Politique Anti Inflationniste

terrains et de travail ne change jamais très rapidement au cours du temps et, de plus,  elle ne peut rendre compte de lʹinvestissement nécessaire qui encourage et concrétise  la croissance économique.  3.Comment sortir du carcan walrasien : l’innovation et le crédit bancaire  inflationniste  Après  avoir  éliminé  les  goûts  et  les  ressources,  il  ne  reste  quʹun  instrument  logiquement possible pour expliquer le changement ou le développement dans le  système  dʹéquilibre  de  Schumpeter :  la  technique.  ʺLʹinnovationʺ 

Chapitre 7 - La politique de change Séance 7. La politique de change 1. Introduction La politique de change est au centre des débats de politique économique dans les pays industriels comme dans les pays émergents. De multiples exemples attestent de son importance : • en France, le choix de participer au système monétaire européen (SME) en 1979, de s’y maintenir en 1982-83, de renoncer aux dévaluations à partir de 1987, de défendre la parité du franc face au mark en dépit d’attaques spéculatives

partie du globe. Plus spécifiquement, l’analyse de la structure des économies émergentes dans l’article offre des éléments de réponse qui peuvent contribuer à comprendre la nature des effets de la globalisation sur la sécurité économique et les politiques éventuelles à mettre en œuvre pour réduire la vulnérabilité des populations les plus défavorisées dans un tel contexte. Enfin, les pays en développement pourraient s’inspirer du cas des pays émergents pour reconstruire leurs propres économies

interventions pour endiguer la crise 31 I - Défendre la solvabilité des emprunteurs 31 II - La politique monétaire 33 III- Nationalisation et structures de défaisance 37 Chapitre II : le Maroc face à la crise financière 39 Section 1 : le Maroc est-il touché par la crise économique ? 39 I- le secteur financier 39 II - le secteur touristique 46 IV- le secteur industriel et manufacturier 49 Section 2 : les plans anti-crises marocains 52 Chapitre 3 : Vers une nouvelle gouvernance financière 57 Section1 :

s’interroger sur les formes institutionnelles. On accorde beaucoup d’importance aux institutions, c'est-à-dire que les économies ne pourraient fonctionner sans institution dont la fonction principale est de coordonner les agents économiques, sociaux, et politiques. Les institutions se définissent comme un ensemble de règles, formelles ou informelles auxquelles les acteurs adhérent généralement, que ce soit pour des raisons normatives (respect de la loi), cognitives (réduction de l’incertitude), ou matérielles

première chose qui s'impose est de préciser la signification du mot. Fréquemment, on considère de façon erronée comme fasciste tout gouvernement bourgeois qui passe par-dessus, ou tout comme, les institutions démocratiques et se distingue par sa politique répressive. Si cette appréciation était juste, il faudrait considérer comme fascistes, par exemple, le tsarisme russe, la dictature de Porfirio Díaz au Mexique avant-guerre, la dictature royale en Yougoslavie ou celle de Primo de Rivera, qui vient

inflation, entretenant une certaine agitation sociale). La paix de Versailles est perçue comme décevante (cf compromis entre les vues FR, US et GB). Le Bloc national, élu aux élections de 1919, hérite de cette situation de trouble. A postériori, sa politique nous semble réactionnaire (répression du mouvement ouvrier, nationalisme agressif de Poincaré lors de l'occupation de la Ruhr, décrets-lois en fin de période); cependant il faut nuancer ce point de vue, du fait du contexte international notamment

remerciements vont particulièrement à Mr Koffi N’GUESSAN, Directeur le l’École Nationale Supérieure de Statistique et d’Économie Appliquée (ENSEA) qui a du passer des moments seul à l’école pendant la pleine période de violence à la suite de la crise politique et institutionnelle, afin de préserver l’intégrité des locaux de cette école et qui nous a permis de terminer normalement l’année académique une fois le climat apaisé. Nous remercions le Pr BELLO Toyidi, Pr ESSO Loesse et Pr KEYO Yaya pour leur disponibilité

investissements et donc du crédit. Cette dynamique porte toutefois en elle plusieurs mécanismes de stabilisation. En effet, l’expansion du crédit est, normalement, limitée par une hausse de l’inflation qui a pour conséquence un durcissement de la politique monétaire et une remontée des taux d’intérêt. En outre, les banques se voient contraintes dans leur offre de crédit par leurs besoins en fonds propres. Sauf que sur la période récente, les stabilisateurs automatiques n’ont pas joué comme à l’accoutumée

Etats-Unis, devrait jouer un rôle modérateur. Les rigidités nominales sont un autre argument qui tempère le risque de déflation en zone euro. Selon nous, l’activisme du policy-mix va finir par payer à l’écueil près que, dans un monde globalisé, les politiques macroéconomiques devraient être pensées à l’échelle internationale pour enrayer efficacement les dynamiques cumulatives accompagnant les débouclages financiers (le « deleveraging » global). Jusqu’à présent, les mesures bancaire, monétaire ou budgétaire