Points Communs Et Différences Totalitarisme 1930

Truman annonce sa politique de containment (endiguement) du communisme (y faire barrage partout dans le monde), aussi appelée la doctrine Truman, qui considère l’opposition ouest/est comme un conflit entre 2 systèmes : « démocratie » contre « totalitarisme ». La doctrine Truman propose que les EU aident financièrement tous les pays qui voudraient rester « libres ». La Turquie et la Grèce (menacée par la guérilla communiste) bénéficient immédiatement de l’aide Américaine. Cette doctrine va se traduire

Sociologie politique Introduction : Les pères fondateurs de la sociologie sont : Durkheim, Weber, Bourdieu, Marx, Foucault, Tocqueville. Entre 1860 - 1930 : Durkheim et Weber. Bourdieu : Le plus grand sociologue français. La fin du 19e siècle en Europe : les lois sociales (retraite, risques...) L'objet de la sociologie, selon Durkheim, est le fait social. Des exemples de faits sociaux : la mode, la culture, le suicide, la religion, le droit, les manifestions, la famille, la

pouvoir supérieur. *Tyrannie : le seul intérêt du tyran compte.il se sert de ses pouvoirs de façon abusive. *Despotisme : le despote (père) considère toute autre personne comme membre de la famille, il cherche alors le Bien Commun. Le monarque absolu, à la différence du monarque constitutionnel, représente au sens propre du mot la « monarchie » en ce sens que tout le pouvoir repose sur un seul être : le roi, qui regroupe les trois pouvoirs de l'État : législatif, exécutif et judiciaire. S'il

dans l’Histoire, présenteraient tout de même des similitudes ? Mais surtout quelle est la différence profonde qui sépare la « langue de bois » démocratique de celle totalitaire ? Il conviendrait tout d’abord de rapprocher la « langue de bois » démocratique et l’outil de propagande totalitaire par l’impératif de la conquête de l’opinion présent dans les deux régimes, puis d’en étudier le principal outil commun, à savoir la propagande ; il semble par la suite impératif de différencier la « langue de

disloquée, chassée de son lieu, devant alors cesser de se considérer comme culture de référence. Ce moment n’est pas d’abord un moment philosophique, il est aussi un moment politique, économique, technique, etc. » Jacques DERRIDA, L’Écriture et la différence 1 Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 105.235.128.141 - 23/12/2013 18h01. © Ed. Sc. Humaines La mise à l’épreuve de ces résultats, à partir du cas qui nous occupe ici, incite par conséquent à s’interroger sur ce que l’historiographie

derniers siècles. Seulement, encore aujourd’hui, l’idée même d’une théorie du nationalisme semble problématique. En effet, comme le constate Craig Calhoun, le nationalisme est trop divers pour qu’une seule théorie puisse l’expliquer tout entier. Ce point de vue rejoint celui de John Hall selon lequel « aucune théorie unique et universelle du nationalisme n’est possible », et que, de ce fait « nos concepts doivent être aussi divers que l’est l’histoire ». Selon Anthony Smith, un des principes clés

Grande Guerre I. LE SIÈCLE « RÉVOLUTIONNAIRE » Le tableau d’Eugène Delacroix (1830) montre que la Révolution est un processus violent. Et que malgré le côté populaire, elle est aussi bourgeoise. Pourquoi prenons-nous la Révolution française comme point de départ de notre enseignement sur l’histoire contemporaine ? 1. L’Epoque Moderne, c’est l’Ancien Régime Tout d’abord, lorsque l’on parle de l’histoire moderne, on parle de l’Ancien régime. Il existe des périodisations qui vont permettre de se repérer

directs était un journal de radio filmé. Se qui les différenciaient, c’était les reportages. Dès 1963, il y a une ligne rédactionnelle choisi. + Jonction entre les sujets. Le présentateur ne se contente plus de lire les dépêches, c’est lui qui fait le point de liaison entre un reportage et l’autre. Il y a une spécialisation des journalistes. On voit apparaître les correspondants de presse, des grands reporters etc. A partir des années 1980, le personnel journalistique c’est féminisé. = enjeux / problèmes

un traité, se dotant d'une constitution et d'organes communs et disposant d'une personnalité juridique indépendante des membres qui la constituent. Fédération : Plusieurs états qui forment un groupement politique et qui vont perdre une grande part de leur souveraineté au profit d'un gouvernement commun. Confédération : Au regard du droit international, les États ne perdent pas leur souveraineté, ils se donnent des institutions en commun. (Confédération helvétique, confédération allemandes avec

sont imputables à la vie politique, c’est-à-dire l’Etat) - Politisc : processus (liés à l’exercice du pouvoir dans une société donnée.) Le pouvoir politique se donne comme objectif de réguler la société, et pour se faire, de réguler des normes communes. Les différents acteurs du politique : On a d’abord l’Etat et les instances collectives de régulation et de codification des relations sociales Les hommes et les femmes politiques mais aussi les partis politiques Les comportements politiques