Point De Vue Interne Externe Omniscient

absence de sentiments et de joie. Fresque subdivisée en sous-ensemble suivant chrono noce. Pdv de l’extérieur vers l’int. Motif littéraire important ds le roman. - 1er ensemble : arrivée voitures et convives. Point focal = Bertaux, « on » regarde. Mélange de foca externe + omnisciente. Regard critique, moqueur du narrateur car ironie, caractérisation, ridicule. - 2ème ensemble : cortège de la noce. Ellipse narrative de la cérémonie. Mentions des pers ppaux du cortège coloré, paraît gai. Entouré

réalisme. Le juron « zut » qui ouvre le roman est une véritable provocation (pour l’époque). B. Une scène chez les petits bourgeois. - Le lecteur est plongé directement dans l’histoire grâce à un narrateur extérieur à l’histoire mais omniscient. Il s’agit d’une scène de comique conventionnel : les deux fils se moquent gentiment de leur père. - Les dialogues transcrivent la réalité et permettent une satire de la petite bourgeoisie à travers le père Roland qui prononce un juron.

adjectifs antéposés, accumulation de termes péjoratifs; des jugements sont portés). C'est le point de vue du prince; il n'y a pas de regard objectif. Présence du discours indirect libre. Les pensées du prince sont la plupart du temps rapportées au discours indirect libre, ce qui crée une ambiguïté entre le narrateur et Salina. On peut également noter un décalage entre notre point de vue et le point de vue du personnage puisque nous avons les réponses aux questions qu'il se pose. Le portrait du roi

l’omniscience permet l’accès à l’ensemble des lettres (tandis que les personnages n’en ont qu’une partie). - Autres effets : Roman monodique (une voix) permet de rentrer dans l’intimité tandis que le roman polyphonique fait combiner les styles et les points de vue.   Le personnage du picaro   Le picaro est un terme d’origine espagnol signifiant aventurier et désignant un antihéros jeune, de basse naissance cherchant à faire son chemin dans le monde utilisant la ruse face aux expériences et contraintes

sociales, les aristocrates ne sont plus les seuls à être dignes de vivre des aventures romanesques. Au niveau formel, les caractéristiques du genre se stabilisent : découpage en chapitres, utilisation du passé de narration, présence d’un narrateur omniscient. Tous ces critères vont permettre, au XIX° siècle, au roman de s’imposer comme un genre majeur. IV. Le XIX° siècle : l’apogée du roman 1. Quelques romans romantiques… Les romantiques écrivent peu de romans : ils préfèrent la poésie et

choix du point de vue  La focalisation externe  La focalisation interne  La focalisation zéro 3. La narration et la description 4. Le récit et le discours Situer un roman L’AUTEUR, LE NARRATEUR, LE PERSONNAGE 1. L’auteur 2. Le narrateur  Le narrateur personnage  Le narrateur qui raconte à la troisième personne  Le narrateur invisible 3. Le personnage LES DISCOURS RAPPORTES 1. Le discours direct. 2. Le discours indirect 3. Le discours indirect libre. LE POINT DE VUE OU FOCALISATION

passage descriptif à l’autre : point de vue externe lignes 12-15, point de vue interne lignes 27-38 1)Des personnages symétriquement opposés l’un à l’autre àun signe dès le début du texte, avant que les 2 hommes ne soient décrits : ils viennent de 2 horizons différents : la Bastille, espace de la Révolution / le Jardin des Plantes, espace naturel (au passage, B et P sont les initiales des noms des 2 hommes…) àsur le plan physique et vestimentaire, ils s’opposent en tous points : *la silhouette : taille

Dieu-MichonIl nous faut bien un concept de Dieu 1. Nous pensons à Dieu et nous en parlons en faisant usage de divers concepts. Ces concepts sont-ils corrects ? On peut entendre par là deux choses. La première: ces concepts sont-ils cohérents, est-il possible que quelque chose leur corresponde (ou tombe sous eux, ou les satisfasse, etc.) – comme quelque chose peut correspondre au concept de fromage, mais rien au concept de catalogue de tous les catalogues qui ne se mentionnent pas eux- mêmes?

et placent le lecteur devant un questionnement : qui perçoit l’histoire, qui raconte l’histoire? On parlera alors de mode et de voix. Le mode concerne le « point de vue » selon lequel une histoire est racontée—en général on utilise plutôt le terme « focalisation ». Il y en aura trois types : zéro, interne (fixe, variable, multiple), externe. Celui qui a lu Les Misérables ou Eugénie Grandet pourra reconnaître la focalisation zéro. Les personnages n’ont de pensées, de sentiments, de motivations que

voltairien seront mis en exergue, que vers la scénographie vivante d’une nature personnifiée, véritable « ciel des idées ». Les figures de style (notamment la personnification et la métaphore), le point de vue dans le récit, la méthodologie et la rédaction de paragraphes argumentés, et des points d’histoire littéraire (les Lumières) et d’histoire des arts (le « land art ») animeront cette séquence, sans omettre le livre en tant qu’objet. Le baron perché Italo Calvino › Retrouvez toutes nos