Police politique

disent que ça ne fait que la déplacer dans des endroits non équipés, que le fait qu'il soit signalé qu'on sois filmé rend le système inutile, que seulement 3% des images enregistrés soit utilisables et que d'ici 2011, environ 10 000 postes dans la police serais supprimés à cause des caméras de surveillance). Mais la vidéosurveillance n'est en aucun cas une solution pour résoudre les conflits, on l'utilise comme une aide, un plus, pour pouvoir identifier des agresseurs, criminels, ou autre devant

« Armée et Nation, Ensemble pour consolider la paix et le développement » Numéro spécial du magazine des forces de défense camerounaises. Réf. : Numéro spécial du magazine des forces de défense camerounaises. Samuel Nguembock, Yaoundé, mai 2009 « Nous devons veiller à ce qu’une dérive du processus démocratique auquel, je le répète, nous sommes profondément attachés, ne vienne compromettre ni la stabilité de nos institutions, ni notre développement économique et social, ni bien entendu notre

législation actuelle reste en vigueur jusqu’au 1er juillet 2011. Monsieur « D. », soudeur à STX (Chantier naval) père de famille sans casier (0,47g d’alcool par litre d’air expiré) a jeté une canette sur une voiture, qui s’est avéré être un véhicule de police. Il s’excuse et précise qu’il ne savait pas qu’il s’agissait de policiers. Le procureur s’étonne qu’il n’ait pas entendu les sommations d’une part et qu’il n’ait pas reconnu le véhicule (peut être à cause de l’alcool selon lui). En l’occurrence les

constituent des domaines éminents de la souveraineté nationale. Cette sécurité est un attribut fondamental de l’Etat qui l’exerce par le truchement de la police, instituée pour maintenir l’ordre publique, la liberté, la propriété, la sureté individuelle… En effet, la police sénégalaise semble avoir une connotation dualiste du fait de la bipolarité entre la police nationale et la gendarmerie nationale. Alors qu’en effet, avec la mondialisation, elle reflète un pluralisme constatable et constaté. Pluralisme

gouvernement Harper La Presse - 13 mars 2015...................................................................................................................................... 2 1 Nombre de document(s) : 1 Date de création : 22 mars 2015 La Presse Politique, vendredi 13 mars 2015, p. A12 PROJET DE LOI ANTITERRORISTE Tir groupé contre le gouvernement Harper Joël-Denis Bellavance O TTAWA - Une pluie de critiques s'est abattue hier sur le projet de loi antiterroriste du gouvernement Harper. Les représentants

mais il y en a trois qui sont plus importantes que les autres: -Les écoles publics: on remarque depuis dix ans les violences à l'école augmente et dépassent les 70000 cas de violences scolaires dont plus de 1500 avec une arme, -Il y a aussi la police et les pompiers , qui reçoivent de nombreuses insultes et voient aussi leurs voitures caillasses -Et enfin le transport public , car par exemple à la RATP ou à la SNCF (surtout les contrôleurs prises à partie les vols et agressions se multiplient

PLAN DE L’EXPOSE : INTRODUCTION I. LES CAUSES DE LA VIOLENCE 1- Racisme 2- Felonie II. LES PERSONNAGES 1- Les partisans de la violence 2- Les Victimes de la violence 3- Les partisans de la non-violence III. LES MANIFESTATIONS DE LA VIOLENCE 1- Violences physiques et ses manifestations 2- Violences morales et ses manifestations IV. LES IMPACTS DE LA VIOLENCE 1- Les impacts positifs 2- Les impacts negatif V. LA TEMPORALITE DU THEME CONCLUSION INTRODUTION

l'ordre pour faire disperser les « raveurs » (cf. Fiche 1.1). 3 A défaut, le Sous-Préfet de permanence doit veiller à mobiliser l'ensemble des services de l'Etat afin de répondre globalement aux diverses difficultés créées par ces rassemblements (police, gendarmerie, ARS, SAMU, SDIS, DDT). Lorsque un nombre important de participants est constaté, il convient de mettre en place un dispositif de crise réunissant l'ensemble des services concernés par la rave-party et notamment d'y associer le Procureur

1.1. Le premier document est un article de journal écrit par Benoît Hopquin et paru dans Le Monde le 13 octobre 2006. Il s'agit d'un texte informatif. Cet article explique que, actuellement, de jeunes sénégalais sont envoyés dans des pirogues jusqu'aux îles Canaries pour qu'ils y gagnent de l'argent et l'envoie à leur famille. Néanmoins, le travail des mineurs étant interdit en Espagne, ils sont hébergés dans des centres d'urgence. Une carte est jointe à l'article pour montrer la distance parcourue

exemple ce jeune qui s’exprime dans Le Monde tandis qu’il n’était pas présent durant les manifestations ou encore le problème de la présence voir même de l’absence des acteurs du débats et leurs légitimités. Ensuite, il élève le débat à une portée politique et social en se demandant ou se trouve le vrai problème de la question raciale, c'est-à-dire la place de cette nouvelle société, et leur stigmatisation perpétuelle. Et qu’il faut pour cela, porter un autre regard sur ces incidents et les idées qui