Points Communs Et Différences Totalitarisme 1930

Table des matières: 1) Introduction p. 3. 2) Chronologie p. 3-7. 3) La figure d'Hitler et son idéologiep. 7-8. 4) L' Allemagne nazie et le NSDAP p. 8-10. 5) Les camps de la mort p. 10-12. 6) Différences et similitudes entre le nazisme le fascisme p. 12. 7) Conclusion p.12-13. 8) Annexes p. 14-18. 9) Bibliographie p. 18. Introduction : Un an à peine après la fin de la Première Guerre mondiale (ci-après PGm) les puissances vainqueurs et vaincues se réunissent à Versailles

risquent de remettre en cause la vie du groupe. Dès lors, le politique se justifie par la résolution des tensions inhérentes à la vie sociale. Le politique trouve sa raison d'être le dégagement de façon de continuer à vivre ensemble malgré nos différences et nos divergences. Le politique doit dégager une unité à partir d'un multiple conflictuel. B / Le débat sur la localisation du politique Aujourd'hui, l’État nous apparaît comme la forme naturelle, évidente de l'instance de régulation des

années 30. A partir de 1935, l'option entre fascisme et antifascisme devient la principale ligne de partage, au point d'éclipser le vieil antagonisme libéral - socialiste. Mais quelle est la nature du fascisme ? Est-ce un avatar de l'extrême-droite réactionnaire voulant restaurer un ancien régime; est-ce un avatar extrême du capitalisme; est-ce simplement une forme de totalitarisme, comme le communisme (thèse américaine) ? Le mot fascisme a très vite éclaté et en est venu à désigner n'importe

civilisations en commençant par le fameux «choc des civilisations», cette théorie de Samuel Huntington selon laquelle des civilisations profondément différentes (l’Islam, la Chine, l’Inde, l’Occident) seraient appelées à se confronter avec une espèce de point de non-retour. Guillebaud dans son essai nous montre la réalité en face et à la comprendre. Bien avant cet essai, l'auteur avait déjà produit de nombreuses oeuvres comme « Le Goût de l'avenir » (2001), « L'Homme est-il encore humain ? » (2003)

également être considérée comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie. L'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) présente à notre époque1. La différence entre dystopie et utopie tient plus à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu. En effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes. Cette forme littéraire a été popularisée par des romans devenus

des identités mais qui ne sont pas différentes mais emboitées avec des superpositions, des encastrements. Les notions liées à l'Europe. La notion de civilisation européenne = notion largement dev àp du 18e, elle est liée à des valeurs sensées etre communes (la chrétienté). Civilisation européenne = implique notion de progrès et moralité. (revers de cette notion = la barbarie). Cette notion de civilisation européenne = christiannisme opposée aux autres religions, civilisation tout court. Finalement

propriété privée des moyens de production et d'échange; le fascisme se contenta d'enserrer de contraintes (planification, cartellisation...) le capital privé. Face à la démocratie, par contre, le défi fasciste fut au moins aussi radical, puisque, à la différence du communisme, il refusait jusqu'à la notion de démocratie représentative et élective. Mais il faut là tenir compte de la courte durée (1922-45) des principaux régimes fascistes, et de leur faible extension géographique. Le communisme dura trois

méthodique et régulier, à travers des travaux variés tels que : - écrire à la manière de. ; - changer une clausule de chapitre ; - étoffer un dialogue, une description ; Page 5/11 - introduire un personnage supplémentaire dans le récit ; - changer de point de vue ; - préparer, réaliser et rendre compte d'une interview de l'auteur ; - animer un blog littéraire ou un café littéraire virtuel ; - rédiger la quatrième de couverture ou l'avant-propos ; - élaborer un scénarimage ou des didascalies pour l'adaptation

selon Charles Maurras7. Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309. Le premier auteur qui semble avoir utilisé le mot « raciste » est Léon Trotsky en 1930 dans son Histoire de la révolution russe, avec un sens culturel pour qualifier le groupe des Slaves traditionalistes qui défendaient leur culture et leur mode de vie national10. Les deux mots font leur entrée pour la première fois dans un dictionnaire

vague révolutionnaire : monarchie de juillet (Bourbons)). En 1848 (2e République jusqu’en 1852 où Napoléon III devient empereur, 2e Empire) et 1870 (2e République) aussi, on observe de nouveaux élans révolutionnaires et révoltes partout en Europe (Commune de Paris,…)  désir de révolution, mais propre au pays. Une révolution volée ? Où est la souveraineté populaire promise ? C’est l’avènement du siècle bourgeois. Bourgeoisie : ce n’est ni le peuple, ni l’aristocratie ; elle veut