Poignard

Antony, lui donnant un baiser - Eh bien, meurs ! (Il la poignarde) Adèle, tombant dans un fauteuil - Ah !... (Au même moment, la porte du fond est enfoncée ; le colonel d'Hervey se précipite sur le théâtre) Scène IV Les mêmes, d'Hervey, Antony, plusieurs domestiques. Le colonel - Infâme !.. Que vois-je ?... Adèle !... morte !... Antony - Oui ! morte ! Elle me résistait, je l'ai assassinée !... (Il jette son poignard aux pieds du colonel)

mort, constant, du début à la fin du texte : l.20, 21 (deux fois), 22, 28 " trépas ", 31 " poignard ", 32 " se frapper et tomber ", 40 " je meurs content ", 43 " en mourant ", la périphrase 45 " épaisse nuit " ou 61 " l’éternelle nuit " 4. Le champ lexical de l’horreur, qui dépeint une vison apocalyptique : trois fois le mot " sang " dont une fois dans l’hyperbole " ruisseaux de sang " (28,42,48), " poignard ", la litote qui atténue l’insoutenable : 29 " cet objet " (le corps de Pyrrhus transpercé

« surgissant du fond », pour le protéger, lui venir en aide : « Garde-toi, Caïus ! Garde-toi ! » : l'impératif, la mise en garde répétée, la ponctuation exclamative montrent qu'Hélicon est fidèle jusqu'au bout, jusqu'à laissé sa vie, car il est poignardé « par une main invisible ». La lâcheté du geste qui le tue, montre son courage. Les réactions de Caligula sont surprenantes, il ne manifeste aucune surprise, aucun geste de défense. On assiste à une véritable mise en scène de soi, puisqu'« il s'observe

« contaminer » Laurent. Zola insiste sur ce processus, pseudo scientifique, où les nerfs prennent le dessus sur les veines. Laurent perd son sang-froid, son assurance, même de la masse physique et tous deux deviennent violant. Thérèse planifiera de poignarder Laurent et Laurent bat Thérèse, comme pour relâcher un surplus nerveux. Cette dernière en redemande, elle veut être châtiée, regrettant mais aussi redoutant le spectre de Camille. Thérèse change plusieurs fois d’attitude envers les remords : Tout

Afin de décrire le cavalier qui se présente chez le prêtre, l’auteur utilise des adjectifs épithète « teint cuivré »l2, « mode étrangère »l2 qui le rendent plus mystérieux et donc potentiellement angoissant. D’autre part l’homme porte « un long poignard »l2 ce qui amplifie son air menaçant et met le lecteur sous tension. D’ailleurs l’auteur utilise le nom commun « la frayeur » pour définir le sentiment de la servante à la vue de cet étranger. Pour finir, le « cri guttural »l23 poussé par le cavalier

certain temps il reçoit des lettres de menaces et demande à Poirot de trouver l'auteur de ses lettres. Malgré la proposition d'un honoraire élevé, Hercules Poirot refuse celle-ci frustré par l'impolitesse de celui-ci. La veille on retrouva Ratchett poignardé dans son compartiment. Son corps a été massacré avec fureur de douze coups de couteau. Les portes des compartiments éteint toutes fermées et le coupable n'a pas pu échapper car le train fut arrêté par la neige. Poirot décide donc d’interroger tous

Acte 1 scène 7 (cour du château de Macbeth) Concède que le règne de Duncan était doux et bienveillant. Fait le plan avec sa femme Lady Macbeth de tuer Duncan pendant son sommeil avec le poignard de ses serviteurs qu’il aura d’abord soulé. Acte 2 scène 1 Monologue de Macbeth : apparition d’un poignard (rapport avec le meurtre à venir). Acte 2 scène 2 Macbeth va à la rencontre de sa femme après avoir tuer le roi Duncan, mais il ne veut pas finir de mettre en scène le meurtre, Lady Macbeth

simples (« grincèrent », « retomba », « fit »…) et un imparfait pesant, qui montre un personnage englué (« tordait », « était », « venait », « répétait »…). À la manière d’un film, la scène s’offre comme un arrêt sur image d’un homme qui lève son poignard au-dessus du lit. Le cinéma a beaucoup influencé Malraux : il a tourné une adaptation de son roman L’Espoir en 1938. L’atmosphère de l’incipit rappelle une esthétique cinématographique, notamment celle des films en noir et blanc d’Orson Welles (Citizen

Pardonnez-moi, pardonnez-moi madame ! J’ai failli à ma tâche, je ne mérite plus de vivre… La nourrice court vers le garde et s’empare de son poignard. La nourrice : (s’adressant au ciel) Je n’ai pas remplie ma mission sur Terre, je n’ai plus qu’à quitter le monde des vivants pour essayer de racheter ma faute dans le royaume des morts. Elle s’enfonce le poignard en plein cœur. La nourrice (baignant dans son sang) Adieu…

crampe : le poignarder là devant elle et me tuer après ? Il fit un tour dans la chambre, se soutenant à peine sur ses jambes, mais la main serrée convulsivement atour du manche de son poignard. Aucun des deux ne faisait attention à ce qu’il pouvait faire. Il dit qu’il allait donner un ordre à son laquais, on ne l’entendit même pas ; la duchesse riait tendrement d’un mot que Fabrice venait de lui adresser. Le comte s’approcha d’une lampe dans le premier salon, et regarda si la pointe de son poignard était