, gaie, dynamique et elle devient vidée de sa vitalité

d’Hernani est mise à prix, mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château De Silva et décide de le protéger. Hernani et Doña Sol restent seuls et dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a dérobé au roi. Hernani et Doña Sol échangent des mots d’amour et s’enlacent. C’est alors que surgit Don Ruy Gomez qui a des mots très durs sur l’attitude d’Hernani mais, au nom de l’honneur, il se refuse toujours à trahir son hôte. C’est

C'est le récit d'un contemporain qui a vécu une histoire tragique. le poème décrit une jeune fille allongé entachée de sang un soldat allemand qui vient de rengainer son poignard il vient de poignarder la fille après sans doute un viol .c'est une ambiance de délabrement, de désolation à cause de la guerre. Lorsque la France capitule, en 1940, Jacques Prévert écrit L’ordre nouveau – « poème de résistance » selon Georges Bataille – dans lequel il met en scène un nazi qui, après avoir assassiné

remettant à plus tard la discussion. Banquo et Fleance se retirent. Macbeth charge son serviteur de demander à sa femme qu’elle le prévienne par une cloche lorsque sa boisson sera prête. Resté seul, il voit un poignard (dagger, v.33, v.38). Il se demande si c’est une hallucination. Le poignard est sanglant (And on thy blade and dudgeon gouts of blood, v.46). Invoquant la nuit, des puissances et des personnages du mal comme Hécate, il se résout à aller commettre l’assassinat du roi Duncan lorsqu’il

l’injure de l’oppresseur , l’humiliation de la pauvreté , les angoisses de l’amour méprisé , les lenteurs de la loi , l’insolence du pouvoir et les rebuffades que le mérite résigné reçoit d’hommes indignes , s’il pouvait en être quitte d’un seul coup de poignard » . Il fait une accumulation de termes péjoratif à l’égard des choses que l’on peut rencontrer dans la vie, il donne donc une mauvaise image de la vie en montrant ces aspects les plus négatifs, notamment avec la périphrase « nos misères » qui représente

mais la nourrice promet de lui ramener Roméo cette nuit même. Scène III Caché dans la cellule de Frère Laurent, Roméo se lamente sur sa funeste destinée. Il ne saurait survivre à l'exil. Se séparer de Juliette est pis que la mort. Roméo brandit un poignard contre son coeur quand son geste est interrompu par la nourrice. Elle l'exhorte à rejoindre Juliette. Scène IV Les Capulet veillent le corps de Tybalt. Seule Juliette n'est pas venue. En l'absence de sa fille, Capulet accepte d'offrir sa main à

Roméo, qui viennent tous deux voir celle qu'ils aiment. Cependant, un duel éclate, Pâris provoque Roméo, mais celui-ci est tué, poignardé. Roméo, pensant alors que Juliette est véritablement morte, avale un poison, mais lorsque Juliette se réveille, il est trop tard, Roméo est déjà mort. Frère Laurent, voyant la scène, lui dit de fuir, mais celle-ci préfère se poignarder avec l'épée de Romé o. (V-3)  Benvolio : cousin et ami de Roméo, le bien nommé ( Benvolio = qui veut le bien), il joue