Poiret

indignation, et commence une relation avec Delphine. Puis, il commence à s’endetter, et cède au marché de Vautrin : il commence à séduire Victorine. Vautrin tue le frère de Victorine : Michel taillefer et se fait arrêter avec l’aide de Mlle michonneau et Poiret. Rastignac et Goriot compte partir du pensionnat. Mais Delphine vient voir son père pour lui dire qu ‘elle n’a plus d’argent à cause de son mari. Puis Anastasie elle car il lui faut combler les dettes de son amant. Goriot est désespéré vend ses

a Paris sans sous , a la pension est trouve le quartier du val de grâce et panthéon laid. Les gens de la pension sont , Le pere goriot , abandonne par ses propres filles , une jeune femme Victorine Taillefer , mademoiselle Michonneau , Vautrin , Poiret et Madame Vauquer et ses enfants. Il décrit la pension bruyante et salle. Il parle des externes et internes. CHAPITRE 2 Description des personnages , Victorine < elle pourrait être jolie si elle était heureuse , le narrateur est persuade qu’elle

Goriot, qui s’est fait ruiner par ses filles, Delphine et Anastasie. deux alternatives pour entrer dans la société Vautrin met en question la valeur du travail ; pour lui, on ne peut pas réussir en travaillant : « Si vous ne voulez pas ressembler à Poiret, ne travaillez pas ! ». .Pour lui, il faut entrer dans la société par la force, ne pas se laisser bousculer par les autre, se créer sa propre classe : « Il faut vous manger… » Ligne 494. Pour entrer dans la société, il faut être individualiste ou

culture et parfois nous semblent désuets.  Ex : le théâtre de boulevard est lié à la culture bourgeoise dominante au XIXe et au XXe Les Boulingrin, Les gaietés de l’escadron de Courteline ; Les oeufs de l’autruche de A. Roussin ; La potiche de J. Poiret etc. 3) Rire et pleurer  La comédie est condamnée à vieillir plus vite que la tragédie de par la nature même de l’émotion qu’elle suscite. La comédie fait rire (ou tout au moins sourire) parce que le rire se fonde en grande partie sur l’effet de

développement, par exemple à travers ses filières textile et fabrication, souvent peu ou mal évoquées. Depuis le milieu du xxe siècle, la mode s'est petit à petit construit une image de phénomène de société incontournable. Les couturiers, tel Paul Poiret au début du siècle évoqué, puis Madeleine Vionnet, Cristobal Balenciaga, Christian Dior, Yves Saint Laurent, Hubert de Givenchy, Pierre Cardin et Coco Chanel ou André Courrèges, Nina Ricci et, plus récemment, Thierry Mugler, Giorgio Armani, Gianni

Malgré la concurrence de Jeanne Paquin, de Jacques Doucet et des sœurs Callot, la maison Worth, qui ouvre une succursale à Londres en 1902, continue de prospérer. Étendant son activité à la confection de luxe, elle s’attache même les services de Paul Poiret pendant quelques années, avant que ce dernier fonde sa propre maison, en 1904. (robe de 1878) Une succession difficile Après le retrait de Jean-Philippe Worth, en 1910, Jean-Charles, fils de Gaston, reprend la direction artistique de la maison

chapitre 1 sont : Mme Vauquer la propriétaire, Mme Couture un veuve et sa fille adoptive Victorine Taillefer, l’étudiant Eugène de Rastignac, le Père Goriot et ses deux filles Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud, la Vicomtesse de Bauséant, Poiret et Mlle Michonneau. Je n’est pas ressentie de sentiments particuliers en lisant toute cette première partie car cette partie est surtout basé sur la description de la pension de Mme Vauquier et ensuite sur l’étudiant Eugène de Rastignac qui tente

Mina ouvre une boutique appelée sans vergogne : « Maison Nouvelle, Haute Couture de Paris ». Pour en assurer la publicité, Romain n’hésite pas à organiser, avec la complicité d’un ami acteur, une visite du grand couturier parisien du moment : Paul Poiret. Chapitre 9 Les bénéfices de la « maison de haute couture » sont en majeure partie destinés au perfectionnement de l’éducation princière de Romain. Il reçoit une formation dans tous les domaines que doivent maîtriser les grands hommes et une

culture et parfois nous semblent désuets. Ex : le théâtre de boulevard est lié à la culture bourgeoise dominante au XIXe et au XXe Les Boulingrin, Les gaietés de l’escadron de Courteline ; Les oeufs de l’autruche de A. Roussin ; La potiche de J. Poiret etc. 3) Rire et pleurer La comédie est condamnée à vieillir plus vite que la tragédie de par la nature même de l’émotion qu’elle suscite. La comédie fait rire (ou tout au moins sourire) parce que le rire se fonde en grande partie sur l’effet de

dans une société où la population a besoin de changer d’air et de s’évader le temps d’une pièce qu’elle nous fasse rire ou pleurer. Un exemple qui me vient en tête est une pièce de théâtre comique, assez récente, nommée la cage aux folles de Jean Poiret. Cette pièce guillerette et burlesque à la fois nous invite à nous détendre sans réfléchir à une visée morale dernière. Ces auteurs de pièces de théâtre ont la volonté de distraire le public et de leur faire oublier, le temps quelques heures, leurs